Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 593
Membres
993 183

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Si elle n’appartient pas à l’Ajah Noir, pensa Egwene, elle mériterait d’en être la présidente honoraire…

Afficher en entier

Mat fulmina intérieurement. Quand un homme était malade, les femmes parlaient de lui comme s’il n’était pas là – ou comme s’il était retombé en enfance. Sa mère, ses sœurs, Nynaeve, la Chaire d’Amyrlin : sur ce point-là, elles se ressemblaient toutes.

Afficher en entier

Ba’alzamon se volatilisa, et sa gangue de ténèbres disparut avec lui.

Un moment, Rand resta campé où il était, pensif. Au moment du départ de Ba’alzamon, il y avait eu comme une… pliure. Une sorte de distorsion, comme si le démon avait d’une façon ou d’une autre déchiré la réalité.

Ignorant les soldats et les guerriers voilés qui le regardaient, et sans accorder non plus d’attention à Moiraine, maintenant écroulée au pied de la colonne, Rand tendit le bras, et – à travers Callandor ou par son intermédiaire – déchira lui aussi la réalité pour s’ouvrir une porte vers un autre monde.

Lequel ? Il n’aurait su le dire, mais une seule certitude comptait : c’était là qu’avait fui Ba’alzamon.

— C’est moi, le chasseur, maintenant, dit le Dragon Réincarné avant de franchir l’ouverture invisible.

Afficher en entier

La Roue du Temps tourne et les Âges naissent et meurent, laissant dans leur sillage des souvenirs destinés à devenir des légendes. Puis les légendes se métamorphosent en mythes qui sombrent eux-mêmes dans l’oubli longtemps avant la renaissance de l’Âge qui leur donna le jour.

Au cœur d’un Âge nommé le Troisième par certains – une ère encore à venir et depuis longtemps révolue – un vent se mit à souffler dans les montagnes de la Brume. Sans être le Début, car il n’y a ni commencement ni fin à la rotation de la Roue du Temps, ce vent était un début.

Afficher en entier

Même si les tabliers n’étaient pas à la mode à Tear pour les aubergistes, le patron du Godet d’Or se révéla facile à repérer, car il portait une veste bleu foncé qui semblait être l’uniforme de sa profession, du moins pour ce qu’en avait vu Mat. Rondouillard, l’homme faisait cependant la moitié de la corpulence de Lopar, et sa collection de doubles mentons était considérablement moins fournie. Assis seul à une table, il polissait une chope en étain avec une ardeur rageuse, foudroyant Comar du regard chaque fois que celui-ci ne risquait pas de s’en apercevoir. Pas mal d’autres clients considéraient le joueur barbu d’un œil noir, mais jamais quand il pouvait le remarquer.

Mat résista à l’envie d’approcher de Comar, de lui flanquer un bon coup de bâton sur le crâne et de lui demander où étaient Egwene et les autres femmes.

Afficher en entier

Tandis que le si mal nommé Projectile ballottait lamentablement en direction des quais de Tear, sur la berge occidentale de l’Erinin, Egwene avait choisi de ne pas regarder la ville. Penchée au-dessus du bastingage, elle contemplait l’eau qui venait écumer contre la coque du bateau. De temps en temps, une rame passait dans son champ de vision, lui rappelant que les marins s’efforçaient quand même de faire avancer cette baignoire (à peine) flottante. La jeune femme avait la nausée, mais relever la tête, elle le savait, aggraverait son mal. Et regarder la rive aurait simplement souligné l’intolérable lenteur du Projectile.

Afficher en entier

Tandis que les deux jeunes gens, Loial et le Champion rentraient à l’auberge, les premières gouttes de pluie vinrent s’écraser sur les pavés. Après avoir évacué les derniers cadavres, Bili répandait de la sciure sur les taches de sang. L’artiste aux yeux noirs chantait une ballade mélancolique sur l’amour perdu d’un jeune garçon – le genre de thème que maîtresse Luhhan aurait adoré !

Lan passa le premier dans la salle commune et s’engagea dans l’escalier sans jeter un regard derrière lui. Quand Perrin arriva sur le palier, le Champion était déjà en train de repartir. Sa cape-caméléon sur un bras, il finissait de boucler son ceinturon d’armes.

Afficher en entier

Quand Moiraine et Zarine étaient ensemble sur le pont, les marins travaillaient en silence et le capitaine Adarra, la tête inclinée, semblait être en train d’écouter des choses qu’il aurait préféré ne pas entendre. Au lieu de crier, comme à son habitude, il murmurait ses ordres…

Sur le bateau, tout le monde savait désormais que Moiraine était une Aes Sedai – et que son humeur n’avait rien d’idyllique. Agacé par Zarine, Perrin s’était laissé entraîner dans une dispute. S’il n’aurait su dire qui avait braillé à tue-tête les mots « Aes Sedai », il n’y avait plus de doute au sujet de l’anonymat de Moiraine, qui n’était plus qu’un lointain souvenir

Afficher en entier

Selon un cours de Verin, Avendoraldera était une pousse de l’Arbre de Vie offerte au Cairhien par les Aiels quelque cinq cents ans plus tôt – un gage de paix incroyable accompagné du droit de traverser le désert, un privilège normalement réservé aux colporteurs, aux trouvères et aux Gens de la Route. Depuis, la prospérité du Cairhien reposait sur le commerce de l’ivoire, du parfum, des épices et surtout de la soie – tout ça avec des pays situés au-delà du désert des Aiels. Verin elle-même ignorait comment les Aiels avaient pu se procurer une pousse d’Avendesora. Primo, parce que l’Arbre de Vie, tous les grimoires s’accordaient sur ce point, ne produisait pas de graines. Secundo, parce que nul ne savait où il pouvait bien être. Quelques informations à l’évidence fausses circulaient à ce sujet, mais de toute façon, l’arbre mythique ne pouvait avoir aucun rapport avec les Aiels. Ce n’était sûrement pas lui qui expliquait pourquoi les Aiels appelaient « Frères d’Eau » les habitants du Cairhien, ni pourquoi ils insistaient pour que les caravanes de marchands arborent un étendard orné d’une feuille à trois pointes typique…

Afficher en entier

La ville entière devait s’être donné rendez-vous à l’auberge, car il n’y avait pas âme qui vive dans les autres rues. De temps en temps, une ombre furtive passait devant une fenêtre éclairée, mais c’était absolument tout. Pourtant, Perrin aurait juré qu’on l’épiait. Regardant autour de lui, il ne vit rien que des rues désertes. Autour de la place centrale, la plupart des fenêtres du rez-de-chaussée ne laissaient déjà plus filtrer de lumière.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode