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Extrait ajouté par Rayathea 2014-02-27T15:57:32+01:00

-Comment se fait-il que quelqu'un comme vous garde des conserves sans étiquette.

-La petite contient des poivrons italiens. La plus grande renferme les cendres de ma dernière esclave trop curieuse qui m'assommait de questions sur les boîtes de conserve sans étiquette.

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Extrait ajouté par Morgane1245 2014-01-26T21:02:24+01:00

''-Je suis jaloux de l'eau , parce qu'elle peut te toucher partout en même temps''

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Extrait ajouté par anonyme 2014-02-28T18:30:00+01:00

Malgré la meilleure volonté du monde,je ne parvenais pas à le croire.

D'accord, il m'avait très vite offert un collier. Cela ne signifiait rien. Il m'avait également invitée au gala de charité de sa tante, mais c'était sans importance. Il était tel qu'en lui - même et notre relation était ce qu'elle était. Rien n'avait changé.

Je me retournai. Debout sur le trottoir, Elaina regardait dans ma direction en parlant au téléphone. Son expression s'était altérée. Elle hurlait.

Pourquoi hurlait - elle ?

Il y eu une collision, un amas de tôle froissée. Des coups de klaxon. Tout se mit à tournoyer autour de moi. Ma tête heurta quelque chose de dur.

Et puis plus rien.

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Extrait ajouté par toutoun 2014-01-24T16:20:41+01:00

Je commençai à comprendre comment fonctionnait Nathaniel. Un seul de ses regards suffisait à m’enflammer. Un simple mot, une phrase, et je crevais d’envie qu’il me touche.

Comme en cet instant, pendant que je l’attendais sur son lit. Il me rendait folle et il n’était même pas là. Le dîner avait tiré en longueur, tels des préliminaires interminables. À force de le regarder déguster ses pâtes, jouer avec ses doigts sur son verre, j’étais tendue comme un arc, mon corps était prêt, j’étais sur le point de ramper à ses pieds et de le supplier.

Et il ne m’avait même pas encore touchée.

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Extrait ajouté par Lililoveforever 2014-01-23T13:00:00+01:00

Il leva les yeux à mon entrée.

— Tout va bien ? Avez-vous besoin de quelque chose ?

Je passai mon T-shirt par-dessus ma tête.

— Oui, de vous.

Il lâcha les papiers qu’il consultait.

— Vous devriez vous reposer.

Comme cela n’avait pas l’air d’être un ordre, je n’en tins pas compte. Je déboutonnai mon pantalon et le laissai glisser sur mes hanches avant de m’en débarrasser d’un coup de pied. De toute façon, c’était ma bibliothèque, non ?

Il resta là à me regarder, le visage dénué d’expression. À quoi pensait-il ? Il n’allait quand même pas me dire de vider les lieux ? Je passai les mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. S’il me rembarrait, je ne pourrais pas le supporter.

Et s’il le faisait vraiment ?

J’ôtai ma petite culotte qui tomba à terre. C’était peut-être ma bibliothèque, mais il était libre de ses choix. Il pouvait me chasser si l’envie lui en prenait.

Je ne m’étais jamais sentie aussi vulnérable.

Toujours aucune réaction de son côté.

Il allait me renvoyer, c’était certain.

Lentement, très lentement, il repoussa son fauteuil, ouvrit un tiroir du bureau et en sortit quelque chose. Sept pas plus tard, il se tenait devant moi. Il laissa courir ses doigts sur mes épaules et le long de mes bras jusqu’à mes mains. Il les réunit sur le devant de sa chemise et fourra quelque chose dans mon poing serré.

— D’accord, dit-il.

J’examinai ce qu’il avait glissé dans ma paume. Un préservatif.

Un sentiment de triomphe m’envahit. L’excitation passa directement de mon cerveau au centre de mon être avant de se concentrer dans mon entrejambe douloureux.

Le préservatif tomba sur le parquet. Je m’attaquai fébrilement aux boutons de sa chemise que je réussis à défaire, non sans peine. Je la fis glisser de ses épaules et l’extirpai de son pantalon. Je promenai mes mains sur les pleins et déliés de son torse et de son ventre. Ensuite, je le contournai et me plaçai derrière lui pour contempler son dos viril.

Il était parfait, bien sûr, comme le reste de sa personne. Je traçai des cercles autour de ses omoplates et me haussai sur la pointe des pieds pour déposer un baiser à leur point de rencontre. Il respira plus fort, sans me toucher, me laissant poursuivre mon exploration comme bon me semblait. Je léchai la ligne de sa colonne vertébrale en savourant le goût unique de sa peau.

