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La Trilogie de Pandaemon, Tome 1 : La Prophétie de l'arbre



Description ajoutée par Anne-54 2020-12-15T12:55:41+01:00

Résumé

Le premier tome de la trilogie de Pandaemon.

Il y a 1 400 ans, le Conflit Originel opposa Malévolents et Forces du Bien, éparpillant les lieux et les populations. Que les Forces du Bien l'aient emporté n'est finalement qu'anecdotique. Nous sommes en 1422 de l'Ere de la Reconstruction, dans l'une des Sept Provinces, le Comté d'Erceph. Un artefact aux étranges et importants pouvoirs, l'Entité, est à l'oeuvre dans le coeur de chacun des Sept Suzerains et se transmet naturellement de père en fils le jour des vingt-trois ans de celui-ci.

Le Comte Portor, Suzerain d'Erceph, a deux filles : Layah et surtout Sarah qui approche de son vingt-troisième anniversaire. De nombreuses forces politiques ont espéré en vain un événement qui éviterait de faire face à cette échéance funeste : la Transmission de l'Entité à une femme. Nombreux sont ceux en effet qui interprètent les Prophéties d'Arkharon dans le sens d'un présage funeste pour toute l'humanité si une Entité venait à habiter le coeur d'une femme.

Il était écrit que cette transmission serait marquée par la trahison et la mort.

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Classement en biblio - 25 lecteurs

extrait

Éden Portor sentit une vague d’exaspération l’envahir tout entier… Il dut la contenir de toutes ses forces pour éviter une phrase malheureuse… et inutile. Il se mit en quête d’une manière élégante et polie de signifier à ce mystérieux Garant des Entités que les temps avaient changés. Que rien ne serait plus comme avant. Que ce qui venait d’arriver bouleverserait beaucoup de choses, et qu’il faudrait qu’il modifie ses habitudes !….

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Commentaire video

Vidéo ajoutée par Svane 2021-03-15T14:28:48+01:00

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Commentaires récents

Pas apprécié

"La nouvelle voix de la fantasy française" alors qu'il y a tellement d'auteurs francophones qui ont tellement mieux à proposer...

Déjà, ce récit n'a absolument rien d'original, c'est du vu et du revu. Du point de vue de la forme, le récit est très "tell" (d'après le principe du show don't tell) et le style assez médiocre abuse des verbes faibles...

Quant au fond : l'intrigue s'éparpille et va partout et nulle part, c'est décousu, il y a beaucoup trop de points de vue pour qu'on puisse s'attacher à certains. Les personnages sont plats, vides et communs, à tel point que jusqu'à la fin je les ai confondus.

Et l'univers, qui est censé être le point fort de ce roman ? L'auteur n'a pas su le partager avec le lecteur... Pas assez de descriptions, pas assez d'explication, on est juste noyés sous une abondance de termes incompréhensibles.

Sinon, je suis la seule que les relations pédophiles implicites ont mise mal à l'aise ? (Eden et Sorann enfant, Elmyn et l'enfant qui l'appelle à l'aide par télépathie)

La fin arrive en queue de poisson, elle n'a aucun sens, les personnages sont devenus surpuissants en un claquement de doigt...

Hors de question que je lise la suite !

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Pas apprécié

Je ne doute pas que ce monde, très développée, soit éminemment intéressant. Le récit qui lui est attaché, pourtant, est tout simplement inabordable : trop de noms propres et de titres dès l'ouverture, sans les explications qui vont avec, noient le lecteur. Je n'ai pas pu dépasser deux cents pages, n'arrivant pas à comprendre ce que je lisais.

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Lu aussi

Cette lecture fut un échec cuisant, au point que j’ai abandonnée "La Prophétie de l’arbre" au bout d’une petite centaine de pages. Pourquoi ? En voici les trois principales raisons.

