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- Quand nous nous sommes rencontrés, vous n'avez pas réussi à détacher votre regard de mes seins. (Il a blêmi, comme s'il pensait qu'il avait fait ça avec tant de subtilité que je ne l'avais pas remarqué.) Vous pourrez contempler mes fesses en sortant.
Afficher en entier- Tu sais comment ta mère et moi nous sommes rencontrés, a commencé papa.
j'ai levé les yeux au ciel.
- Tout le monde le sais. Votre histoire est devenue un conte de fées.
En entendant ça, leurs regards se sont adoucis et ils ont souri. Leur corps ont semblé se rapprocher subrepticement l'un de l'autre et mon père s'est mordu la lèvre en contemplant ma mère.
- Excusez-moi. Votre fille aînée est dans la pièce, au cas où vous l'auriez oublié.
Afficher en entier- Votre Altesse.
- Pour vous, ce sera Chieuse Royale, ai-je rétorqué.
Afficher en entierJ'étais tellement accablée que j'ai posé mes levres sur les siennes .
-Aïa a t-il crié en reculant .
-Pardon je voulais juste ...
Il m'a attrape par le poignet et ma fait entrer brusquement dans la pièce la plus proche dont il a chaque la porte derrière nous tout en me poussant contre le mur . Il m'a embrasse plus brutalement que je ne l'avais fait: apparemment sa lèvre ne lui faisait pas si mal que ça .
Afficher en entier- Tu es hallucinante.
- Tais-toi. Vas t'amuser. Mais attends, d'abord il faut qu'on te débarasse de ta cravate.
Il a baissé les yeux pendant que je commençais à défaire le nœud.
- Quel est le problème avec cette cravate?
- Tout. Les mots me manquent pour t'expliquer à quel point ta cravate est un problème. Je suis sûre que si on la brûlait, on rétablierait la paix dans le monde.
Afficher en entier- Votre Majesté, a-t-il dit sur un ton suave en s'inclinant.
- Altesse, ai-je rectifié.
- Non, non. Appelez-moi juste Ean.
Son sourire a creusé une de ses joues.
- C'était une très mauvaise blague, ai-je répondu en riant.
- Il fallait que je prenne ce risque. Il y a trente-quatre autres gars. Comment faire pour que vous vous souveniez de moi ?
Afficher en entierJ'ai dix-huit ans. Je suis génétiquement programmée pour me disputer avec mes parents.
Afficher en entier« — Kile Workwood, veux-tu m’embrasser ?
Il a siffloté entre ses dents.
— Tu n’es pas du genre timide, hein ?
— Arrête. Oui ou non ?
Il a fait la moue en faisant semblant de réfléchir.
— Ça ne me dérangerait pas.
— Tu as bien compris que même si je t’embrasse, je ne t’apprécie pas et je ne t’épouserai jamais ?
— Dieu merci.
— Bonne réponse. »
Afficher en entier-Un mot de plus et je te rase la tête dans ton sommeil.
-Moi aussi, je t'aime.
Afficher en entierChapitre 8 pages 80-81
Ma mère s'est penchée vers sa soeur.
-Laisse-moi juste te rappeler que d'une, tu n'as pas le droit de les draguer, et que de deux, tu as deux fois leur âge.
[...]
Nous allons l'aider à démarrer.
-Ca ne marche pas comme ça, a répondu ma mère en se rencognant dans son fauteuil tout en buvant son thé d'un air entendu.
Mlle Marlee a de nouveau éclaté de rire.
-Comment oses-tu dire ça ? Tu veux qu'on te rappelle comment tu as démarré ?
-Quoi ? ai-je demandé, interloquée. (Combien de détails mes parents m'avaient-ils cachés ?) Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Ma mère a posé sa tasse et levé une main pour se défendre.
-J'ai accidentellement croisé ton père la veille du début de la Sélection et tu sais bien, a-t-elle poursuivi à l'intention de Mlle Marlee, que j'aurais pu être éliminée à cause de ça. Je ne lui ai pas fait une excellente première impression, j'en ai bien peur.
J'étais bouche bée.
-Maman, combien de règles as-tu transgressées au juste ?
Ses yeux ont lancé des éclairs.
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