La Romance de Ténébreuse, Tome 14 : L'Épée enchantée

Le vaisseau d’Andrew Carr, Terrien sans attaches, s’écrase dans les Heller, montagnes gelées et hostiles de Ténébreuse. Ses compagnons de voyage sont morts dans l’accident, il se retrouve seul dans une zone isolée traversée par les violentes tempêtes de neige. Pourtant, il revoit le spectre d’une inconnue, Callista, qui essaie de le guider.

L’inconnue, qu’au départ il croit irréelle, va le mener vers Ellimir Alton — la sœur jumelle de Callista — et leur cousin Damon Ridenow, Comyn qui ne cesse de douter de lui. Les deux Ténébrans sont surpris de découvrir un Terrien qui possède le laran, mais sont obligés de s’allier avec lui pour retrouver Callista, future gardienne d’une Tour, mais enlevée par des êtres mystérieux… qui s’avèrent être des hommes-chats.

Ce roman est l’un des rares qui mettent en avant une des espèces non-humaines de Ténébreuse. À titre personnel, j’ai peu d’appétence pour les aventures de SF avec des extraterrestres, surtout quand ceux-ci sont un brin caricaturaux. Ce sont les vrais « méchants sanguinaires » des histoires de Fantasy basiques. Malgré tout, le récit se laisse lire, car l’auteure sait tisser des liens complexes entre les personnages qui évoluent avec les événements, et le lecteur se demande ce qui arrive dans le surmonde. C’est l’occasion d’en apprendre davantage sur le laran, ce don si particulier et qui reste en partie non exploré dans certains romans du cycle.

Il est donc dommage que les relations amoureuses soient si simplistes dans ce roman. Je regrette aussi une fin un peu facile, même j’ai eu du plaisir à relire ce livre relativement court.

Très moyen, voire faible.

Premier tome du sous-cycle : L'âge de Damon Ridenow de la phase l'empire terrien.

Chronologiquement, ce tome se situe entre la chaîne brisée et la maison des amazones (sous-cycle des amazones libres).

Andrew Carr, Terrien pur jus, a le coup de foudre pour une Ténébrane (terme que je préfère de loin à tous les Ténébrosiens et toutes les Ténébrosiennes (à chanter sur l'air de tous les acadiens...), terme utilisé dans cette traduction) qu'il n'a vue que grâce à son Laran latent. Il s'engage alors dans le service Cartographie et Exploration pour la retrouver. Mais cette charmante Callista, belle demoiselle en détresse, s'est faite enlever par les hommes-chats, dans la contrée des Ténèbres. Carr aidé de Damon Ridenow, le cousin seigneur Comyn des sept domaines, vont, à l'aide de leurs Laran combinés, sauver l'élue de son coeur et faire ménage à quatre avec la jumelle...

Je me moque, je me moque. Oui car en dehors du fait qu'il s'agit d'un épisode d'un cycle d'anthologie, ce court roman n'a rien d'intéressant et vaut surtout pour l'utilisation du Laran.

Les hommes-chats, dont je ne me souviens pas avoir eu à faire dans les épisodes précédents, sont à peine abordés si ce n'est pour faire les méchants.

La mièvrerie des amours est à son comble.

Les combats sont fades et enfin, on n'apprend rien sur la société de Ténébreuse.

Bref, espérons que la tour interdite, le tome suivant, sera plus avenant.

Cette fois ci je capitule ... Il faut que je lise autre chose que Zimmer Bradley !!! Lu en diagonale ...lassant au bout de Dix tomes

Sans savoir que c'était dans une série, j'ai lu ce tome il y a quelques années sans accroché totalement. Mais en sachant que toute une série existe, ceci explique peut-être cela.

Enfin !! voila un tome que j'ai lu avec plaisir !! Les deux personnages principaux sont des hommes, ce qui est plaisant parce que pour une fois leurs réactions paraissent normales et je parviens à m'identifier à eux. Surtout à Andrew, le terrien. Je me répète mais je trouve souvent que les personnages féminins sont très caricaturés et j'ai beaucoup de mal à m'y identifier. L'auteur a davantage de facilité, a priori, à cerner des personnages masculins.

Ce tome nous permet surtout de comprendre davantage la trilogie de Jaëlle et l'histoire de la Tour interdite et de Damon et Callista. C'étaient des personnages que l'auteur avait introduit bien trop abruptement (dans le tome 2 de la trilogie) et voila qu'elle nous les présente de manière plus efficace pour notre plaisir. Peut-être qu'il vaudrait mieux lire ce tome après le premier tome de la trilogie...

Du coup, pour ce tome, je me suis régalée et c'est la première fois depuis le début de cette saga. L'histoire est bien, il y a suffisamment d'actions pour pas qu'on s'ennuie (contrairement aux tomes précédents qui étaient bien trop lents et où il n'y avait pas souvent de l'action). La psychologie des personnages est un peu plus fouillée, même si celle d'Andrew n'est pas totalement pensée. Les deux femmes passent un peu au second plan mais pour une fois, ce n'est pas si mal. Surtout qu'Ellemir, commençait à me courir sur le début.

Bref, je suis ravie et agréablement surprise de ce tome et je continue, pour une fois avec plaisir la lecture de cette saga.

Les liens entre Ténébrans et Terriens se poursuit mais toujours individuellement, l'Empire aimerait bien s'en mêler, mais heureusement chacun cache bien ses secrets! certains humains redécouvrent leurs dons et font des rencontres intéressantes. Andrew Carr va suivre ce qu'il croit être un rêve, il va presque y perdre la vie, mais grace à la jeune femme de son rêve il aura la vie sauve et il va rencontrer la famille de ce rêve étrange nommée Callista et faire la connaissance de Damon Ridnow qui lui se sent inutile et qui se sous estime suite à un malentendu, n'étant pas un guerrier, mais suivant la coutume ne peut utiliser son Laran puisqu'il a fait son temps à la tour et ne peut aider sa cousine qui a été enlevée par des hommes chats. Ses deux déracinés vont s'accorder pour essayer de sauver Callista, l'un trouvera sa place dans ce monde pourtant étranger et l'autre va résoudre son problème et acquérir la sureté de soi qui lui manquait, mais surtout un but à atteindre car devant l'ineptie de la perte d'un savoir faire qu'il ne peut utiliser car il n'est pas enfermé dans une tour va s'engager une guerre pour faire valoir ses droits et un changement profond de la société Ténébrane sur l'usage du Laran.

Lu il y a déjà quelques années, je me souviens d'avoir dévoré cette série...