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Beaucoup de douceur dans ce roman qui dépeint la naissance d’une famille recomposée et celle de l’amour maternel envers une enfant qui n’est pas biologique. Les multiples traditions cultuelles, culturelles et gastronomiques du Japon nous plongent dans un univers très différent de celui que nous connaissons. Les descriptions des paysages ruraux de certaines régions donnent envie de rejoindre les personnages pour partager des moments pleins de sérénité. Les illustrations au fil du roman nous font découvrir l’univers de la calligraphie japonaise qui à travers un style d’écriture, et le choix réfléchi des parfaits papiers et outils d’écriture transporte un message qui va au-delà des symboles inscrits sur le support. Un voyage vers un bonheur contemplatif.

Une très jolie suite d'Ogawa Ito, j'ai bien aimé même si j'ai préféré le premier tome qui m'a plus surprise.

Très poétique, comme le premier tome. Bienveillant et tout doux à lire. On apprend énormément de choses sur la culture japonaise.

J'ai vraiment eu du mal à me plonger dedans. Alors que j'ai adoré le premier tome, celui-là m'a paru tellement loin... J'aurais aimé qu'il y ait plus de commandes à l'écrivain public.

Spoiler(cliquez pour révéler)Tous laisse à penser qu'il y aura une suite et je serai curieuse de la lire.

Un livre tout doux qui se lit facilement. Je n'ai pas lu La Papeterie Tsubaki, mais j'ai très envie de le faire maintenant pour découvrir la vie "d'avant" des personnages.

Les lettres calligraphiées à l'intérieur du livre, ainsi que les kanjis expliqués apportent un vrai plus.

Je me devais de lire la suite de la papeterie Tsubaki.

Je n’étais pas emballé et j’aurais dû m’abstenir.

Heureusement, ce roman est court, c’est le seul point positif. Je me suis littéralement ennuyé…

Une suite ou la répétition est le maître mot…

Je ne suis pas sûr de continuer à découvrir cette auteure…

je vais me laisser emporter par d’autres littératures japonaises.

Bonne lecture !

Je n’ai pas apprécié, pour de nombreuses raisons.

Il ne s’y passe absolument rien et le roman est essentiellement descriptif. Tel type de thé, de riz, de papier… À moins que les nombreux temples autour de Kamakura vous intéresse particulièrement

Les personnages sont tout de mêmes intéressants, mais aucune profondeur, on ne sait absolument rien d’eux. Barbara? Le Baron?

Il y a quelques relations qui se créent au fils des rencontres de Hatoko mais aucun développement n’est élaboré.

Pourtant, avec un métier comme écrivain public, il y aurait eu tellement de potentiel pour ce bouquin…

Le rythme lent ne m’aurait absolument pas dérangé si l’histoire n’avait pas été si ennuyante. Bref, voilà…

https://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2023/06/la-republique-du-bonheur-de-ogawa-ito.html

Le retour de Ogawa Ito sur le blog. Ce roman est la suite de "La papeterie Tsubaki". Sachez que ma libraire a lu "La république du bonheur" sans avoir lu le précédent. Ça ne l'a pas gêné. Du coup, vous pouvez le lire sans problème. Personnellement, je vous recommande la lecture du précédent juste pour le plaisir. Vous allez vite comprendre pourquoi.

On retrouve Hatoko, écrivaine publique, qui s'est mariée avec Mitsurô, le père d'une petite fille qu'elle aime beaucoup. Dans le tome précédent, on suivait notre écrivaine reprenant la boutique de sa grand-mère. Ici, en plus de poursuivre son travail, elle va découvrir un nouveau rôle : celui de mère. Ça va la ramener à sa relation compliquée avec son aïeul.

L'écriture de l'autrice est toujours aussi belle. Ça fait tellement de bien. On y trouve tant de poésie et de pudeur. Hatoko se pose des questions. La capacité de Ogawa Ito à les écrire est surprenante de justesse. Les japonais ont vraiment une façon unique d'exprimer les choses et surtout de rester dans l'instant présent, choses que nous ne savons pas faire.

À côté de l'évolution de l'héroïne, nous en apprenons toujours plus sur son métier. J'ai eu l'impression d'entrée presque en méditation en les lisant. Chaque geste a son importance. En plus, QP, la petite fille, décide d'apprendre l'art de sa belle-maman. C'est très intéressant tout en étant drôle. Hatoko a en plus toujours des idées y compris pour son mari. Il est gérant d'un restaurant. Autant vous dire que la description des plats donne faim. J'avais l'impression d'en sentir les odeurs...

En bref, j'adore cette autrice et je prendrai plaisir à lire ses autres romans. Si vous aimez prendre le temps, la poésie et la culture japonaise, ne réfléchissez pas.

Ce tome deux est toujours aussi cocooning et facile à lire que le premier. Même s’il ne détrône pas son prédécesseur, il reste très agréable à lire. J’adore particulièrement les différentes histoires de personnes qui viennent demander les services de d’écrivaine publique de Poppo. On ne voit que des brides de leurs vie mais ils sont très touchant et je suis curieuse de la réaction des destinataires de leurs lettres.

Ce tome tourne beaucoup autour de la nourriture japonaise, ce qui va vous donner faim si vous en êtes amateur. J’étais moins intéressée par la relation de Poppo avec son mari, il est si effacé que je trouvais qu’il manquait de substance. En revanche j’ai adoré voir Poppo devenir la mère adoptive de QP, cette petite est pleine de vie.

En conclusion ce livre est idéale à lire directement après le tome 1, comme un long épilogue pour ne pas dire au revoir aux personnages tout de suite!

Très bonne suite de la papeterie Tsubaki, Hatoko est toujours aussi touchante et c'est un plaisir de la voir vivre de nouvelles expériences et de nouveaux sentiments. Je trouve que c'est un personnage extrêmement authentique, j'aimerais bien être son amie !