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Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T17:17:54+02:00

A contrecoeur, Aspen finit par se détacher de moi. Nous prenons trop de risques.

- Je ferais mieux d'y aller, murmure-t-il.

- Mais moi, je veux que tu restes...

- America Singer, viendra le temps où tu t'endormiras dans mes bras tous les soirs. Et tous les matins, je te réveillerai en te couvrant de baisers. Mais pour l'instant, il faut que je parte. Pas la peine de jouer avec le feu.

Avec un soupir de frustration, je le relâche. Il a raison.

- Je t'aime, America.

- Je t'aime, Aspen.

Ces moments volés m'aideront à surmonter toutes les épreuves qui s'annoncent. La déception de maman lorsqu'elle comprendra que jamais sa fille ne deviendra reine. Le surcroît de travail. Le scandale qui éclatera quand Aspen viendra demander ma main à Papa. Les galères qu'il faudra affronter durant notre vie de couple. Rien de cela n'a d'importance. J'ai Aspen, et cela me suffit.

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Extrait ajouté par Mimi316 2012-11-08T22:58:39+01:00

- America?

Je pivote sur mes talons. Maxon se dirige vers moi au pas de gymnastique. J'ai l'impression de le voir pour la première fois. Il a quitté la veste de son costume et retroussé les manches de sa chemise. Sa cravate est dénouée, des mèches s'échappent de ses cheveux d'ordinaire parfaitement domptés. Il m'apparaît plus jeune et en même temps, plus réel. Le contraste est frappant.

- Vous allez bien Amercia? Il y a un problème?

- Non. Tout va bien.

- Dieu merci, lance-t-il,soucieux. Quand j'ai pris connaissance de votre billet, j'ai cru que vous étiez malade, ou qu'il était arrivé quelque chose à votre famille.

- Non, Maxon, rassurez-vous. Je me disais bien que c'était une idée stupide de vous écrire. Je ne savais pas si vous viendriez dîner avec nous, et je voulais vous voir.

- Me voir pour quoi?

- Pour vous voir. Tout simplement.

Maxon se fige à mi-geste, comme frappé par la foudre.

- Vous vouliez me voir? répète-t-il, à la fois médusé et ravi.

- Reprenez-vous. Deux amis, en règle générale, ça passe du temps ensemble.

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Extrait ajouté par LuminaDark 2012-04-15T17:43:16+02:00

Attention avant dernière scène du livre.

Spoiler(cliquez pour révéler)-Vous savez que vous avez toujours le choix. Si vous avez peur de rester, n'en faites pas mystère. Si vous doutez de m'aimer un jour, ayez la bonté d'abréger mes souffrances. Nous, nous quitterons bons amis.

A ces mots, je pose ma tête sur son torse. A la fois surpris et rassuré par ce geste, Maxon me serre contre son coeur.

- Maxon, je ne sais pas trop ce que nous sommes, mais nous sommes plus qu'amis, c'est certain.

Il soupire. Je distingue l'affolement de son coeur, qui bat la chamade, a travers l'épaisseur de son costume. Avec délicatesse, il relève mon menton. Je sens un attachement indicible qui grandit entre nous.

Ensuite vient le baiser, d'une tendresse inimaginable.

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Extrait ajouté par maxxibook 2013-01-03T10:45:43+01:00

"Et c'est ce genre de fille que je vais côtoyer. Ô joie, ô bonheur."

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Extrait ajouté par anonyme 2012-08-08T17:14:13+02:00

"[...]

Je proteste, mais Kriss et Marlee ne l'entendent pas de cette oreille. Elles ont demandé au quatuor de faire taire ses instruments et à toutes les Sélectionnées de faire cercle autour de nous. Certaines s'asseyent par terre en déployant leur robe, d'autres préfèrent s'installer sur des chaises. Kriss se plante au milieu de l'assistance, les mains jointes, et Celeste l'accompagne comme un petit chien, un verre à la main.

Pendant que les filles prennent place, je sors mon violon de son étui. Les quatre musiciens se mêlent au public afin d'apporter leur soutien à une consoeur, les quelques serveurs qui s'affairaient s'immobilisent.

Prenant une profonde inspiration, je cale le violon sous mon menton.

- Pour toi, dis-je en désignant Kriss de mon archet.

Je ferme les yeux, la musique déploie ses ailes et j'oublie Celeste, j'oublie Aspen, j'oublie les renégats et la menace qu'ils font peser. Je me perds toute entière dans ces notes cristallines qui s'égrènent et se fondent en un chapelet fragile mais incomparable. Solidaires, elles flottent dans l'espace et le cadeau destiné d'abord à Kriss devient un cadeau que je m'offre à moi-même.

Une Cinq, peut-être, mais pas une bonne à rien.

Je déroule la musique-aussi familière que la voix de mon père ou l'odeur qui imprègne ma chambre- jusqu'à sa conclusion, inévitable. La parenthèse enchantée se referme, j'autorise à l'archet une dernière fioriture et je le lève en l'air.

Je me tourne vers Kriss, impatiente de voir si elle a apprécié, quand j'aperçois derrière le groupe un retardataire, un jeune homme en costume gris. Maxon est arrivé, un paquet sous le bras -le cadeau de Kirss, sûrement. Les filles applaudissent poliment, mais ce qui m'importe c'est l'admiration que je lis sur le visage du prince. Une admiration qu'il réserve à moi seule. "

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Extrait ajouté par Louu 2013-01-19T18:58:15+01:00

Je donne un coup de genou dans la cuisse de Sa Majesté. Un coup violent.

Maxon pousse un cri et se plit en deux en massant sa jambe.

-Mais qu'est-ce qu'il vous prend ? grogne-t-il.

-Ne vous avisez pas de me toucher !

-Quoi ?

-J'ai dit...

-Non, espèce de psycopathe,j'ai compris ce que vous m'avez dit.

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Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T16:45:18+02:00

Maman s'éclaircit la voix et se met à lire :

- "Le dernier recensement porte à notre connaissance qu'une jeune fille célibataire, dont l'âge oscille entre seize et vingt ans, réside actuellement dans votre foyer. Nous nous permettons de vous signaler une occasion unique de participer à l'Histoire de cette grande nation qu'est Illea."

- C'est toi, la jeune fille célibataire ! braille May en m'agrippant le bras.

- Je sais que c'est moi, petite guenon. Arrête, tu vas me briser les os.

Elle se tortille de plus belle sur sa chaise. Imperturbable, maman poursuit :

- "Notre prince bien-aimé, Maxon Schreave, atteint sa majorité ce mois-ci. Au seuil de cette nouvelle phase de sa vie, il espère fonder une famille avec une épouse loyale originaire de notre beau pays. Si votre fille, soeur ou pupille souhaite embrasser son destin en tant qu'épouse du prince et princesse d'Illea, n'hésitez pas à remplir le formulaire ci-joint que vous retournerez, dûment complété, au bureau asministratif de votre province. Dans chaque zone géographique, un tirage au sort désignera la jeune fille qui aura le privilège de rencontrer le prince.

"Les candidates désignées par tirage au sort seront logées au coeur même du palais royal, à Angeles, pendant toute la durée de leur séjour. La famille de chaque candidate recevra une compensation généreuse pour services rendus à la couronne", ajoute ma mère en appuyant bien sur les mots "compensation" et "généreuse".

Aussi subtile qu'un rhinocéros.

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Extrait ajouté par isane3 2012-04-15T17:01:05+02:00

[...]

- Ne dis pas de bêtises ! s'écrie Mme Leger. Chaque fois qu'Aspen va aider ton frère, il fait l'éloge à son retour du talent et de la beauté des filles Singer.

- Vraiment ? Il est adorable ! roucoule ma mère, aux anges.

- Oui, c'est le fils idéal. Il m'est d'un grand soutien et il travaille très dur.

- Il rendra une fille très heureuse un jour, rétorque ma mère, plus concentrée sur mes concurrentes que sur la discussion.

- Magda, entre toi et moi, je crois qu'il a déjà quelqu'un en vue, lui confie Lena, en baissant la voix.

Je me fige, de peur de me trahir par une réaction ou un commentaire sans équivoque.

- Est-ce qu'elle est jolie ? demande ma mère, appâtée par la perspective d'un ragot.

- Aucune idée ! Je ne l'ai jamais rencontrée. Mais je me pose la question, parce qu'il me paraît plus heureux ces dernières semaines.

"Ces dernières semaines" ? Cela faisait presque deux ans que nous nous fréquentons. Pourquoi "ces dernières semaines" seulement ?

- Il chante tout bas, explique Celia.

- Oui, il chante, renchérit Kamber.

Surprise je m'exclame :

- Il chante ?

- Mais ouiiii !

- Il a une petite copine, c'est sûr, diagnostique maman. Je me demande qui.

- Je suis sûre qu'il s'agit d'une jeune fille formidable. Il travaille très dur depuis quelques mois - plus dur que d'habitude. Et il met de l'argent de côté. Mon petit doigt me dit qu'il économise pour se marier...

Je laisse échapper un petit cri que tout le monde met, par chance, sur le compte de l'excitation.

- Je suis ravie, vraiment, poursuit Mme Leger, et même s'il n'est pas encore prêt à nous la présenter, je l'aime déjà. Il a toujours le sourire aux lèvres. La vie n'est pas rose depuis qu'on a perdu Herrick, et Aspen n'a pas lésiné sur les efforts. Une petite qui sait le rendre heureux, je la considère déjà comme ma fille.