D’abord, et c’est là le plus gros problème, il y a un énorme manque de clarté générale dans cette histoire. J’ai eu de patibulaires difficultés de compréhension. Au bout de 100 pages, je n’avais toujours pas saisi qui était qui, les relations qui se jouaient entre les personnages, l’organisation hiérarchique du monde, … J’ai été très surprise de n’avoir pour informations de contextualisation que le résumé de l’éditeur. Nous entrons dans l’intrigue comme si nous y étions habitués depuis longtemps, ce qui fait que je n’ai cessé de me dire que j’avais dû louper un wagon quelque part. Il n’y avait même pas de carte pour illustrer le monde de Christophe Misraki, alors que c’est généralement une tradition des récits de fantasy, et que ce procédé m’aide toujours à entrer dans ce type d’histoire.

Je n’ai donc jamais réussi à saisir la géopolitique de ce monde, entre les différents camps, les provinces, les comtés, les suzerains et les fonctionnements de la magie, … Bref, pour le dire simplement : j’étais paumée. Ce qui ne m’encourageait pas vraiment à retourner à ma lecture et contribuait à me déclencher des maux de tête. J’ai essayé de pousser un peu en me disant qu’il allait forcément arriver un moment où tout deviendrait limpide, mais au bout de 100 pages cet espoir s’est éteint.

Et en plus d’avoir l’impression de me trouver en plein Honduras, toute nue, sans carte routière ou connaissance de la langue, il se trouve aussi que je butais beaucoup sur l’écriture de Christophe Misraki. Non pas que sa plume manque de clarté, c’est simplement que les expressions utilisées me semblaient bizarres, j’avais souvent un doute quant à la concordance des temps employés, et surtout la ponctuation était excessive à mon goût (pas assez de virgules et trop de points de suspension) avec un certain manque de mots de liaison. Tout ceci était donc loin de rendre ma lecture fluide et agréable.

Je n’ai pas non plus éprouvé la moindre émotion (positive ou négative) envers les personnages, ce qui n’est jamais bon signe, tu en conviendras. Je les ai trouvés beaucoup trop loin de moi, avec un certain manque d’humanité. Un peu comme s’ils surjouaient leur rôle et leur interprétation – à l’image de certaines séries B, par exemple.

L'article complet est disponible sur le blog : https://desrevesdanslamarge.com/christophe-misraki-la-trilogie-du-pandaemon-t-01-la-prophetie-de-larbre/

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Lu aussi

Je ressors de cette lecture avec un avis mitigé, cependant je pense qu'il est dû a mes goûts plutôt qu'à l'intrigue du roman.

En effet, l'univers de La Prophétie de l'Arbre est extrêmement complexe. On fait face a énormément de personnages et le point de vue utilisé pour chaque chapitre n'est pas écrit explicitement comme pour d'autres romans, c'est un peu le jeu de la devinette.

Il y a également de nombreuses intrigues en parallèle. Puis, l'auteur, qui a une imagination débordante, vu le monde qu'il a créé, oublie quelques fois, que celui-ci est inconnu du lecteur, se situer dans ce monde est, par conséquent difficile.

En réalité, il m'a fallu la totalité du livre pour comprendre les enjeux politiques et les caractéristiques des Sept Provinces.

Ce que je reproche, subjectivement, à ce livre est le manque de rythme, qui est parfois présent, mais qui est souvent cassé par la complexité de l'univers. Mais peut-être est-ce dû à mes attentes influencées par mes nombreuses lectures fantasy young adult ?

Malgré cela, je dois avouer que la plume de l'auteur est légère, agréable et addictive, car dès qu'il racontait les aventures du groupe de Kern, je ne pouvais m'arrêter de lire, en plus, ces personnages sont vraiment attachants et amusants.

En bref, je dirai que ce roman est adapté aux amateurs de fantasy adulte, comme Game of Throne ou Le Seigneur des Anneaux.

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Bronze

Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/

--- Des débuts plus que plaisants ---

De la high fantasy remise au goût du jour, une intrigue politique aux innombrables ramifications et une prophétie funeste sur le point de se réaliser : voici ce que vous retrouverez dans les premiers chapitres de La Prophétie de l’arbre. Et quel régal !

