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La saga des O'Neil, Tome 1 : Le sceptre du destin



Description ajoutée par abi19 2010-07-05T09:34:11+02:00

Résumé

La saga des O’Neil

L’incroyable destin de trois rebelles irlandais _ deux frères et leur soeur cadette _ déchirés entre leur volonté de libérer leur terre natale du joug anglais, et leur passion fatale pour des sujets de Sa Très Gracieuse Majesté…

Le sceptre du destin

Irlande, 1560

Rory, fils aîné d’un seigneur irlandais, s’apprête à convoler dans la chapelle du château familial quand un drame se produit : sa fiancée, ainsi que tout le cortège nuptial, est assassinée par des Anglais. Assoiffé de vengeance, il devient le chef incontesté des rebelles irlandais et l’ennemi juré de la reine Elizabeth qui lance à ses trousses toutes les polices du royaume. Blessé lors d’un assaut, Rory est sauvé par les vassaux irlandais d’une gente dame anglaise qui le cachent dans le château de leur maîtresse à l’insu de celle-ci…

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Classement en biblio - 57 lecteurs

extrait

** Extrait offert par Ruth Langan **

Prologue

Irlande, 1560

La chapelle de Ballinarin, la demeure ancestrale du clan O’Neil, était pleine à craquer de parents et d’amis venus d’aussi loin que Malahide Castle, à Dublin, ou Bunratty Castle à Clare. L’humeur était festive, car l’on se préparait à assister aux noces de Rory O’Neil, fils aîné de Gavin et Moira, et de sa bien-aimée Caitlin Maguire.

Dans la sacristie, petite pièce située derrière l’autel, le fiancé faisait les cent pas pendant que son frère Conor, debout sur le seuil, observait les derniers invités en train de prendre place sur les bancs.

Rory s’arrêta.

— Qu’est-ce qui la retient ?

Un rayon de soleil passant au travers d’une haute croisée mettait des reflets bleutés dans ses cheveux d’ébène. Vêtu de chausses noires et d’une chemise blanche, sa cape ornée de l’écusson des O’Neil rejetée avec panache sur une épaule, il était resplendissant.

— Tu n’as point à t’inquiéter qu’elle ait changé d’avis, Rory, répondit son cadet. Caitlin est éprise de toi depuis qu’elle est assez grande pour écouter son cœur. Sois patient.

— Toi et ta patience ! grommela le jeune homme.

Conor sourit largement.

— Cela n’a jamais été l’une de tes vertus, je sais. Néanmoins, laisse tout de même le temps à ta lass de se faire belle pour son futur époux !

— Caitlin ne pourrait se rendre plus belle qu’elle ne l’est déjà. Et comment veux-tu que je ne bouille pas sur place ? J’ai attendu ce jour toute ma vie.

— Oui. De fait, on croirait que tu es amoureux d’elle depuis toujours.

— Depuis mes douze ans, précisa Rory avec ce sourire éclatant qui donnait à toutes les filles, de Derry jusqu’à Cork, l’espoir d’attirer son attention.

Mais Rory O’Neil n’avait d’yeux que pour une jouvencelle.

— Je suis né pour elle, poursuivit-il. Aujourd’hui enfin, Conor, ma vie sera complète.

Il baissa la voix.

— Sais-tu que je me suis rendu chez elle, hier soir, et faufilé jusqu’à sa chambre pour la voir ? Je n’avais plus la force d’attendre ce matin. Je voulais déjà partager sa couche et la tenir dans mes bras.

Conor renversa la tête en arrière et partit d’un grand rire.

— Mieux vaut que notre chapelain n’entende pas une chose pareille !

— Il n’aurait rien à redire : Caitlin a refusé. Elle m’a dit qu’elle tenait à se réserver pour sa nuit de noces, que ce serait son présent pour son époux.

Il sourit derechef.

— Son époux. Dieu, que j’aime le son de ce mot !

— Avec tout l’amour que vous engrangez depuis des années, tous les deux, je gage que votre nuit de noces sera mémorable, commenta son cadet.

Les deux frères se retournèrent en entendant la porte latérale s’ouvrir derrière eux. Une mince jouvencelle, vêtue d’une robe de satin rose, entra d’un pas précipité.

— Je craignais d’arriver trop tard, dit-elle, le souffle court.

Rory ne put s’empêcher de sourire à la vue de sa petite sœur. Ses longs cheveux roux étaient balayés par le vent, ses pommettes écarlates. A en juger par sa respiration saccadée, elle avait dû franchir en courant la distance qui séparait le donjon de la chapelle. Depuis qu’elle savait marcher, la pauvrette s’évertuait à rattraper ses aînés, pensa-t-il avec tendresse.

