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L'étrange expédition de Rügen

S'il n'existe pas de galeries souterraines à Bornholm, en revanche, l'utilisation de radars pour démontrer la théorie de la terre creuse est en partie véridique. Du moins à cent cinquante kilomètres de là.

En avril 1942, une équipe nazie de spécialistes en radar prend ses quartiers sur l'une des bases de la Kriegsmarine, à Rügen, la plus grande île allemande de la mer Baltique. La mission, classée top secrète, est dirigée par le Dr Heinz Fischer, l'un des plus grands experts allemands de la recherche sur les infrarouges et les ondes radar. En quelques jours, l'équipe installe une station radar dont l'antenne est pointée à quarante-cinq degrés en direction du ciel, afin d'envoyer des faisceaux d'ondes en direction de... l'espace. Le but de l'opération est de vérifier, expérimentalement, l'une des deux théories sur la terre creuse (1) en vogue dans les milieux nazis, en particulier chez les SS.

Cette théorie table sur le fait que la Terre, le Soleil, la Lune et les planètes sont confinés à l'intérieur d'une gigantesque terre creuse. Un peu comme dans le film The Truman Show, dans lequel une bulle gigantesque entoure le héros et donne l'illusion du ciel, du soleil et des étoiles. Les rayons envoyés par la mission du Dr Heinz Fischer sont censés rebondir sur une surface et revenir à l'envoyeur. La Kriegsmarine, qui pilote l'opération, s'est enthousiasmée pour ce projet. Selon la théorie il serait possible d'obtenir des images de la flotte anglaise, basée à Scapa Flow, la plus grande base de mouillage de la Royal Navy, au nord de l’Écosse. L'expérience fut, naturellement, un échec cuisant.

Cette étrange histoire a été révélée en 1946 par Gerard P. Kuiper, l'un des plus grands astronomes américains. Dans un long article sur l'état de la recherche astronomique - sérieuse - en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, il relate brièvement cette mission à Rügen et écrit : << Dans certains cercles de la marine allemande, on croyait à l'existence de la terre creuse. (...) Des officiers de haut rang utilisaient même le pendule au-dessus de cartes de l'Atlantique Nord. >> Kuiper précise que la croyance absurde dans la terre creuse était répandue au sein du parti nazi, au grand désespoir d'éminents astronomes. Néanmoins, l'expérience de Rügen flétrit l'image des partisans de la terre creuse et l'aviateur Peter Bender, l'un des plus chauds soutiens de cette théorie, fut envoyé en camp de concentration.

En revanche, après la guerre, le Dr Heinz Fischer a été récupéré par les Américains dans le cadre de l'opération << Paperclip >>, visant à exfiltrer aux États-Unis le maximum d'ingénieurs et de scientifiques allemands. Bien évidemment, c'était pour ses compétences avancées en matière de radar et d'infrarouge, et non pour sa participation à l'opération de Rügen.

1) La seconde théorie stipule que notre Terre est creuse et qu'elle recèle des civilisations perdues. Voir les tomes précédents.

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- Mon cher Darnand (1), je persiste. La clé de voûte de la cathédrale nazie, c'est la SS. Sans Himmler et ses troupes, l'édifice s'effondre et Hitler chute de son trône. Le Reichsführer tient tous les services de police et de renseignement, il dirige un empire industriel, il règne sur une partie de l'armée avec ses divisions de Waffen. La SS est un État dans l’État et le fer de lance de la politique raciale du régime. Himmler est plus qu'un chef. C'est un mystique doublé d'un technocrate. Un profil unique. Sa gestion industrielle du problème juif en est la preuve éclatante. Tout remonte à lui. Les camps, les déportations, les lois raciales dans les pays occupés, les spoliations...

1) Joseph Darnand, futur chef de la Milice.

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- Vous avez le sens du spectacle, on ne peut pas le nier, mentit Tristan.

Mais une autre vision s'était imposée à son esprit. Un autre spectacle. Total lui aussi. Une vision de souffrance et de sang. Le juif au visage supplicié et deux femmes blotties, affamées et terrorisées. La cave de l'hôtel de l'enfer. L'enfer de la rue Lauriston. Elle était là la vraie nature des nazis. Ils pouvaient arborer des uniformes arrogants et luisants et se prendre pour la race supérieure. Jouer dans des parodies d'opéra wagnérien à ciel ouvert. Ils n'étaient que des voyous à l'ego démesuré. Des petites frappes, bottées et casquées, cruelles et avides. En observant ce pantin agenouillé, Tristan comprit que, dans sa mégalomanie, Himmler devait regretter de ne pas avoir plus de public. Pour une fois qu'il tenait la vedette sans son Führer pour prendre toute la lumière.

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- Vous savez que Staline signifie acier en russe... Mais je crois que vous êtes aussi forgé dans le même alliage. Je sais reconnaître un homme de ma trempe.

- Merci pour la comparaison, mais je me suis toujours contenté de mon vrai nom, contrairement à vous, mon cher Iossif Djougachvili.

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- Vous oubliez le charisme du Führer. C'est lui qui entraîne son peuple.

- Oui, mais si Himmler ne faisait pas régner l'ordre, ce serait le chaos. J'ai affaire aux SS quasiment tous les jours, je peux vous dire qu'ils se considèrent comme les vrais maîtres de l'Allemagne.

- Peut-être... Mais ils ne sont pas invincibles. Vous avez vu ce qui s'est passé avec l'assassinat d'Heydrich, à Prague. Les Allemands ont failli perdre pied. S'il arrivait la même chose à Himmler, je ne suis pas bien sûr que la SS s'en remettrait, les généraux de la Wehrmacht les boufferaient tout cru.

- C'est sûr que sa mort pourrait mettre un sérieux coup de frein à l'opération Vent printanier.

- Alors souhaitons-lui une bonne santé, j'aimerais vraiment que la France soit débarrassée une bonne fois pour toutes de cette engeance talmudique.

Tristan en avait assez entendu, l'expression << gestion industrielle du problème juif >> l'avait écœuré. La peste antisémite rendait fous ceux qui en étaient contaminés.

La clef de voûte de la cathédrale nazie.

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1942 : Quand l'Ahnenerbe bascule dans l'horreur

L'occupation de la région du Caucase par l'armée allemande fit découvrir aux nazis une mosaïque de peuples et de tribus dont certains semblaient pratiquer des formes de religion hébraïque. Pour décider qui était vraiment juif et qui ne l'était pas, la SS demanda à l'Ahnenerbe de définir des critères anatomiques de judéité. Une mission impossible pour Wolfram Sievers, le patron de l'Ahnenerbe, puisqu'une précédente étude, faite auprès d'écoliers allemands, avait démontré que plus de onze pour cent des enfants juifs étaient blonds avec des yeux bleus... Toutefois, une étude fut commandée à l'anthropologue Bruno Beger qui, lors de l'expédition au Tibet en 1939, s'était passionné pour la mesure des crânes afin de déterminer, parmi les Tibétains, ceux qui étaient d'origine aryenne. Ce dernier décida donc d'appliquer le même système, mais cette fois pour définir qui était juif. Pour commencer son étude, il choisit de constituer une collection de cent vingt crânes.

Il acheta des crânes auprès de l'Institut d'anatomie de Poznan, en Pologne, où le directeur avait passé un accord commercial avec les agents de la Gestapo locale : il leur permettait d'utiliser l'incinérateur de l'institut pour faire disparaître les corps des opposants, en échange de quoi il récupérait... leur tête. Et comme il n'y a pas de menu profit, le directeur vendait chaque crâne l'équivalent de 130 dollars actuels.

Mais Beger avait un besoin pressant de crânes et, l'Institut d'anatomie de Poznan ne pouvant pourvoir à la demande, l'anthropologue de l'Ahnenerbe se tourna donc vers l'université de Strasbourg - rebaptisée StraBburg depuis que les nazis avaient annexé l'Alsace et la Lorraine. Ainsi, en février 1942, il fut décidé que l'université de Strasbourg se lancerait dans la collection de crânes juifs directement importés du front de l'Est, où Wehrmacht et SS se livraient à un massacre sans précédent de juifs. Un courrier officiel précisait même les conditions scientifiques de la collecte : avant d'être exécuté, le sujet choisi devait être mesuré, photographié, une fiche biographique établie ; quant à la tête, une fois séparée du corps, elle devait être envoyée à << son lieu de destination dans un récipient en métal soigneusement fermé contenant un liquide conservateur >>.

