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Liste des extraits
- En réalité, nous nous disputons assez souvent.
- Quoi ?!
- Oh, et je lui ai donné un coup de genou dans les parties sensibles un jour.
Un ange passe, puis May s'étrangle de rire. Elle plaque une main sur sa bouche et papa pince les lèvres, contenant à grande-peine son hilarité. Maman change de couleur.
- America, c'est une plaisanterie ? Dis-moi que tu n'as pas agressé le prince.
Afficher en entier« -Si j'avais pu demander votre main au gala d'Halloween, je l'aurais fait. Les fiançailles sont censées être une affaire officielle, avec mes parents, des invités, les caméras, mais j'ai obtenu la permission de vous poser la question fatidique en privé. Je ne vous ai jamais dit cela ?
J'avais préparé un long discours, plein de promesses. A un moment, j'aurais eu un trou de mémoire et je me serais ridiculisé. Et pourtant... chaque mot est resté gravé dans ma mémoire. »
Afficher en entier- J'avais peur de me tromper, de vous voir changer d'avis, poursuit-il. C'est pour cela que je cherche une alternative satisfaisante, mais en vérité... il n'y a que vous. Peut-être que je cherche mal, peut-être que les autres filles ne répondent pas à mes critères. Peu importe. C'est vous que je veux. Et cela me terrorise. Je crains que vous ne réclamiez votre liberté.
- Maxon, vous n'avez rien à craindre. Vous risquez seulement de découvrir que je ne suis pas à la hauteur.
- Ma chère, vous êtes la perfection incarnée.
Afficher en entier-Chut,chut!les reprend Anne.Si mademoiselle veu gagner le cœur du prince,il va falloir échafauder un plan.
Et elle affiche un sourire machiavélique .Avec des alliées pareilles ,je ne vois pas comment la victoire pourrait m'échapper...
Dernières phrases du livre
Afficher en entierPar dessus l'épaule de mon cavalier, je vois Aspen danser avec Céleste. Mon estomac se noue.
-On raconte aussi, mademoiselle, que vous vous entendez bien avec tout le monde. Et le bruit court que vous avez conduit vos femmes de chambre dans l'abri royale pendant une des attaques des Renégats.
-Je me voyais mal les abandonner...
-Vous avez le coeur noble, mademoiselle.
-Merci, dis-je en rougissant.
Afficher en entierUne fois seule dans ma chambre, je ferme les yeux et je revis chaque détail de notre tête-à-tête : les regards de Maxon m'a lancés, ses sourires espiègles, ses baisers. Je serai curieuse de savoir si mon bien-aimé, dans la tranquilité de sa chambre, se repasse les mêmes images avant de s'abandonner au sommeil.
Afficher en entierIl me laisse seule, plantée au milieu du couloir. C’est seulement après son départ que je me rends compte que je tremble comme une feuille.
Un déclic se produit alors en moi. Je suis nerveuse, c’est vrai, mais surtout en colère. Pour qui se prend-il, ce bonhomme ? Ce n’est pas parce qu’il est roi – dictateur, pour être plus précise – et qu’il opprime tout un peuple qu’il a le droit de régir mon existence. Je ne me laisserai pas faire.
Afficher en entierTout jeu comporte des règles, et les règles sont faites pour être transgressées.
Afficher en entierAspen et America
-Je me sens si bête
-tu n'es pas bête
-Mais si
-Tu me trouves bête, moi?
-Non
-C'est parce que je suis intelligent. Trop intelligent pour être amoureux d'une gourde. Alors la bêtise, ce n'est pas un argument.
Afficher en entier- J'avais peur que vous ne m'ayez définitivement oubliée.
- Je gardais le meilleur pour la fin. J'ai passé du temps avec toutes les autres, je me suis acquitté de mes obligations. Le reste de la soirée vous est réservé.
Mon coeur s'emballe, je me sens rougir.
- Vous êtes éblouissante, America. Beaucoup trop belle pour vous afficher au bras d'un pirate vêtu de guenilles.
- Vous auriez préféré un autre déguisement ?
- Je me verrais bien en arbuste. Ou en buisson, pour être assorti à votre papillon.
- Je donnerais cher pour vous voir déguisé en buisson.
- L'année prochaine.
Je l'interroge du regard. L'année prochaine ?
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