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"Any girl who would risk her life for someone she loves certainly deserves to be called a lady."
Afficher en entierJe suis son regard paniqué et aperçois America qui s'élance à toutes jambes en direction de la forêt, une poignée de Renégats sur ses talons.
Non.
Des coups de feu retentissent à travers les jardins tandis qu'America court se réfugier parmi les arbres.Elle trébuche à plusieurs reprises.Les Renégats l'ont quasiment rattrapée.Ils paraissent plus jeune et plus entraînés que ceux de la nuit dernière.Ce sont peut-être leurs enfants venus finir ce que leurs pères ont commencé.
Afficher en entier"There weren't words wide enough to hold what I felt for her."
Afficher en entierLE PRINCE: dialogue entre America et Maxon.
[...]
-Bref, poursuit-elle, ma sœur aînée, Kenna, a épousé un Quatre. Elle travaille dans une usine à présent. Ma mère désire que j'épouse un Quatre, moi aussi. (pourquoi pas un Un ?)Mais je ne veux pas être obligée d'arrêter de chanter. Chanter, c'est ma passion.
Ah, je comprends mieux. Le garçon qu'elle a laissé derrière elle doit être un Cinq très talentueux.
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Note de Kiera.
Si vous deviez décrire Aspen en quelque mots...
Au début du tome 1 : "Jamais je ne renoncerais a toi."
A la fin du tome 2 : "Je t'en prie, ne renonce pas à moi."
Afficher en entier« Je fais les cent pas, tentant d’évacuer la nervosité qui me paralyse. À l’époque où la Sélection n’était qu’un point à l’horizon – une perspective lointaine –, cela m’électrisait. Mais aujourd’hui ? Aujourd’hui, je ne sais plus. Je ne sais plus où j’en suis.
Le recensement a été effectué, les données sont épluchées par nos meilleurs analystes. Le personnel a été assigné à ses nouvelles tâches, les couturières travaillent sans relâche, les chambres attendent leurs nouvelles occupantes. Le palais est en ébullition.
Pour les prétendantes, la Sélection a démarré une fois rempli le formulaire de candidature – et nous allons recevoir des dizaines de milliers de formulaires. Pour moi, elle commence dès ce soir.
Car ce soir, je fête mes dix-neuf ans. Et, à dix-neuf ans, j’entre dans le club des célibataires hautement convoités. »
Afficher en entierJe scrute la cravate bleue. Non. La beige? Non plus. Vais-je tergiverser devant mon armoire chaque matin, aussi longtemps que durera la Sélection? Je souhaite faire bonne impression sur le groupe -et me racheter auprès de l'une d'elle- mais je doute que la couleur de ma cravate ait un rôle à jouer là-dedans. Je pousse un soupir résigné. Ces filles me font déjà tourner en bourrique.
Afficher en entier- Promets-moi de m'attendre, l'ai-je imploré.
Bien qu'elle n'ait rien répondu, je n'ai pas perdu espoir.
Puis Maxon est apparu, dégoulinant de charme, de richesse et de pouvoir, et s'est dirigé droit vers elle. Et là, j'ai su. J'ai su que j'avais perdu la bataille.
Afficher en entier— Mlle America Singer de Caroline, grade Cinq.
Une Cinq, sûrement l'une des figurants choisies par mon père. Trop concentré sur mon sourire, je ne vois même pas la photo qui s'affiche à l'écran.
Afficher en entierIl me reste tant de choses à lui confier. Mais j'entends la porte de l'infirmerie s'ouvrir dans un grincement. Malgré l'obscurité, je distingue l'uniforme de Maxon. Je m'éloigne à pas lents, tête baissée, comme si j'étais en plein tour de ronde.
Il ne me salue pas; c'est à peine s'il me remarque en fait. Il se dirige vers le lit d'America, approche une chaise de son chevet et s'y installe.
Une bouffée de jalousie m'envahit. Depuis le jour où j'ai rencontré America dans l'appartement de son frère, j'ai été contraint de l'aimer à distance. Maxon, lui, a tous les droits. Celui de s'asseoir auprès d'elle, de lui caresser la main. Le fossé entre leurs castes respectives n'a pas la moindre importance.
Parvenu à la porte, je m'arrête et les observe une dernière fois. La Sélection a effiloché les liens qui m'unissent à America. Maxon est comme la lame bien aiguisée d'un couteau, qui, dût-elle se rapprocher trop près, serait susceptible de trancher entièrement le cordon qui nous relie. Le problème, c'est qui j'ignore jusqu'à quel point America le laisse approcher.
Il n'y a pas trente-six solutions. Il ne me reste plus qu'à attendre, accorder un temps de réflexion à America. En fait, nous en avons tous besoin.
Le temps est le seul remède aux maux qui nous agitent. Avec lui, tout finira par trouver son sens.
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