Mais le front de l'Est était loin et les militaires peu coopératifs, Beger se tourna donc vers le système concentrationnaire nazi, où les juifs déportés affluaient par centaines de milliers. Sur les conseils de Sievers, son directeur, Beger décida de se rendre à Auschwitz pour sélectionner des cobayes. Ainsi, en juin 1943, il réquisitionna cent cinquante juifs, hommes et femmes, qu'il observa et mesura, avant d'en sélectionner cent quinze qui furent envoyés en Alsace, au camp de concentration de Natzweiler. Les victimes seront gazées avant d'être minutieusement disséquées, puis préparées, par macération chimique, pour récupérer leur squelette. Un travail abominable qui n'était pas encore terminé en novembre 1944 quand les Alliés découvrirent les restes de quatre-vingt-six corps. Avant de s'enfuir, les scientifiques de l'Ahnenerbe avaient détruit ce qui étaient déjà réduits à l'état de squelette, non sans avoir récupéré leurs dents en or...

Jugé à Nuremberg, Wolfram Sievers fut condamné à mort pour crimes contre l'humanité et exécuté en 1948.

Ce n'est qu'en 1970 que Bruno Beger fut jugé pour sa participation à << L'Affaire des squelettes juifs >>. D'abord condamné à trois ans de prison pour complicité de meurtres, sa peine fut transformée, en appel, à du simple sursis.

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Le mythe des bases secrètes nazies et des souterrains inconnus

Pas de site mystérieux à Bornholm, c'est là une pure invention des auteurs. Mais il suffit de faire un tour sur le Net et de taper << base secrète nazie >> pour tomber sur une multitude de sites dévoilant l'existence de mystérieux sanctuaires du Troisième Reich dans l'Arctique, l'Antarctique, au Groenland, en Norvège, au Pérou... Voire sur la face cachée de la lune. N'en jetez plus. Idéal pour des œuvres de fiction, mais intenable sur le plan historique.

Il y a bien eu une station nazie installée sur le Terre Alexandra, une île située à mille kilomètres du pôle Nord, mais elle était à finalité météorologique. Quant au pôle Sud, on retrouve la trace d'une expédition allemande avant-guerre, fin 1938, début 1939, et l'établissement d'une base temporaire dans la région dite de la Nouvelle-Souabe. Mais il n'existe aucune preuve fiable que cette station fut utilisée pendant la guerre.

Pourtant, le mythe va connaître une nouvelle jeunesse, en août 1946, avec les curieux événements qui ont entouré le fiasco d'une expédition militaro-scientifique américaine dans la zone. A l'époque, les États-Unis veulent s'assurer des positions stratégiques dans le pôle Sud. Ils lancent l'opération << Highjump >>, l'envoi d'une armada de douze navires, dont un porte-avions, un sous-marin, près de cinq mille soldats, une vingtaine d'hydravions et d'hélicoptères. Le célèbre amiral Richard E. Byrd, explorateur, spécialiste des pôles, dirige l'expédition.

Hélas, la mission tourne au désastre, le sous-marin entre en collision avec un iceberg, un avion s'écrase et le convoi rebrousse chemin en 1947. Un documentaire, The Secret Land, a d'ailleurs été tourné pendant l'expédition. En 1970, un journal intime de l'amiral Byrd refait mystérieusement surface, ainsi que des témoignages anonymes de soldats ayant participé à l'opération. Selon ces sources, les Américains auraient découvert une base secrète nazie, toujours en activité, et bâtie sur l'ouverture de souterrains gigantesques creusés par une civilisation inconnue. Civilisation qui aurait aussi truffé le Tibet, l'Amérique du Sud et l'Europe de tunnels analogues.

L'expédition aurait alors rebroussé chemin pour ne pas être anéantie par ces étranges occupants, dirigés par un mystérieux maître à l'accent... teuton. Un scénario idéal pour un futur Indiana Jones, mais sans fondement réel - du moins jusqu'à preuve du contraire. Le journal de Byrd n'a jamais été authentifié. Un vrai faux journal concocté par des adeptes de la terre creuse.

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L'ésotérisme rouge

On pourrait s'étonner qu'en Union soviétique, un haut responsable communiste, matérialiste, officier du NKVD, puisse s'intéresser à des mythes ésotériques. Et pourtant... c'est vrai. Pour construire le personnage d'Evgueni, nous nous sommes inspirés de Gleb Boki, l'un des plus hauts cadres de la Guépéou (1). Ce révolutionnaire de la première heure dirigeait, depuis le début des années 1920, la très puissante Section spéciale, service des écoutes dans l'Union soviétique et du décryptage des codes de chiffrement des pays étrangers. Redoutable maître espion, il a lancé les premiers travaux de recherche en URSS sur la parapsychologie et le chamanisme. Non pas par croyance en des forces magiques, mais parce qu'il était persuadé que les manifestations dites paranormales pouvaient être expliquées par la science.

