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La Revue des cent papiers, Tome 2 : Créatures



Description ajoutée par Thierry-96 2019-12-18T23:17:53+01:00

Résumé

Après une longue errance, nos auteurs et artistes se sont confrontés aux créatures de leur imaginaire pour notre plus grand plaisir. Avec le premier numéro, nous avons connu un beau succès, ce qui nous a invité à continuer. Cette fois encore, une centaine de participants ont répondu au rendez-vous avec des textes et des illustrations inspirés et inspirants. Une nouvelle fois, nous répondrons à notre promesse de diversité et de qualité. Les créatures mettront en abîme le concept d'humanité, vous transporteront dans des caves sombres et poisseuses ou vous montreront les merveilles du monde. Vous aurez peur, vous serez esbaudis, vous rirez au fil des pages et, parfois, vous poserez la revue pour réfléchir à ce que vous venez de lire car vous serez frappés en plein coeur par ces mots choisis. Belle lecture, sémillant visiteur des autres mondes.

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Commentaires récents

Voici une revue qui n’a pas souvent les honneurs de la presse spécialisée. « Bifrost » n’ pas encore chroniqué cette revue( Qui a dit « Heureusement ! » ?).

Et pourtant voici un magazine qui se donne pour but de promouvoir la SF francophone. IL se retrouve sur le site de la revue (téléchargement gratuit) ou en format livre papier.

C’est un bel objet de 200 pages avec une superbe couverture de Mari Capriata et une poétique 4éme de couve due à Beezk ; Ot.

Les illustrations sont d’ailleurs une des forces de « La revue des Cent Papiers ». Soignées, elles dispensent poésie, exotisme ou terreur et illustrent souvent de très belle maniéré les récits.

« Des fantômes dans la cité » de Ange Beuque inaugurent de la meilleure des façons cette anthologie sur les créatures mêle fantastique et science-fiction par un biais assez inattendu. Le style sans fioritures nous emmène sans faiblir jusqu’ à une conclusion qui introduit une pointe de satire politique grinçante et surprenante.

« Orages » de Marc Legrand st une histoire de baby-sitter qui commence comme un thriller pour se terminer dans un fantastique gore qui vous suffoque de peur. Là aussi une histoire très bien menée dont la conclusion s’écarte des sentiers classiques.

« Les Fourmis » de Joan Sénécal, un conte que n’aurait pas renié Maupassant ou l’on se mande qui de la Folie, ou du Fantastique correspond à la vérité. Bravo à l’auteure de nous laisser dans le doute.

« Mobilisation des sentiments » est l’œuvre d’Anthony Boulanger qui nous a déjà offert bien d’autres facettes de son talent. C’est une espèce de fantasy horrifique avec un soupçon de feelgood. Très Bon et curieux.

« Les Planches. » de Aude Berlioz est très court mais vous aurez du mal à vous remettre de la conclusion.

« Des fleurs et des mots » de Nicols Parisi est une histoire de fantastique végétal et bibliophile assez flippante. Très originale, elle nous emporte vraiment ailleurs.

« Le Pays des Monstres » de Cedric Bessaies ressort de la fantasy et de la nouvelle d’apprentissage. Bien menée, c’est une touche d’optimisme de ce numéro.

Avec « Au crépuscule, l’ablaton » signé par Thomas Pinaire nous voici dans un récit post-apocalyptique aux résonnances philosophiques. Personnellement, c’est le récit qui m’a le plus angoissé.

« La revanche de l’horloger » de Cédric Teixeira est une très curieuse histoire de voyage temporel « so british ». On s’y amuse bien et le style de l’auteur nous emmène sans problème vers une conclusion un peu inattendue.

« La bête » est du renommé Sylvain Namur est totalement gore et horrifique. A ne pas lire le soir ou avant un bon repas…

« Eaux Troubles » De la romance, de l’humour noir sont au programme de la nouvelle d’Amelie Sapin. On est loin de chez Disney dans le traitement du thême.

