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Extrait ajouté par Princesse-Arya 2023-07-24T20:36:05+02:00

- Cest comment, d’être amoureuse ? lui demande ma petite sœur.

- La chose la plus merveilleuse et la plus terrible qui puisse vous arriver, soupire Lucy en réponse. Un bonheur qui menace à tout instant de vous filer entre les doigts, en quelque sorte. ”

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Extrait ajouté par Princesse-Arya 2023-07-24T20:32:09+02:00

Non, c'est vous. Vous que je ne veux pas quitter.

- Moi? Vous me voulez moi ?

- C'est ce que je m'épuise à vous faire comprendre.

- Comment... mais... qu'ai-je fait?

- Je n'en sais trop rien. Je pense que nous serions bien ensemble.

- Nous serions parfaits ensemble, vous voulez dire.

Radieux, Maxon m'attire vers lui et m’embrasse à nouveau.

- Vous en êtes sûre ? Certaine ?

- Oui. ”

( MAXON et AMERICA )

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Extrait ajouté par Princesse-Arya 2023-07-24T19:51:53+02:00

Maxon m’enlace par la taille et plonge son regard pétillant dans le mien. ”

( AMERICA et MAXON )

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Extrait ajouté par hibiscus_01 2020-07-10T15:19:51+02:00

Prise d'hystérie, je fais tomber une pluie de coups sur les gardes, perdant un escarpin dans la foulée. Les deux hommes m'entraînent dans l'enceinte du palais tandis que les bourreaux poursuivent leur sinistres ouvrage. Je suis partagée entre soulagement et honte. Soulagement d'échapper à le fin du supplice ; honte d'avoir abandonné Marlee au beau milieu de l'une des pires épreuves qu'elle ait eu à traverser.

- Marlee ! Marlee, pardonne-moi !

Malheureusement, entre le publique qui manifeste à grands cris son enthousiasme et ses propres hurlements de douleurs, il y a peu de chances qu'elle m'entende.

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-06T16:21:21+01:00

— Les Renégats abusent de ma patience. Leurs agissements m’exaspèrent. Vous pouvez considérer cela comme un défaut.

J’accepte la main qu’il me tend par galanterie, attentive à la frustration qui s’affiche sur son visage. Les Renégats ont lancé deux attaques contre le palais depuis le début de la Sélection et je comprends que cela l’épuise.

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-06T16:20:03+01:00

— Mademoiselle America, vous n’avez pas décroché un mot de la journée, fait remarquer la reine. Comment concevez-vous le mariage idéal ?

— Eh bien, ce que j’aimerais par-dessus tout, c’est que mon père m’amène à l’autel. Qu’il passe le relais à mon futur mari, en quelque sorte. C’est mon souhait le plus cher.

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-06T16:19:37+01:00

Nous rions sans bruit, collés l’un à l’autre. Dans ces moments-là, je m’imagine très bien vivre le restant de mes jours aux côtés de Maxon.

Un froufrou de feuilles mortes annonce l’arrivée d’un intrus. Je me mets debout à toute vitesse et Maxon m’imite. Un garde surgit de derrière une haie et s’approche de nous.

— Majesté, pardonnez mon intrusion, mais il n’est pas judicieux de rester dehors si longtemps, à une heure aussi tardive. Les Renégats…

— J’ai compris, soupire Maxon. Nous rentrons tout de suite.

Le garde reparti, le prince se tourne vers moi.

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Extrait ajouté par Luma2005 2020-03-05T20:28:29+01:00

— Navré de te dire ça, America, mais tu as la grâce d’un éléphant.

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Extrait ajouté par magaliB 2020-02-01T20:01:19+01:00

— Non, non ! répond la reine Amberly dans un éclat de rire. J’ai choisi de n’avoir que trois dames d’honneur à mon mariage, ce qui a fait hurler la mère de Clarkson. Mes sœurs et ma meilleure amie, que j’ai d’ailleurs rencontrée à l’occasion de ma Sélection, ont amplement suffi à mon bonheur.

Je lance un coup d’œil complice à Marlee, qui m’observe elle aussi à la dérobée. Avant mon arrivée au palais, je m’étais convaincue que les filles qui participaient à cette compétition allaient toutes se scruter en chiens de faïence. À l’instant où Marlee m’a prise dans ses bras, dès notre première rencontre, cette certitude a été balayée. Nous ne nous sommes plus quittées depuis ce moment-là. Et il n’y a jamais eu le moindre désaccord entre nous. Voilà quelques semaines, Marlee m’a confié que Maxon ne l’intéressait plus, mais elle s’est fermée comme une huître quand je lui ai réclamé une explication. Elle ne boudait pas, pas vraiment, mais ces journées où nous n’avons pas échangé un mot m’ont paru interminables.

— Moi, je veux sept dames d’honneur, annonce Kriss. Si Maxon me choisit, bien entendu, et si j’ai la chance de me marier en grande pompe.

— Moi, les dames d’honneur, je m’en passerais bien, rétorque cette garce de Celeste. Elles ne font que détourner l’attention que mérite la mariée. Et comme la cérémonie sera retransmise en direct, je veux que tous les yeux soient braqués sur moi.

— J’aimerais que mon mariage inclue certaines traditions de mon pays d’origine, souffle Elise. En Nouvelle-Asie, le rouge est la couleur associée au mariage, et le futur époux doit couvrir de cadeaux les amies de sa fiancée pour les remercier de lui donner sa main.

