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D'un côté, les fourmis. Elles se demandent si nous sommes des monstres géants ou des dieux infinis. De l'autre, nous, les hommes. Au mieux, nous sommes indifférents à ces êtres minuscules. Au pire, nous nous acharnons à les écraser. Pourtant, après des millénaires d'incompréhension, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont peut-être se rencontrer, se comprendre, se connaître enfin.
"Les visuels disent tout naturellement: "Tu vois.", car ils ne parlent que par images. Ils montrent, observent, décrivent par couleurs, précisent: "C'est clair, c'est flou, c'est transparent!" Ils utilisent des expressions comme: "La vie en rose", "C'est tout vu", "Une peur bleue".
Les auditifs disent tout naturellement: "Tu entends?" Ils parlent avec des mots sonores évoquant la musique et le bruit: "Sourde oreille", "son de cloche", et leurs adjectifs sont: "mélodieux", "discordant", "audible", "retentissant".
Les sensitifs corporels disent tout naturellement: "Tu sens." Ils parlent par sensations: "Tu saisis", "tu éprouves", "tu craques". Leurs expressions: "en avoir plein le dos", "à croquer". Leurs adjectifs: "froid", "chaleureux", "excité/calme".
L'appartenance à un groupe se reconnaît à la façon dont un interlocuteur bouge les yeux. Si lorsqu'on lui demande de chercher un souvenir, il commence par lever les yeux vers le haut, c'est un visuel. S'il dirige sont regard vers le côté, c'est un auditif. S'il baisse les yeux comme pour mieux rechercher les sensations en lui, c'est un sensitif."
Superbe fin... Werber nous emmène encore plus loin sur la réflexion sur la condition "d'être supérieur" de l'Homme.
Sommes-nous réellement LA société qui domine le monde car l'on a les plus grands bâtiments, ou notre sentiment n'est-il qu'illusoire ?
C'est un peu la question qui reste en suspend à la fin de ce livre, rien a dire ! Je m'incline bien bas devant ce génie de la littérature qu'est Monsieur Bernard Werber !
Dans ce dernier volume de la trilogie des fourmis, Bernard Werber nous emmène encore plus loin dans l'univers des fourmis. Après le temps de la découverte, Les fourmis et celui de la confrontation, Le jour des fourmis, voici venu le temps de la compréhension. Dynamique tout en étant très documenté, ce livre se lit d'une traite ! Sommes nous prêt à considérer les fourmis comme nos égales ?La Révolution des Fourmis appartient au domaine des livres enchanteurs où l'on apprend et où l'on se distrait. Ne perdez pas une seconde pour lire ce prodige
Et voilà, ma 1ère saga de l'année est terminée et c'est une belle découverte. J'avoue avoir préféré les 2 premiers tomes, celui-ci m'a paru au début avoir moins de rythme, et les quelques redites (bien utiles pour ceux qui n'ont pas lu les tomes précédents) ont un peu ralenti ma lecture, j'aurais voulu une suite directe avec les personnages récurrents de la série. Heureusement, l'intérêt de l'histoire est revenu très vite et je me suis avec plaisir sentie immergée dans le monde des fourmis. Alors pas sûre que ma phobie ait totalement disparu, mais il est certain que si lors d'un pique-nique je recroise ces petites bêtes, je ne les tuerai plus automatiquement.
Ayant emprunté la trilogie dans son intégralité à la médiathèque au bout de ma rue, j’ai poursuivi ma découverte de la saga des fourmis directement après avoir terminé le tome 2. Ce fut encore un plaisir de retrouver 103e, cette soldate belokanienne exploratrice et connaisseuse du monde des « Doigts », qui cette fois-ci cherche à retrouver sa cité natale afin de partager ce qu’elle a apprit. Le parallèle entre le monde des fourmis et le notre est toujours aussi présent et fluide. De nouveaux protagonistes apportent encore un nouveau regard philosophique sur des concepts sur lesquels on s’interroge peu, et un mouvement proche d’une révolution. On retrouve également des protagonistes des deux derniers tomes, comme une réunion des 3 volumes de l’ « Encyclopédie du savoir relatif et absolu ». Une fin d’étonnante, qui laisse un zeste de suspense… En conclusion : « Deux mondes se regardent, celui de l’infiniment petit et celui de l’infiniment grand. Sauront-ils se comprendre ? »
Le tome que j'ai le moins aimé de la trilogie, je l'ai trouvé très long, les nouveaux personnages humains ne sont ni attachants ni intéressent... et j'ai trouvé les fourmis moins présentes que d'habitude...
J'ai aussi décidé de survoler, voir même de ne pas lire du tout, les passages de l'encyclopédie, qui n'apportent pas grand chose à l'histoire et rendent juste le livre encore plus long...
3éme et dernier opus de la trilogie des fourmis. Aprés un second relativement raté, voici une conclusion... en demi-teinte, c'est le moins qu'on puisse dire...
Si on suit toujours 103eme, notre fourmis pionnière, on suit également cette fois Julie Pinson, jeune étudiante lycéenne, ainsi que ses amis, un commissaire de police, et toujours les réflexions d'Edmond Wells. Et une nouvelle fois, l'auteur semble absolument vouloir étaler son savoir ou ses réflexions sans que ça n'apporte rien à l'histoire dans certains cas. de plus, il tente d'opposer la technologie humaine au fonctionnement des fourmis. pour cela, il parle d'informatique mais ne maitrise clairement pas le sujet. Alors au delà de la création d'un wikipedia avant l'heure (le livre a été écrit avant le lancement du site), le reste ne parait absolument pas crédible (MacYavel, une IA trop intelligente, Infra-World...) et, dans un livre censé être plus ou moins contemporain, ne peut pas vraiment passer.
Le livre peine aussi à développer des rapports humains crédibles car les dialogues sont affreusement mal écrit et le style bien trop lourd. Heureusement donc que la partie fourmis est là, pour le peu qu'on accepte le postulat "science-fictionnel" de cette partie. C'est donc la moitié de l'oeuvre qui vaut la lecture, l'autre étant raté. de quoi faire un livre tout juste moyen donc...
Dernier volume pour cette trilogie qui est très agréable à lire.
Synopsis : après des millénaires d'incompréhension, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont peut-être se rencontrer, se comprendre, se connaître enfin.
Résumé
D'un côté, les fourmis. Elles se demandent si nous sommes des monstres géants ou des dieux infinis. De l'autre, nous, les hommes. Au mieux, nous sommes indifférents à ces êtres minuscules. Au pire, nous nous acharnons à les écraser. Pourtant, après des millénaires d'incompréhension, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont peut-être se rencontrer, se comprendre, se connaître enfin.
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