— Trop tard pour quoi, Briana ? s’enquit-il.

— Pour embrasser mon grand frère avant qu’il ne me quitte.

— Tu parles comme si je devais partir. Tu sais pourtant que Caitlin et moi vivrons ici, à Ballinarin.

— Oui, mais tu seras un mari.

Les joues de la fillette se creusèrent de fossettes malicieuses, et les deux frères en conclurent qu’elle avait dû surprendre la fin de leur conversation. Ce qui n’était pas grave, en soi : leur benjamine savait fort bien garder les secrets.

— De surcroît, vu la manière dont vous vous mangez des yeux, tous les deux, tu ne tarderas sûrement pas à devenir père, ajouta-t-elle. Tu n’auras plus de temps pour une sœur.

Rory l’attira à lui et posa un baiser sur le sommet de sa tête.

— J’aurai toujours du temps pour toi, Briana. Sans compter que tu pourras aussi venir chez nous chaque jour, afin d’aider Caitlin à s’occuper des enfants.

— Et combien pensez-vous en avoir, au juste ?

— Au moins une douzaine. Les garçons seront tous aussi forts et beaux que leur père ; quant aux filles, elles auront la chevelure de jais de leur mère, son teint cristallin, aussi pur que l’eau de la rivière Shannon, et elles seront si ravissantes que je devrai les enfermer à clé, pour empêcher les jouvenceaux des environs de me les enlever.

Conor et Briana s’esclaffèrent.

— C’est ce que j’aime chez toi, Rory ! déclara son frère dans un dernier éclat de rire. Quand tu rêves, tes rêves sont toujours démesurés. Espérons que le sort n’en décidera pas autrement — que tes fils ne seront pas aussi petits et délicats que leur mère, et tes filles aussi solidement bâties que toi !

— Sûrement pas. Elles…

Le jeune homme laissa sa phrase en suspens, interrompu par le charivari qui venait de la chapelle. Il sourit, soulagé.

— La voilà enfin. Je commençais à penser…

Il s’interrompit de nouveau et son sourire s’évanouit, quand il distingua la teneur des cris qui résonnaient entre les murs de pierre. Immédiatement, il se rua vers le chœur, son frère et sa sœur sur les talons.

Un garçonnet de six ou sept ans, ses habits déchirés et ensanglantés, gesticulait d’un air épouvanté à l’entrée de la petite nef.

— Des soldats anglais ! piailla-t-il. Ils étaient plus d’une douzaine !

Le cœur de Rory cessa presque de battre, tandis qu’il jouait des coudes pour rejoindre l’enfant. C’était un neveu de Caitlin, un fils de son frère aîné. Il s’accroupit à sa hauteur et le prit par les épaules.

— Où sont les autres, Innis ?

Les yeux du petit garçon étaient élargis par le choc et la terreur.

— Là-bas, sur la route. Après le tournant…, murmura-t-il dans un souffle. Mon père m’est tombé dessus et m’a cloué sous lui. J’ai été obligé de tout voir, sans rien pouvoir faire. Ils sont tous morts, Rory.

— Non !

Le hurlement du jeune homme retentit à travers la chapelle. Il lâcha Innis, se releva d’un bond et bouscula tous ceux qui se trouvaient sur son passage, figés d’horreur, pour sortir en trombe.

Une fois dehors, il attrapa les rênes de la première monture qu’il rencontra, sauta en selle et détala au grand galop. Très vite, il entendit derrière lui les sabots des autres chevaux qui le suivaient, mais pas une fois il ne se retourna.

Il filait droit devant sur la route qui traversait les tourbières, en direction de la courbure indiquée par le petit garçon. Avant même d’y arriver, il perçut le silence. Un silence étrange, anormal. Pas un oiseau ne chantait. Pas une créature ne bougeait. C’était comme si ce coin de terre tout entier retenait son souffle.

Et puis… il les vit. Des corps entassés pêle-mêle, ceux des bêtes et ceux des êtres humains. Le sol était rougi de leur sang. Les chevaux étaient morts sur place, des lances leur perforant le cou ou le poitrail. Les hommes s’étaient battus furieusement, cela se voyait ; beaucoup gisaient sur le dos, tenant encore leur épée. Mais la pire sauvagerie avait été déployée à l’encontre des femmes.

Rory vit frémir dans la brise un lambeau d’étoffe blanche. La robe nuptiale de Caitlin. Ce fut la seule chose qui lui permit de l’identifier. Il se fraya un chemin parmi le carnage et s’agenouilla près d’elle : sa robe avait été ouverte en deux d’un coup d’épée, elle ne tenait plus que par une manche encore attachée à son poignet. A en juger par les marques visibles sur son corps, elle avait été brutalisée avant d’être égorgée — avec une telle violence que sa tête était presque détachée de son cou.

