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Et au milieu coule une rivière est plus qu’un roman autobiographique, c’est un récit imprégné d’une lumineuse nostalgie, un livre qui défend une philosophie inspirante. Norman Maclean y raconte son enfance dans les Rocheuses, au sein de paysages magnifiques dont chaque relief influence en profondeur ceux qui y vivent. Comme dans les romans de Pete Fromm, la pêche n’est pas qu’un simple loisir, c’est un art de vivre, une discipline, une chanson de geste qui apprend tout et qui poursuivra Norman dans toutes les étapes importantes de son existence. Préface de Robert Redford, metteur en scène du célèbre film inspiré du récit de Maclean.
Norman Maclean raconte son enfance, au début du XXè siècle dans les Rocheuses, et surtout ses liens avec son frère.
Le personnage principal c'est la Big BlackFoot, la rivière dans laquelle Norman, son père et son frère pratiquent la pêche à la mouche. Celle-ci est une discipline, pratiquement un art de vivre, qui jalonne la vie de ces hommes.
C'est un livre bouleversant, un texte magnifique, rempli de la nostalgie d'un temps et d'une nature qui n'existent plus, je l'ai quitté à regret.
Typiquement de la littérature classique américaine. Ce qui implique... pas de grosse intrigue, pas de rebondissement, beaucoup de platitude et de lenteur.
Par contre une histoire riche et des personnages complexes.
Ce qui m'a le plus ennuyé, ce sont les nombreuses, trop nombreuses scènes de pèches !!!
Qui n’a pas vu le film tiré de ce livre, pas grand monde je pense… je voulais découvrir l’écrit de l’auteur, et bien je n’ai pas été déçue ma lecture m’a vraiment convaincue, j’ai vraiment bien fait de le lire, j’ai redécouvert l’histoire d’une autre façon. Norman Maclean raconte sa jeunesse et ces années passées dans le Montana entouré de sa famille. Issue d’une famille de fervent presbytérien ou les valeurs et les mœurs sont cadrés. La pêche rapproche cette famille c’est l’occasion pour eux de s’ouvrir d’apprendre à se connaitre réellement les deux frères sont vraiment à l’antipode l’un de l’autre, Paul passe son temps à jouer, boire et à séduire les femmes. Norman quand à lui c’est marié et passe son temps à travailler. Le seul plaisir qui les réunit c’est la pêche à la mouche. J’ai aimé la simplicité, l’authenticité des sentiments, et la splendeur du cadre, ces rivières, ces paysages, le descriptif des lieux m’a séduit. Alors oui le récit est lent, mais dans ce genre de livre on le permet.
Une nouvelle lecture émouvante que je dois de nouveau au groupe Picabo River Book Club spécialement dédié à la littérature Nord-Américaine.
Je suis sortie de mes sentier battus pour mon plus grand plaisir. En effet le genre autobiographique est de très loin un de mes favoris. Délaissé depuis le lycée, je n’en ai plus lu depuis.
C’est donc avec une certaine appréhension que j’ai débuté cette lecture. Petit temps d’adaptation, assez rapide toutefois. Me voici plongée dans un décor surréaliste où la nature à tous les pouvoirs. Une nature dure, verdoyante, apaisante. Début du XXe siècle, non loin des rocheuses, une famille presbytérienne voit leur vie s’écoulée aux fils des rituels : la pêche et les prières et prêches. Norman Maclean relate son enfance à l’âge adulte. Ses virées avec son frère, leurs caractères, leurs espoirs, leurs avenirs, leurs désaccords. Le récit est tellement prenant que j’ai vite oublié ce côté présomptueux de l’autobiographie. Il y est relaté les problèmes de la société, l’alcool, les mœurs. « Et au milieu coule une rivière », tel le symbole d’unification, de renouveau et de sérénité. Source de recueil, de retrouvaille, de lâcher prise. Rivière : berceau d’abondance, de pureté, de vie. Elle est à l’image de cette famille tumultueuse : colérique, calme, accueillante.
Un ballet de mots à l’unisson, au son de cette rivière domptée par ces frères et ce père. Un ballet émouvant à l’image de cette ligne d’eau et de ces furtives mouches. Une harmonie parfaite frappée par une tragédie.
Captivée et éblouie sont les seuls mots qui me viennent à l’esprit pour décrire « et au milieu coule une rivière ».
Résumé
Et au milieu coule une rivière est plus qu’un roman autobiographique, c’est un récit imprégné d’une lumineuse nostalgie, un livre qui défend une philosophie inspirante. Norman Maclean y raconte son enfance dans les Rocheuses, au sein de paysages magnifiques dont chaque relief influence en profondeur ceux qui y vivent. Comme dans les romans de Pete Fromm, la pêche n’est pas qu’un simple loisir, c’est un art de vivre, une discipline, une chanson de geste qui apprend tout et qui poursuivra Norman dans toutes les étapes importantes de son existence. Préface de Robert Redford, metteur en scène du célèbre film inspiré du récit de Maclean.
(Source : Rivages)
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