Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 476
Membres
1 012 320

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Déjà, commencez en imaginant que le protagoniste se nomme "Mich'el Toutatis". Oui, pour un anglophile Rand'al Thor en est l'équivalent.

Le grand méchant est une espèce de satan nommé baal'zemon. De nombreux noms de personnages et de lieux sont à l'avenant : des copies et déformations mineures de mythologies.

"L'hommage" à Tolkien et Zimmer Bradley tient du plagiat ; le premier tome suit notamment la trame du premier tome du SdA avec de mineures variations : trollocs = trolls+orcs, il y a l'équivalent des nazguls, des agents infiltrés du mal (comme les agents de Morgoth puis de Sauron) etc.

Le protagoniste est accompagné de Mat (à la place de Merry) et Perrin (à la place de Pippin). Croyez-moi, l'auteur tente de créer sa communauté de l'anneau et il y échoue de manière spectaculaire.

Ce monde se veut riche, mais il ne tient pas la route une seconde ; dès le prologue, on devine que quelque chose cloche et le millier de pages qui suit le confirme.

Une cohorte de personnages antipathiques occupent la majorité du récit ; Rand a beau être le protagoniste, il est surtout témoin et ne fait pas grand chose, ne dit pas grand chose (dur de lui en vouloir en un sens car il est après tout un berger adolescent qui a grandi dans un coin paumé).

Votre suspension de l'incrédulité doit montrer son élasticité car de nombreux évènements sont physiquement impossibles et ne pourraient s'expliquer que par des pouvoirs de téléportation que certains personnages ne possèdent pourtant pas...

Le cycle de la roue du temps est vanté comme le fleuron de la Fantasy, d'où mon peu d'indulgence.

Ma conclusion est qu'il ne mérite pas ce statut, notamment au vu du plagiat (il est très commun pour les auteurs nord-américains de plagier Tolkien en pensant que personne ne s'en rendra compte, cf La tapisserie de fionnavar), du peu d'inspiration, des personnages peu intéressants et du rythme catastrophique du récit.

Les défauts de ce roman sont si nombreux que je pourrais écrire une thèse à son sujet et certains l'ont d'ailleurs déjà fait (une de ces études en anglais est intitulée "A study in stupidity").

D'habitude, je mentionne toujours le "positif objectif" d'un roman que je n'ai pas apprécié, mais là je n'ai rien à dire. Aucun personnage ne fait "humain", les interactions sont ratées, les évènements ne font aucun sens, le monde n'est pas crédible.

Mention spéciale : le prologue se la joue tellement épique que cela atteint des sommets de ridicule et je suis à peu près sûr que le but de l'auteur n'était pas de me faire secouer la tête et soupirer d'exaspération devant sa prose.

J'ai fini les 1200 pages de ce volume et je ne lirai jamais la suite.

Afficher en entier

Répondre à ce commentaire

Réponses au commentaire de JonasH

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode