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Dans la république de Galaad, les femmes n'ont plus aucun droit. Vêtue de rouge, Defred est une « Servante écarlate » à qui l'on a ôté jusqu'à son nom. Réduite au rang d'esclave sexuelle, elle a été affectée à la famille du Commandant et de son épouse et, conformément aux normes de l'ordre social nouveau, met son corps à leur service. Car à une époque où les naissances diminuent, Defred et les autres Servantes n'ont de valeur que si elles sont fertiles. Sinon...
Dans une description d'une force peu commune, Defred se remémore le monde d'avant, quand elle était une femme indépendante, jouissant d'un emploi, d'une famille et d'un nom à elle. Aujourd'hui, ses souvenirs et sa volonté de survivre sont de véritables actes de rébellion.
Provocant, déconcertant et prophétique, La Servante écarlate est un phénomène mondial. Une adaptation graphique originale et stupéfiante du roman de Margaret Atwood, superbement illustrée par l'artiste Renée Nault.
Traduit de l'anglais (Canada) par Michèle Albaret Maatsch.
J’ai un autre nom, que personne n’utilise, parce que c’est défendu. Je me raconte que ça n’a pas d’importance, qu’un nom, c’est pareil qu’un numéro de téléphone, il n’y a que les autres qui le prononcent ; mais j’ai tort, c’est important. Je garde ce nom que je connais comme quelque chose de caché, un trésor que je reviendrai déterrer un jour.
Une dystopie où la condition des femmes est revue à la place d’objet à féconder. Je n’ai pas été déçue par la construction de l’histoire. J’ai apprécié les dessins et le choix du peu de couleurs. J’ai aimé l’histoire sous-jacente de l’enfant séparé de sa mère. Et j’ai trouvé que le contexte dystopique était bien expliqué. Par contre les termes inventés ne sont pas foufous.
J’ai beaucoup de livres à lire, mais pas assez de temps pour tout découvrir.
C’est pourquoi je lis parfois sur d’autres formats, ce qui me permet de découvrir certains récits et de réduire considérablement ma pile à lire.
J’avais beaucoup entendu parler de ce roman, mais en m’y plongeant, j’ai été surprise : je ne m’attendais pas à ça. À tel point que j’ai arrêté ma lecture pour relire la quatrième de couverture, ce que je fais rarement…
L’histoire est choquante : ces femmes, encore une fois, traitées comme des objets de reproduction, utilisées pour repeupler l’élite…
C’est un récit qui me marquera longtemps, avec des illustrations joliment réalisées et une fin inattendue.
Il existe une suite à ce roman, mais je pense m’abstenir, sauf si elle sort en roman graphique.
Le livre, lu il a quelques années déjà, avait été pour moi un coup de coeur ! Au contraire de la série, à laquelle je n’avais pas du tout accroché. Il était donc logique de me procurer ce roman graphique. Une adaptation fidèle et plutôt réussie de cette dystopie, les illustrations sont hyper travaillées et originales, ce qui nous permet de nous plonger un peu plus dans cet univers « effrayant » Il y a évidemment quelques petits raccourcis quant au texte original mais ce n’est pas dérangeant. Un roman dystopique qui fait toujours aussi froid dans le dos tant l’histoire peut être « dérangeante ».
Je n’ai pas encore eu l’occasion de lire le roman ni de voir la série donc je n’ai que les éléments du roman graphique pour me faire une idée. Et donc, même si j’ai compris l’histoire dans sa globalité, je n’ai pas saisie toutes les subtilités de l'intrigue. J'ai néanmoins été séduite par les sombres illustrations qui apportent une ambiance froide au roman graphique. Je vais probablement acheté le bouquin pour me plonger dans l’œuvre originale.
Les couleurs et les dessins sont resplendissants et représentent avec merveille l'histoire de Defred dans la République de Gilead. Toutefois, il est recommandé d'avoir lu le roman avant de lire ce roman graphique, qui n'est qu'un résumé de l'histoire originale.
Bien que l'on ressent un manque d'informations car c'est une adaptation, ce roman graphique se lit très bien ! Il m'a énormément donné envie de découvrir le roman !
