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-Bon, alors dis-moi : ta première impression ?
-J'avais six ans, c'était sur une imprimante à jet d'encre.
La jeune fille grimaça.
-Combien de fois tu t'es blessé à la tête ?
-Jamais, à ma connaissance. Tu crois que c'est mauvais signe ?
-Je te demandais ta première impression de l'école, crétin.
Afficher en entierRègle n° 65 : pour déterminer qui est le plus gros débile dans un groupe, repère qui est le premier à se vanter de son intelligence.
Afficher en entierRègle n° 68 : Ne signe jamais un document officiel qui n'a pas été validé par ton avocat.
Afficher en entier"RÈGLE 51 : LA SEULE CHOSE QUE TU NE PEUX TE PERMETTRE DE PERDRE, C'EST L'ESPOIR."
Afficher en entierElle ne pouvait voir le visage du garçon.
Celui-ci courait comme un dératé sur un chemin de montagne, poursuivi par des ombres noires ténues. Leur intention était claire. Ce garçon se trouvait en grand danger. Il avait besoin d'aide.
Elle ouvrit les yeux.
Les rideaux claqués contre la fenêtre obscure. Un air glacial entrait par une fissure du châssis. Elle était trempée de sueur, son cœur cognait fort dans sa poitrine.
Un simple rêve ? Non. Elle ignorait qui était ce garçon. Ce qu'elle savait, en revanche, c'est qu'il existait bel et bien et qu'il courait droit vers elle.
Afficher en entierPetit un : les idiots et les incompétents surestiment de beaucoup leur intelligence et leurs capacités. Ils sont tellement débiles qu'ils ne se rendent même pas compte à quel point. Du coup, ils acquièrent un sentiment erroné de supériorité, qui à son tour leur confère une assurance infondée - assurance qui renforce leur fausse supériorité. C'est un cercle vicieux. Petit deux : les gens réellement intelligents et doués ont tendance à sous-estimer leurs capacités ; par conséquent ils doutent d'eux-mêmes - à tord - et éprouvent un sentiment d'infériorité erroné."
Afficher en entier"[...] oublie les circonstances, pense au présent. Une nouvelle journée commence. A toi d'en tirer tout le profit."
Afficher en entierVidez votre esprit, monsieur West. Effacez-en les jolies histoires qu'on vous a racontées sur le "progrès" et la "bonté" de l'humanité. Des histoires pleines d'idéalisme, de justice, de décence et de la noblesse innée de l'homme - toutes ces émouvantes fadaises. Il n'y a rien de mal là-dedans, soit dit en passant. Si la chose vous intéresse, rien ne vous empêche d'aller l'étudier dans une autre salle, au bout du couloir. Cela s'appelle la fiction."
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