J’ai tout d’abord pris plaisir à explorer cet univers qui sort des sentiers battus ou, tout du moins, d’en apercevoir une infime partie. En effet, il se révèle particulièrement dense et il est impossible d’en appréhender toute la complexité dans ce premier volet. Il faut dire que l’auteur a travaillé cette histoire pendant plus de 10 ans, et cela se ressent. Ainsi, chaque page tournée est synonyme de nouvelles découvertes, de nouvelles avancées et toutes sont plus captivantes les unes que les autres !

J’ai notamment apprécié la manière dont Christophe Misraki présente les forces du mal, bien loin des clichés du genre. Elles ne s’incarnent donc pas en un antagoniste invincible et surpuissant, mais arborent différents visages au sein d’un système minutieusement hiérarchisé.

--- Une première moitié certes introductive, mais passionnante ---

Si je devais formuler un reproche à l’encontre de cette première moitié, ce serait le manque de suspense. En effet, l’auteur nous dévoile très rapidement les intentions de l’antagoniste. Les héros restent toutefois dans l’ignorance et peinent à parvenir aux conclusions qui s’imposent.

Heureusement, Christophe Misraki met ce temps à profit pour nous fournir moult détails au sujet du système de magie – il m’intrigue terriblement ! -, des répercussions de la prophétie sur la famille royale et du plan d’action que celle-ci compte mettre en place afin de protéger l’héritière. Autant d’éléments qui nous poussent à tourner les pages sans tarder en dépit de quelques répétitions et autres maladresses, sûrement propres à l’écriture d’un premier roman !

--- Attention à la multiplication des points de vue ---

Si un trop grand nombre de personnages a tendance à vous rebuter, ne vous lancez pas dans La trilogie de PanDaemon. En effet, l’écrivain multiplie les points de vue au fil des pages (j’en ai même perdu le compte). Heureusement, un tel procédé ne me dérange pas outre mesure, d’autant plus que le livre comporte un lexique fort utile en toute fin.

Le hic, c’est qu’à force d’offrir la parole à de nouveaux personnages, on s’éloigne inévitablement des premiers, ceux auxquels on s’était attachés – enfin, plus ou moins, mais j’y reviendrai. En fait, pour être tout à fait honnête, j’étais impatiente de voir la quête des héros aboutir. Or, elle tarde à se mettre en place !

En définitive, je pense que l’auteur s’est laissé emporter par son enthousiasme. Il n’était pas nécessaire, selon moi, d’intégrer autant de personnages si tôt dans le récit, car la majorité d’entre eux sont rapidement délaissés et on ne comprend donc pas leur utilité. C’est notamment le cas de Ti’Aley et de Seli dont j’attends toujours de connaître les rôles.

--- Des personnages un peu clichés ---

Comme je l’ai mentionné plus haut, j’ai éprouvé quelques difficultés à m’attacher aux personnages, non pas parce qu’ils sont nombreux, mais parce que pour certains, ils manquent d’originalité. J’ai ainsi trouvé que Kern – héros de l’histoire – tombait trop rapidement dans le cliché de l’homme désespéré qui a tout perdu… avant de se ressaisir et de risquer sa vie pour atteindre le but qu’il s’est fixé. Massili, sa compagne de route, est du même acabit ; devenue prostituée malgré elle, elle est prête à tout pour changer le cours de son destin. J’ai également eu du mal à cerner Layah, l’une des deux princesses, ainsi que les rapports qu’elle entretenait avec ses parents, tantôt conflictuels, tantôt chaleureux. Ses états d’âme m’ont surtout paru très changeants !

En revanche, j’ai beaucoup apprécié Sorann, tant pour ses pouvoirs que pour la relation qu’elle partage avec le roi. Ah, et n’oublions pas les antagonistes qui se sont révélés particulièrement intrigants !

Je tiens toutefois à préciser que ces quelques bémols n’ont pas entaché mon plaisir de lecture. Enfin jusqu’à ce que…

--- …tout s’écroule ! ---

Alors que j’atteignais la deuxième partie du récit, mon intérêt a progressivement décru. Le temps se faisait long en vérité, puisque j’attendais que l’intrigue politique débute vraiment après autant de promesses faites au lecteur. Or, le scénario aborde un tournant pour le moins inattendu, voire carrément inexplicable.