- Quelle chance elle a ! lâche ma mère. Ton Aspen est vraiment un garçon formidable.

J'ai besoin de me pincer pour le croire. Sa famille a toutes les peines du monde à boucler les fins de mois et lui, il met de l'argent de côté ! Pour moi ! J'hésite entre le réprimander et le couvrir de baisers. Les mots me manquent.

Il va me demander en mariage, cela ne fait plus aucun doute.

Son prénom tourne en boucle sous mon crâne, Aspen, Aspen, Aspen... Je remonte sagement la file, je signe un registre au guichet afin de confirmer mes réponses au formulaire, je m'assieds sur un tabouret, je me recoiffe à la va-vite, je pivote vers le photographe...

... et je lui présente le sourire le plus radieux de tout Illea.

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Extrait ajouté par rouge 2013-04-04T18:16:25+02:00

-Comment allez-vous ce soir, prince Maxon?

Maxon est tombé dans une embuscade. Il n'a pas de micro, il n'a pas préparé ses réponses. Un petit clin d’œil de ma part suffit à lui rendre le sourire.

-Fort bien, Gravil, merci.

-Est-ce que vous passez de bons moments?

-Bien sûr! Je suis ravi d'avoir rencontré ces jeunes demoiselles.

-Sont-elles...aussi charmante que leur apparence le laisse supposer? Ou bien cachent-elles leur jeu?

-Eh bien...cela dépend, répond Maxon en me consultant du regard.

-Cela dépend? Il y aurait donc une petite peste parmi ces visages angéliques? s'exclame Gravil, faussement indigné.

Les filles gloussent en chœur et j'en fait de autant.

Le traître!

-Et qu'a-t-elle fait précisément, cette petite peste?

Maxon croise les jambes. je ne l'ai jamais vu aussi détendu. Il devrait montrer plus souvent cette facette de sa personnalité.

-L'une d'elles à eu le culot de me hurler dessus lors de notre première rencontre. Je me suis fait méchamment taper sur les doigts.

Le roi et la reine partagent un regard incrédule. Ils semblent entendre cette anecdote pour la première fois. Autour de moi, les filles sont déroutées. Marlee se penche vers moi:

-Il y a une candidate qui l'a enguirlandé dans la Salle d'Apparat? Tu t'en souviens, toi?

Enfer et damnation! Maxon a oublié que notre premier tête à tête devait rester secret.

-Je crois qu'il force un peu la dose pour rendre son anecdote plus drôle. Il parle de moi. C'est vrai, je lui ai dit des choses très graves.

-Taper sur les doigts? répète Gravil. Que vous reprochait-elle?

-En vérité, je l'ignore. Je pense qu'elle avait le mal du pays, tout simplement. Ce qui explique pourquoi je lui ai pardonné, bien volontiers.

-Donc elle est restée au palais?

-Oui. Elle est restée. Et j'ai bien l'intention de la garder près de moi un petit moment.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-07-16T15:39:13+02:00

- Arrête, America. J'ai pris la bonne décision.

- Quelle décision? Aspen, tu m'as fait croire qu'on serait heureux ensemble. Je suis tombée amoureuse de toi. Ensuite, tu m'as forcée à participer à ce foutu concours. Tu sais que je vais intégrer le harem de Maxon?

Aspen blêmit et serre les poings. J'enfonce le clou:

- Je n'ai pas le droit de le repousser. Même si ses intentions ne sont pas très honnêtes.

- Même si... même s'il n'a pas l'intention de se marier avec toi... il a le droit de...

- Oui.

- C'est révoltant! Mais s'il te choisit... ce serait génial. Tu mérites d'être heureuse.

Sa remarque, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Sans réfléchir, je lui flanque une giffle.

- Eespèce d'imbécile! Je le déteste! C'est toi que j'aimais. C'est avec toi que je voulais faire ma vie, fonder une famille!

- Il vaut mieux que je m'en aille, déclare Aspen d'une voix chevrotante.

Les yeux voilés de larmes, il s'éloigne déjà vers la porte.

- Attends! Je ne t'ai pas payé.

- America, rien ne t'oblige à me donner de l'argent.

- Aspen Leger, je t'inderdis de quitter cette chambre!

Je ne plaisante plus. Il se fige sur place, enfin attentif.

- Tu t'entraînes pour le jour où tu vas faire partie de l'Élite? ricana-t-il.

En guise de réponse, je vais chercher dans un tiroir l'argent que j'ai gagné par moi-même ces derniers jours. Toutes mes économies. Je fourre les billets et les pièces dans ses mains.

- America, je ne veux pas de ton argent.

- Je m'en fous. Je n'en ai plus besoin, toi si. Prends-le, en souvenir de notre amour. Ton orgueil mal placé nous a déjà fait assez de mal comme ça, tu ne trouves pas?

- D'accord.

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