Poussant un cri de douleur et de rage, il la prit contre lui et enfouit son visage dans ses cheveux ensanglantés. Des sanglots terribles le secouaient, témoignant de l’immensité de son chagrin et d’un cœur rompu au-delà de toute rémission.

— Rory… Juste ciel, Rory !

Conor fut le premier à le rejoindre. Il ne put que pleurer aussi, debout, anéanti par le spectacle de son frère qui se révoltait en silence contre l’horreur de cet événement.

Quand les autres arrivèrent, Gavin O’Neil s’avança à grandes enjambées au milieu des cadavres pour aller se poster au-dessus de son fils aîné. D’une voix qui tremblait d’une émotion à nu, il déclara :

— Le petit, Innis, dit que le chef de ces sauvages était appelé Tilden par les autres. Un grand costaud aux cheveux jaunes, défiguré par une cicatrice qui court de son œil gauche jusqu’à sa mâchoire. Un visage pareil ne sera pas facile à cacher.

— Je le retrouverai.

Rory dégrafa sa cape et en couvrit la nudité de Caitlin. Puis il se remit sur pieds en chancelant, le corps brisé de celle qui avait été sa raison de vivre dans les bras. Ce soir-là, il aurait dû l’étreindre ainsi dans leur lit, vivante et chaude. Au lieu de quoi, elle serait allongée pour toujours dans la terre rude et froide.

Il leva les yeux pour regarder les siens, proches et amis ; tous pleuraient sans pouvoir se contrôler.

Ses propres larmes s’étaient asséchées. Son regard noir, aussi dur que du granit, se porta au-delà de la chaussée imbibée de sang.

— Je vous en fais le serment : je ne m’accorderai pas un instant de repos tant que je n’aurai pas retrouvé le porc anglais qui a commis et permis ces atrocités.

Son père posa une main sur son épaule.

— Nous allons chercher un chariot pour la transporter au château avec les autres, afin de leur donner une sépulture.

Rory se dégagea.

— Non. Nul autre que moi ne touchera Caitlin. Je la porterai moi-même. C’est tout ce que je peux lui donner, maintenant.

* * *

Ce fut une procession lugubre et silencieuse qui regagna la chapelle un moment plus tard. Les membres de l’assistance, dans leurs beaux atours, contrastaient cruellement avec les cadavres ensanglantés amoncelés sur des chariots à foin. En tête de la colonne marchait Rory O’Neil, sa chemise et ses chausses tachées de sang. Le corps qu’il portait dans ses bras était entièrement recouvert de sa cape, à l’exception d’une mèche de cheveux noirs mêlés d’herbe et de sang.

Près de la petite église, il resta debout, Caitlin serrée contre son torse, pendant qu’une fosse était creusée et que le frère Malone psalmodiait les mots qui consacraient le sol où la jeune fille allait reposer.

Des heures durant, alors que d’autres tombes étaient creusées et les morts ensevelis, Rory demeura à genoux, en silence, devant le monticule de terre qui recouvrait sa bien-aimée. Quand le dernier cadavre eut été enterré, il promena les yeux sur le cimetière, puis les fixa au loin.

Sa famille s’était rassemblée autour de lui. Il enlaça son père et sa mère, baisa la joue de sa sœur.

Les pleurs de Briana se changèrent en sanglots déchirants qui ébranlaient sa frêle silhouette.

— Ne pars pas, Rory, je t’en prie ! supplia-t-elle. Il ne faut pas. Si tu t’en vas, je ne te reverrai jamais.

— Chut… Calme-toi.

Il la tint un moment contre lui et chuchota, les lèvres sur son front lisse :

— Je reviendrai. Fais-moi confiance.

Conor pressa l’épaule de son frère.

— Me permets-tu de t’accompagner ?

Rory refusa d’un ferme mouvement de tête.

— C’est quelque chose dont je dois m’acquitter seul. En outre, on a besoin de toi ici.

Il pivota vers sa mère qui se tenait derrière Innis, les bras noués autour des minces épaules du garçonnet.

— Prendrez-vous soin de lui ?

Moira acquiesça.

— Cet enfant sera un fils pour moi, jusqu’à ce que le mien revienne.

Rory attacha son baudrier, qui supportait son épée, et se munit de deux poignards : l’un qu’il glissa dans sa ceinture, l’autre dans sa botte.

Son père ôta sa propre cape, ornée elle aussi des armes du clan O’Neil, et la drapa sur les épaules de son premier-né. Puis il leva une main pour le bénir.

— Que Dieu chevauche à ton côté, Rory, et te ramène vite auprès de ceux qui t’aiment.