Dans un premier temps, les actions militaires se veulent plus présentes, ce qui n’était pas pour me plaire. Ceci étant dit, il s’agit là d’une appréciation toute personnelle. Par la suite néanmoins, le tournant dont je vous parlais à l’instant prend des allures de scission irréversible. Certes, je connais maintenant la signification du titre et de la couverture de ce premier numéro, mais je n’adhère pas du tout à ce revirement. Après avoir minutieusement construit son histoire, voilà que l’auteur décide d’envoyer valser ses efforts pour repartir sur de nouvelles bases. Mais… pourquoi ?!

Bref, ma frustration est grande. Je ne compte donc pas m’éterniser sur ce dénouement qui m’a laissée dubitative, et le mot est faible !

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Lu aussi

La Prophétie de L'Arbre est une oeuvre foisonnante autant du point de vue de la construction de l'univers qui sert de cadre à l'histoire que dans la foultitude des héros que l'auteur met en scène.

Avec La Prophétie de L'Arbre, Christophe Misraki se fait l'auteur d'une oeuvre très riche qu'il faut se laisser le temps d'apprivoiser. C'est un premier texte puissant qui renoue avec les racines du genre. Ce premier roman se lit comme un coup de cœur autant pour la pluralité des histoires contées que pour la richesse de l'univers construit... plus d'infos sur Fantasy à la Carte.

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Bronze

Coup de comm' réussi pour La Prophétie de l'Arbre qui se pare d'une magnifique illustration et d'un commentaire "La nouvelle voix de la fantasy française" qui me touche particulièrement. Son effet a fonctionné, je l'ai acheté mais cela a créé des attentes que je n'ai pas retrouvé.

Assurément son univers est riche mais je n'ai pas réussi à y entrer. J'ai mis longtemps à associer les noms à des personnages. Et ils sont nombreux à se partager la centre de l'attention. L'histoire est celle d'un bouleversement qui affecte Porminide, le monde dans La Prophétie de l'Arbre, dans son ensemble mais pour nous en rendre compte, l'auteur a multiplié les points de vue et dans de nombreuses zones de sa carte. Résultat : peu d'attache pour tous les personnages. D'autant que les races sont très peu décrites alors qu'elles sont, au moins de nom, originales. Hiurts, Amarcyans, daraïs, yeenars, nermacks, Toua-Elar, autant de créatures que l'on ne se représente qu'avec peine.

Il y a bien un passage auquel j'ai réussi à me raccrocher mais il ne survient que vers la fin du roman, dans les Burgs et leur petite (c'est le cas de le dire) société.

Ma lecture a été fastidieuse et je regrette que le tome 1 ne soit pas un livre "complet", c'est une trilogie qui ne peut fonctionner qu'au regard des 3 tomes et je trouve cela regrettable.

Je ne pense pas retenter l'aventure avec le second volet avant un moment.

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http://www.unbrindelecture.com/2021/03/la-trilogie-de-pandaemon-1-la-prophetie.html

Un premier tome d'une aventure fantasy dans les règles de l'art du genre . Les fans de ce genre littéraire vont adorer : c'est riche, complexe, plein de machinations politiques et de peuples différents. C'est vraiment bien écrit même si j'ai souffert d'un coup de mou en milieu de récit. On a du mal à définir le héros dans cette aventure épique pleine de personnages différents mais Kern prends indéniablement le pas et ravit le lecteur...

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Bronze

Autant la couverture est le résumé sont vraiment attractifs, autant lorsque j'ai commencé ma lecture ... j'ai senti un problème.

J'ai dû me forcer pendant une bonne partie du roman pour le lire, et je n'ai pas vraiment aimé cette sensation.

L'histoire est sympathique, les actions et les rebondissements assez nombreux pour donner envie de continuer, mais je n'ai pas du tout était séduite, que ce soit par la plume de l'auteur ou l'univers dans lequel il souhaite nous plonger.

J'ai survolé une partie du récit, ce n'est pas de moi, mais impossible de m'immerger dans ce roman, qui pourtant, m'avait l'air vraiment prometteur.

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Date de sortie

La Trilogie de Pandaemon, Tome 1 : La Prophétie de l'arbre

  • France : 2021-02-04 (Français)

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