Birmingham, Tome 3 : La Rose de Charleston

Comme tous les livres de cette auteure cela prends un petit peu de temps pour se mettre dans l'histoire mais une fois que c'est fait Mon Dieu. Cette histoire est juste magnifique allez y vous serez satisfaite

Dans l'ensemble, j'ai apprécié ma lecture. Mais ce n'est pas le meilleur de l'auteur. Avec un thème un peu trop copier/coller avec le tome 1 et 2, dommage.

Tout de même la plume, le style de l'auteur sont toujours présents. Malgré quelques longueurs, c'est une histoire assez addictive, surtout la première partie. De la romance, des quiproquos, des rebondissements, des personnages entiers… sinon ce ne serai pas du Woodiwiss.

Beau, macho un peu primaire (ne pense qu'au sexe en un sens) mais gentleman jusqu'au bout des doigts ;). Et Cerynise (mais où est-elle allée chercher ce prénom :( ) jeune fille innocente, mais pleine de caractère, de courage, qui ne mâche pas ses mots et sait ce qu'elle veut.

Bon, ce n’est pas le tome qui remonte la série, j’avais vraiment apprécié le premier et été déçue pas le tome 2. Celui-ci suit malheureusement le précédent, lecture remplit de longueur, des personnages principaux absolument pas intéressants, à la limite de l’insupportable pour le personnage masculin, qui est exécrable, imbu de lui-même, autoritaire et on repasse pour la galanterie. Une héroïne passable qui tolère beaucoup de chose et une pâle copie de l’intrigue du premier tome. Je sors de cette série ravie de l’avoir terminée. Dommage.

Beau est le digne fils de son père. Roman très proche du premier tome. J'ai beaucoup apprécié ce volume.

Bonne lecture pour passer le temps mais trop de longueur. On dirait que par moment l'auteur fait durer l'histoire comme elle le peut. La trame de l'histoire est la même que pour le tome 1 plus ou moins. L'auteure aurait pu faire quelque chose de plus original.

Je déteste les petits noms que Beau donne à sa femme! Par contre j'ai aimé la confrontation gentils-méchants de la fin.

J'ai beaucoup aimé. Cerynise est une jeune femme courageuse et qui n'a pas peur de prendre sa vie en main. Elle prend des risques et elle a raison car elle finira par trouver le bonheur. Beauregard est un personnage masculin que j'ai également apprécié mais qui malheureusement n'est pas très original.

Très bon roman, bien que peu original. On retrouve les mêmes ingrédients des tomes précédents :

Spoiler(cliquez pour révéler)Un homme super super beau et riche.

Une fille super super belle et innocente.

Un mariage précipité.

La fille se refuse à l'homme qui est très insistant.

Une autre femme tente de voler l'homme à la fille.

Un méchant veut kidnapper la fille.

Ce qui est un peu dérangeant.

D'un autre côté, Beau est un mélange de Brandon et de Jeff. On retrouve les mêmes traits de caractère des deux hommes. Cerynise, quant à elle, est plutôt semblable à Heather et Raelynn.

Puis, la fin est mieux : Spoiler(cliquez pour révéler)C'est la fille qui se protège seule et sauve son mari.

ça reste tout de même une bonne lecture. Pas besoin de réfléchir, ce livre est plutôt reposant.

Cerynise Kendall est une peintre talentueuse vivant à Londres auprès de sa tutrice. La mort de cette dernière va brusquement changer sa vie. Dissimulant les dernières volontés de la vieille dame qui lui léguait toutes ses possessions, le seul parent de cette dernière, Alistair Winthrop, s'approprie sa maison et met Cerynise à la porte. La jeune fille se retrouve sans rien et décide de rentrer en Amérique auprès de son oncle. Elle tombe alors sur un vieil ami (et amour) d'enfance, Beau Birmingham (le fils de Brandon et Heather, héros du tome 1), qui suit les traces de son père et possède son propre navire marchand, l'Intrépide. Venant à son aide, il lui propose une solution ... peu conventionnelle.

La rose de Chaleston est le 3ème tome de la série des Birmingham. Très honnêtement, de cette série, je n'ai lu que celui-ci et Quand l'ouragan s'apaise. Et quels changements entretemps! On voit bien que 26 ans (oui oui, 26!) séparent ces 2 tomes. Autant le 1er était violent et passionné, autant La rose de Charleston est un roman tout en douceur. En clair, tout à fait politiquement correct.

Pour ce dernier tome, il semble que l'auteure ait voulu faire un clin d'oeil au couple de héros qui ouvrait la série, Brandon et Heather. De nombreuses similitudes sont présentes comme cette longue traversée de l'Atlantique pour le couple et l'arrivée en Amérique au milieu de la bonne société des environs. Mais le caractère de Beau est bien différent de celui de son paternel. La tendresse dont il fait preuve dès le départ envers Cerynise est plus que touchante et attendrissante.

Voilà exactement ce que j'appelle de la romance douce, caractéristique des années 90. Ce qui prime, ce sont les sentiments, le développement d'une relation. L'action vient au second plan : quelques péripéties à travers un méchant voleur d'héritage pour insuffler un peu de rebondissement.

J’ai commencé cette lecture avec beaucoup d’a priori. L’héroïne tête à claques qui ne pense qu’à écarter les cuisses, très peu pour moi!! J’ai été étonnée de voir une jeune fille de dix-sept ans plus mûre que certaines âgées du double, ce qui ne fut pas pour me déplaire! Bien sûr, certaines situations montrent son manque d’expérience, mais de façon assez naturelle. Ses réactions protectrices, la manière dont elle tente de se faire oublier, tout cela est bien rendu par l’écriture de Kathleen Woodiwiss.

Bon, certains clichés sont bien présents, comme le fait que la Belle et le Beau soient – justement – beaux, que l’heureux élu soit riche et qu’il se comporte en Prince Charmant. Mais j’ai tellement été emportée par l’histoire (non, je n’ai pas honte de le dire!), que j’ai occulté tous ces détails pour ne me consacrer qu’au récit et savoir si oui ou non, ils allaient enfin avoir la paix tous les deux et passer quelques moments chauds!!

Vraiment, j’ai passé un moment agréable avec cette lecture. Parfait pour se détendre, ce roman est parfait pour les amatrices du genre!

Ce livre-là aussi je ne m'en lasse jamais.

Pour moi, ce livre représente le courage de commencer une nouvelle vie, de s'accrocher à un bout d'espoir même s'il est infime. Les personnes sont attachants et drôles; je les adore.