— Quelle bonne idée ! s’exclame Kriss. J’adore les cadeaux !

— Moi aussi ! répond Marlee.

— Mademoiselle America, vous n’avez pas décroché un mot de la journée, fait remarquer la reine. Comment concevez-vous le mariage idéal ?

— Eh bien, ce que j’aimerais par-dessus tout, c’est que mon père m’amène à l’autel. Qu’il passe le relais à mon futur mari, en quelque sorte. C’est mon souhait le plus cher.

— Mais tout le monde fait ça, objecte Celeste. Ca n’a rien d’original !

— C’est essentiel pour moi de savoir que mon père me donne sa bénédiction le jour où je compte vraiment dessus.

— Comme c’est mignon, commente Natalie en sirotant son thé.

La reine éclate d’un rire joyeux.

— Mais j’espère qu’il vous donnera sa bénédiction. Quel que soit l’heureux élu, d’ailleurs, s’empresse-t-elle d’ajouter.

Sur ces mots, la reine nous salue et part travailler avec ses conseillers dans son bureau. Celeste s’affale devant le téléviseur géant encastré dans le mur ; les autres filles démarrent une partie de cartes. Pour ma part, je vais m’installer à une table, un peu à l’écart, avec Marlee.

— On a passé un bon moment. C’est la première fois que la reine discute aussi longtemps avec nous.

— Elle se sent de plus en plus impliquée, il faut croire.

— Sois franche avec moi, America : tu n’as jamais réfléchi à ton mariage, ou tu préférais garder tes idées pour toi ?

— Non, je t’assure que je n’ai rien de prévu. Je ne sais pas à quoi ressemble un mariage avec fanfare et confettis. Je ne suis qu’une Cinq, après tout.

— Correction : tu n’étais qu’une Cinq. Tu as accédé au rang de Trois, grâce à la Sélection.

— C’est vrai.

Je suis née au sein d’une famille d’artistes et de musiciens, et nos fins de mois sont souvent difficiles. Mais j’aime mon travail, même s’il ne m’assure pas une vie confortable. Je dois m’habituer à mon nouveau statut, qui implique que je peux désormais prétendre à une carrière d’enseignante ou d’écrivain.

Un hurlement hystérique de Celeste interrompt le flot de mes pensées.

— Mais bon sang, tu vas fonctionner, oui ! crie-t-elle en tapant la télécommande contre le canapé.

Je chuchote à l’adresse de Marlee :

— C’est moi, ou ça ne s’arrange pas ?

Elle s’acharne quelques instants sur la pauvre télécommande avant de la délaisser et de faire son zapping à partir du navigateur multimédia de la télévision. Je suppose qu’à sa place, si j’étais aussi gâtée et aussi capricieuse qu’elle, un rien me mettrait dans une colère noire.

— C’est le stress, observe Marlee. Tu as remarqué que Natalie devient… plus distante ?

J’acquiesce d’un signe de tête et nous observons nos trois voisines. Kriss bat les cartes, sourire aux lèvres, mais Natalie examine ses cheveux et en arrache un de temps à autre, la mine mécontente.

— Je crois que nous sommes toutes rongées par le stress. C’est difficile, maintenant que le groupe est réduit à six personnes.

Celeste lâche un grognement, puis nous surprend en train de la dévisager. Nous détournons très vite le regard et Marlee gigote un instant sur sa chaise.

— Excuse-moi cinq secondes, America. Je vais faire un tour au petit coin.

— Figure-toi que j’ai eu la même idée.

— Vas-y en premier, alors. Je vais d’abord finir mon thé.

— Très bien. À tout de suite.

Je quitte le Boudoir et je m’engage, sans presser le pas, dans le couloir à la décoration somptueuse. Je suis toujours éblouie par le luxe déployé entre les murs du palais. Le nez en l’air, je tourne à l’angle et percute un garde de plein fouet.

— Aïe !

— Pardonnez-moi, mademoiselle. J’espère que je ne vous ai pas fait peur.

— Non, tout va bien. J’aurais dû être plus attentive. Merci de m’avoir retenue, officier…

— Woodwork, répond le militaire avec une révérence rapide.

— Je m’appelle America.

— Je sais.

Je souris, prise en flagrant délit d’étourderie. Tout le monde ici sait comment je m’appelle.

— J’espère que la prochaine fois que nous nous croiserons, le choc sera moins brutal, officier Woodwork.

— Je l’espère aussi. Je vous souhaite une excellente journée, mademoiselle.

— Moi de même.

Lorsque je retourne au Boudoir, je raconte à Marlee cet épisode embarrassant, ce qui a le mérite de la faire rire.

Nous passons le reste de l’après-midi assises près de la fenêtre, à nous rôtir au soleil, et nous nous racontons nos vies. Une grande tristesse m’étreint alors que la lumière décline. La Sélection arrivera un jour à son terme, que je le veuille ou non, et mes conversations quotidiennes avec Marlee me manqueront, même si je sais que notre amitié survivra à cette aventure. J’appréhende le jour où je devrai me séparer d’elle.

Tandis que je combats un accès de mélancolie, Marlee contemple rêveusement le paysage. Je ne veux pas gâcher ce moment précieux par de vaines paroles.

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- Tout ce que je peux vous dire, c'est que l'on m'a donné une seconde chance. Et j'ai bien l'intention de m'en saisir. Pour Maxon.

- C'est tellement romantique ! s'exclame Mary, et Lucy tape dans ses mains.

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