Extraits

Parce que c’est vraiment possible…

Il s’agit là de faire le point sur ses activités quotidiennes et de les revisiter. On peut alors envisager de se déconditionner peu à peu, jour après jour. Par exemple, au lieu de déjeuner à la va-vite, on se cuisine un bon petit plat. Par de petits changements quotidiens, on transforme peu à peu son mode de vie, de sorte de se sentir de plus en plus épanoui(e), en accord avec soi-même et enrichi(e) par ses actions positives.

Une prise de conscience

Vous vous sentez débordé(e), fatigué(e) ? Vous avez le sentiment de faire fausse route ? Il est temps de passer en mode slow life.

Cette philosophie a été impulsée par le mouvement Slow Food® créé en Italie dans les années 1980 par Carlo Petrini, sociologue, critique gastronomique et écrivain, pour renouer avec les plaisirs de la bouche face à l’essor des fast-foods. Dès lors, la slow s’est étendue à l’art (slow art), au management (slow management), à l’argent (slow money), aux villes (slow city), au tourisme (slow tourism) ou encore à l’éducation des enfants (slow parenting).

Ralentir la cadence et se reconnecter à des valeurs fondamentales, s’accorder plus de liberté, s’écouter, s’ouvrir aux autres, donner plus de temps aux siens, se ressourcer dans la nature, recadrer son travail, bien manger… La slow life est un art de vivre visant à adoucir ses journées, à freiner son « hyperactivité » pour se recentrer sur l’essentiel, vivre l’instant présent et ainsi s’épanouir.