Je revins me placer devant lui et tombai à genoux à ses pieds, consciente de l’érection qui gonflait son pantalon.

(Extrait "La Soumise" de Tara Sue Me)

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Extrait ajouté par maglil 2017-01-31T14:26:06+01:00

-Vous ai-je déjà menti Abigaïl?

Voilà qu'il recommençait avec son Abigaïl.

Je reniflai.

-Non.

-Dans ce cas, qu'est-ce qui vous incite a croire que c'est ce que je fais en ce moment?

-Parce que vous paniqUez. Vous m'aimez et cela vous terrorise. Mais c'est tout à fait normal. J'ai un peu peur moi aussi.

-Je n'ai pas peur. Je suis un salaud au coeur de pierre. Je pensais que vous le saviez.

Il ne céderait pas. Il s'était retranché derrière une forteresse. Entourée de douves. Retour à la case départ.

Raide comme un piquet, les mains sur les cuisses, le journal étalé sur la table, il m'observait froidement.

Je fermai les paupières et respirait à fond.

J'aurais dû fixer les limites.

Pourquoi n'y avais-je pas pensé? Je devras connaître le seuil du tolérable. Savoir quand il fallait dire ça suffit, ou je n'en peux plus.

Je passais en revue toutes le éventualités. S'il mentait, c'était un acteur consommé. S'il disait la vérité, je ne pourrais pas le supporter. J'envisageai les différentes options possibles et, pour la première fois, elles étaient toutes d'accord: la mauvaise Abby et la vertueuse, l'extravagante et la raisonnable.

J'aurais dû fixer les limites.

J'avais atteint les miennes.

J'ouvris les yeux, Nathaniel patientait, imperturbable.

Je portai la main à mon cour et défis le collier.

Spoiler(cliquez pour révéler)-Térébenthine! dis-je en le posant sur la table.

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Extrait ajouté par Sabine68 2017-11-11T01:15:04+01:00

— Mademoiselle King, monsieur West va vous recevoir, annonça l’hôtesse d’accueil.

Je me levai en me demandant pour la vingt-cinquième fois ce que je fabriquais ici et allai ouvrir la porte du bureau, raison pour laquelle j’avais traversé la moitié de la ville. De l’autre côté, se trouvait mon fantasme le plus sombre qui allait devenir réalité dès que j’aurais franchi le seuil.

Je tournai la poignée sans trembler, ce dont je n’étais pas peu fière, et pénétrai dans la pièce. Première étape accomplie.

Nathaniel West était assis derrière un grand bureau en acajou et pianotait sur son ordinateur. Il ne leva pas la tête ni ne ralentit la cadence. À croire que j’étais invisible. Je baissai les yeux, au cas où.

J’attendis sans bouger un cil, le visage tourné vers le sol, les bras le long du corps, les pieds écartés de la largeur de mes épaules.

Dehors, le soleil s’était couché, et la lampe posée sur le bureau projetait une lumière tamisée.

Combien de temps s’était écoulé ? Dix minutes ? Vingt ? Il travaillait toujours sur son ordinateur. Je me mis à compter ma respiration. Mon cœur qui battait comme un fou à mon arrivée commençait enfin à se calmer.

Dix autres minutes passèrent. Ou peut-être trente.

Il s’arrêta de taper sur son clavier.

— Abigaïl King, dit-il.

Je sursautai légèrement sans relever la tête. Deuxième étape accomplie.

Je l’entendis ramasser une liasse de papiers dont il fit une pile. Ridicule. D’après ce que je savais de Nathaniel West, le tas devait être bien net. C’était un nouveau test. Il repoussa son fauteuil et seul le bruit des roulettes sur le parquet vint rompre le silence. Il avança à pas mesurés jusqu’à ce que je le sente derrière moi.

D’une main, il souleva mes cheveux pour dégager ma nuque. Son souffle chaud me chatouilla l’oreille.

— Vous n’avez pas de références.

Exact, je n’en avais pas. Juste un fantasme débile. Devais-je le lui avouer ? Non, mieux valait garder le silence. Mon cœur s’emballa.

— Sachez que je n’ai aucune envie de former une soumise, poursuivit-il. Les autres ont déjà une solide expérience.

Cinglée. J’étais complètement cinglée d’être venue là. Mais c’était ce que je voulais. Me retrouver sous l’emprise d’un homme.

Et pas n’importe lequel. Celui-là.

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