L'univers dystopique est carrément flippant et les personnages mystérieux et quasi réels !
Je ne savais absolument pas que le roman de Margaret Atwood avait été adapté. Lorsque je suis tombée sur ce roman graphique à la médiathèque je n’ai pas su résister à l’attraction. Alternative totalement louable lorsque tu as le roman quelque part dans ta bibliothèque et que tu n’as toujours pas pris le temps de le lire.
Tout le monde connaît La servante écarlate que cela soit sur petit écran ou en littérature. Une dystopie tout aussi effroyable qu’intéressante. Un monde où les femmes sont catégorisées selon leurs potentiels et où évidemment le pouvoir patriarcal est au summum tout ce que l’on pourrait imaginer de pire.
Nous suivons Devred qui est devenue une servante écarlate signifiant pour elle qu’elle devra concevoir l’héritier de l’homme qui l’a acheté. Devred tout en essayant de survivre se souvient de sa vie d’avant et de sa petite fille. Un militantisme silencieux mais timide. On comprend rapidement que l’endoctrinement radical a fait son effet ainsi que la peur.
Je n’ai aucune idée si l’adaptation est proche du roman. En tout cas les illustrations sont captivantes. L’atmosphère et les enjeux sont mis en avant. Je regrette que les émotions dégagées soient ténues et contrôlées d’une certaine manière. Peut-être que le roman les retranscrit d’une manière plus prononcée. En tout cas j’ai adoré découvrir le roman de Margaret Atwood au travers de ce roman graphique. Cela donne plus envie de partir à la recherche du roman dans ma bibliothèque bordélique. Un roman graphique puissant, moderne qui soulève toutes les problématiques de notre société. Sans parler de féminisme, il nous est agréable de comparer l’évolution des conditions des femmes depuis six décennies.
J'ai lu le roman il y a quelques années et j'en garde encore des souvenirs très nets car il m'avait beaucoup marqué ,je voulais donc voir si j'allais ressentir la même chose à la lecture du roman graphique, mais cela n'a pas vraiment été le cas. Je conçois que cela soit très dur de condenser l'histoire du roman pour la retranscrire en BD, mais du coup je trouve que trop de choses ont été occultées, je pense que celles et ceux qui n'ont pas lu le roman ont dû être un peu perdus par moment et n'ont peut-être pas été autant emporté dans l'histoire que s'ils avaient lu le roman.
Après, je trouve ça super d'adapter cette histoire, cela permet de (re)découvrir l'oeuvre de Margaret Atwood d'une autre manière
Tout le monde a lu le roman... sauf moi. Donc je décide de le faire avec ce roman graphique, histoire d’avoir une p’tite idée. Bon, ben, suis pas plus emballée que ça avec cette servante et ses semblables qui ne sont là que comme vagin à disposition pour la reproduction. Trop d’acceptation, manque de révolte, aucune chaleur. La femme soumise, pas trop mon truc !
Résumé
Dans la république de Galaad, les femmes n'ont plus aucun droit. Vêtue de rouge, Defred est une « Servante écarlate » à qui l'on a ôté jusqu'à son nom. Réduite au rang d'esclave sexuelle, elle a été affectée à la famille du Commandant et de son épouse et, conformément aux normes de l'ordre social nouveau, met son corps à leur service. Car à une époque où les naissances diminuent, Defred et les autres Servantes n'ont de valeur que si elles sont fertiles. Sinon...
Dans une description d'une force peu commune, Defred se remémore le monde d'avant, quand elle était une femme indépendante, jouissant d'un emploi, d'une famille et d'un nom à elle. Aujourd'hui, ses souvenirs et sa volonté de survivre sont de véritables actes de rébellion.
Provocant, déconcertant et prophétique, La Servante écarlate est un phénomène mondial. Une adaptation graphique originale et stupéfiante du roman de Margaret Atwood, superbement illustrée par l'artiste Renée Nault.
Traduit de l'anglais (Canada) par Michèle Albaret Maatsch.
[Source : Éditions Robert Laffont 2021]
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