Selon Andrei A. Znamenski, qui a écrit un livre sur le sujet (2), le 31 décembre 1924, Boki organisa une conférence pour les officiers de haut rang de la Guépéou sur l'existence des villes mythiques asiatiques Shambhala et Agartha, avec pour orateur un certain Bartchenko, spécialiste des sciences occultes. Bartchenko, qui avait voyagé au Tibet, croyait en l'existence de ces cités perdues qui fonctionnaient selon les principes d'un communisme avant l'heure, sans classe sociale, sans propriété. Dirigées par un grand sage et une assemblée d'élus elles offraient l'image idéale d'une société collectiviste. Un peu comme la légendaire Atlantide.

Shambhala aurait atteint un niveau stupéfiant de connaissances scientifiques, bien en avance sur l'époque. Retrouver ces villes, c'était mettre la main sur des livres cachés révélant des secrets technologiques qui pouvaient assurer la victoire du communisme dans le monde entier. Embauché par Boki, Bartchenko donna des cours à des cadres du Parti communiste sur les tantra et les traditions ésotériques. Les deux hommes voulurent monter une expédition au Tibet, mais l'opération échoua de peu. Boki, impliqué dans des scandales sexuels et responsable d'actes malveillants contre des membres du Parti, s'était fait trop d'ennemis au sein de l'appareil soviétique. Il sera fusillé en 1937, lors des grandes purges staliniennes. Les recherches en Union soviétique sur l'utilisation de la parapsychologie à des fins militaires continuèrent après-guerre et jusqu'au milieu des années 1970, en particulier à l'université de Leningrad.

1) Police politique qui a succédé à la Tchéka et qui deviendra par la suite le NKVD puis le KGB.

2) Andrei A. Znamenski, Shambhala, le Royaume rouge, éditions Camion noir. Et aussi A. A. Bouchkov, NKVD, la guerre contre les forces occultes.

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Staline et ses voyants

Ancien séminariste devenu marxiste convaincu, le tyran du Kremlin méprisait tout ce qui avait trait au spirituel et à l’ésotérisme. Ce qui ne l’empêchait pas de consulter régulièrement deux médiums : un voyant de cabaret, d’origine polonaise, Wolf Messing, qui se faisait appeler << le mage de Staline >> et une infirmière russe, Natalia Lvova, dite << la sorcière rouge >>, douée, selon le maître de l’URSS, pour ses prédictions remarquables.

Juste après la signature du Pacte germano-soviétique en 1939, Messing aurait prédit à Staline une guerre avec les Allemands et une victoire en mai 1945. Si aucun témoignage direct ne corrobore cette histoire, rapportée et embellie avec le temps, il est tout à fait exact que Staline lui accordait sa protection personnelle depuis la fin des années 1930. Les visites du mage au Kremlin étaient un secret de Polichinelle. Natalia Lvova, elle, a disparu mystérieusement juste avant le début de la guerre, son dossier personnel a été effacé par le NKVD. (1)

1) Pour aller plus loin, on peut lire l’ouvrage de Vladimir Fédorovski, Le Département du diable, éditions Plon.

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- Voici un manuscrit que j'ai rapporté. Il raconte l'existence d'une cité mythique bâtie il y a des milliers d'années dans les confins de l'Himalaya. Elle était appelée Shambhala ou Agartha. Ses constructeurs appartenaient à une civilisation ayant survécu à un cataclysme universel. Un déluge provoqué par l'usage inconsidéré d'une force mystérieuse et terrifiante : la Kundali.

- Formidable, ricana Staline. J'aurais justement besoin d'une arme de la sorte pour anéantir Hitler. Tu as pu ramener un peu de Kundali avec toi, camarade ?

- Non... C'est que..., murmura le scientifique apeuré.

- Continue, Radenko, jeta Evgueni. Notre chef suprême fait de l'humour.

- D'après la tradition, la Kundali est une énergie prodigieuse, présente en toute chose en ce monde, minéral, végétal et animal. La Kundali est la fontaine originelle de la Kundalini, l'énergie qui, selon les adeptes du yoga, parcourt notre moelle épinière. Elle est source de vie et de destruction. Et selon ce manuscrit, les rescapés de Shambhala ont forgé quatre reliques en forme de swastikas pour contenir une partie de cette force universelle.

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