Avec « La grosse Carpe » Claire Garand signe le deuxiéme sommet du recueil, une histoire de pêche raconter à vos amis qui s’adonnent à ce loisir ; Les goujons devraient y gagner un peu de tranquillité. Une merveille de situle et d’écriture.

Lisez « Poursuite » de Marie D et vous aurez un récit d’horreur très court et bluffant.

« Rencontre cosmique » de Thierru Fauquemberge est un hilarant conte de science-fiction humoristique. Absurdité et nonsense font merveille et le ton très flegmatique du récit aggrave les choses n’est pas loin.

« Ne pas bruler en vain » permet à Patrick Ugen de nous faire rêver en nous disant » Si ca pouvait être vrai !

« le Knodal » de Lanfeust et « Science sans conscience de de Lancelot Sablon concluent ce recueil de la meilleure des façons . Leurs chutes sont parmi les meilleures de ce numéro 2 d’un excellent niveau de La revue des Cent papiers.

Le thème « Créatures » est très bien respecté et décliné avec des textes souvent très bons qui nous font découvrir de très grands talents dont on espère retrouver bientôt la plume.

Donc à se procurer de toute urgence

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Diamant

La revue du faune, dont j’avais chroniqué le numéro précédent, a fait peau neuve en adoptant un nouveau nom : « La revue des Cent Papiers du Faune – Arts et Littératures d’Outre-Mondes », plus communément abrégé en « La revue des cent papiers ». C’est une publication périodique consacrée à la littérature de l’imaginaire. Chaque fascicule est constitué de nouvelles et d’illustrations toutes liées par un thème unique, pour ce numéro, Créatures. Ce mot est à comprendre dans le sens de « êtres créés ».

Ce numéro inaugure un partenariat avec Sea Shepherd. Pour chaque numéro acheté, 2 € sont reversés à l’association.

Les histoires portent sur des sujets très variés, mélange de genres oblige, puisqu’elles appartiennent aussi bien à la science-fiction que la fantasy ou le steam-punk. Et les créatures qu’elles évoquent sont toutes également diversifiées. Cela va de l’être artificiel pour réincarner les morts, au golem, en passant par l’ordinateur ultrapuissant, voire les monstres du monde souterrain.

Mon avis

Pour ce numéro, les créateurs ont pu effectuer leur sélection parmi plus de deux cents auteurs. Inutile de dire qu’avec une aussi importante quantité, ils ont pu conserver les meilleurs (et ils ont dû certainement en rejeter beaucoup d’aussi bons, mais que faute de place ils n’ont pu accueillir). Ainsi, les deux défauts que j’avais relevés précédemment ont disparu. Tous les textes sont excellents, et aucune ne donne le sentiment d’être le début d’un tout plus grand. En revanche, certaines mériteraient davantage de développement, au point d’en faire un roman. Le monde imaginé par leur auteur est si complexe qu’on a du mal à croire qu’il a créé un tel ouvrage pour y situer juste une nouvelle de quelques pages. Et la variété des créatures est tout aussi impressionnante. D’ailleurs, la couverture illustre bien cette multiplicité : cet être mi-biologique, mi-artificiel est un résumé de la revue à lui seul.

Il est difficile de donner un avis global tant les nouvelles sont différentes. Mais en même temps, détailler chacune d’elle est impossible. Elles sont trop nombreuses. Ces nouvelles sur un thème unique, cependant large nous offrent un aperçu des talents existants dans le monde francophone. Aucun genre n’est oublié. On découvrira tour à tour des histoires surprenantes avec des fantômes conçus par ingénierie pour remplacer les morts, touchante avec cette fillette qui veut animer un golem pour prendre le relais de son père, atroce dans le cas d’un sacrifice humain voire marvellienne avec ce superhéros surdoué, mais qui se fera piéger par son propre pouvoir.

Les illustrations complètent ces nouvelles avec une représentation de ces créatures, qui vont de la mécanique à celles issues des enfers, les monstres des profondeurs, voire un "ent".

Une fois de plus, la revue des cent papiers concentre un maximum de talents, pour notre plus grand plaisir.

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