Sans un mot, le jeune homme enfourcha son cheval — et se tourna pour jeter un dernier regard à Ballinarin. Dans le lointain, le sommet de Croagh Patrick veillait telle une sentinelle sur la région.

La montagne changeait si rapidement de couleur qu’elle ne semblait jamais la même. Un peu plus tôt, dans la bruine, elle était d’un gris vert âpre et dur. A présent, dans la chaude lumière du soleil couchant, elle prenait des teintes adoucies, rose pêche. En hauteur, ses flancs étaient couverts de buissons tordus et d’arbres squelettiques ; à sa base poussaient de grands pins et des touffes de rhododendrons.

Des cascades se bousculaient le long des pentes pour aller se jeter dans la rivière. Des lambeaux de nuages déchirés dérivaient dans le ciel. Ce pays sauvage et désolé recelait son cœur. C’était l’unique endroit sur terre où il avait jamais désiré vivre. Désormais, cependant, ce paysage à la douceur trompeuse paraissait le narguer. Du fait de la violence qui avait eu lieu dans ses confins, il allait entamer une odyssée. Une odyssée qui l’entraînerait loin d’ici pour des années, peut-être même pour sa vie entière, jusqu’à ce qu’il ait réglé ce qu’il avait à régler.

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Commentaires récents

Or

Très belle histoire dont les descriptions des paysages font rêver et donnent envie de visiter l'Irlande. Les personnages sont très attachants tant Anna Claire et Rory que les personnages secondaires. Un bon mélange de romance et d'aventures qui se lit bien et facilement en ces chaudes journées.

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Or

Bonne lecture.

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Or

J'ai lu Le sceptre du destin de Ruth Langan et je me suis régalée ! Il y avait tout ce que j'aimais : un héros qui ne s'embarrasse pas de manières et ne fait pas dans la dentelle et une héroïne qui aurait pu paraître petite fleur et qui révèle finalement un solide caractère. J'ai adoré sa façon d'apostropher le héros en l'appelant par son prénom et nom : "Enfin Rory O'Neil !" Le langage parait désuet à des moments mais approprié selon moi, c'était totalement ce que je voulais lire. Le résumé ne reflète pas bien l'ambiance du livre. Quand ils disent que l'honneur de Rory a été bafoué c'est vraiment minimiser la situation ! Je ne dis rien pour vous laisser vous mettre en colère et tomber amoureuse de Rory ! C'est un livre avec un bon rythme et je me souviendrai longtemps du couple Rory/Anna Claire !

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Bronze

Le personnage de Rory est attachant mais autant au début il est combatif que vers la fin il semble avoir perdu sa force. Ce qui est bien dans ce tome contrairement au 2 autres, c'est qu'il ne laisse pas de question sans réponse (sur le personne de Rory). Il y a une bonne ouverture pour lancer le tome 2.

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Pas apprécié

Je n'ai pas réussi à tenir jusqu'au bout.

Bon sang que c'était... niais !

Ca commençait bien pourtant, mais ils tombent amoureux tout de suite (en 3-4 jours quoi !) et après, ce n'est que discours lyriques sur leur amour, grandes phrases improbables et gnangnan... Même les scènes d'amour sont niaises ! (autant je n'aime pas quand c'est trop cru, autant là, le côté imagé à l'extrême frisait le ridicule => vous savez, le genre de phrases du style : "les vagues de leur passion vinrent s'échouer sur les rivages de leur extase"… dans ce genre… =_=).

Je n'ai pas aimé et je ne lirai pas les deux volumes suivants.

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Lu aussi

J'ai trouvé cette romance historique sympathique à lire. Les personnages sont très attachants.

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Argent

Une histoire d'amour qui vaut la peine d’être vécue par ses protagoniste qui nous enchantent à chaque page.

Très addictif !

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Argent

une histoire de highlanders pour passer un bon moment de lecture

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Bronze

C'est une très belle histoire d'amour. J'ai bien senti l'attache qu'éprouvait Rory pour Anna Claire et vice versa. Les irlandais accepte enfin une compagne anglaise...

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Or

Une belle histoire qui tiens la route, j'ai adorer! bon déroulement, bon personnage, avec du suspense, que de bonne chose :)

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Dates de sortie

La saga des O'Neil, Tome 1 : Le sceptre du destin

  • France : 2013-02-01 (Français)
  • USA : 1999-03-01 - Poche (English)

Activité récente

cleooo le place en liste or
2022-06-14T00:13:18+02:00

Titres alternatifs

  • Rory - Anglais
  • Rory (O'Neil Saga #1) - Anglais
  • Die Geliebte des Rebellen - Allemand

Évaluations

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Commentaires 12
extraits 11
Evaluations 18
Note globale 7.56 / 10

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