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« Toutes les familles sont des sociétés secrètes. »
En lisant ces mots, Alice reste frappée par leur justesse. Les secrets, les non-dits, elle connaît. Chez les Burns, on en a fait une spécialité. La dernière en date ? Cette révélation que son trader de frère, Adam, vient de lui faire depuis le parloir de sa prison... Et qui la ramène une quinzaine d'années en arrière. C'était l'Amérique des années 70, celle des droits civiques et des campus en ébullition. Un vent de liberté attisait les désirs et Alice rêvait d'évasion. C'était l'heure des choix. Les premières notes d'une symphonie à venir...
" Du grand Douglas Kennedy. Une fois dans la peau d'Alice, on ne peut plus la lâcher. " Sandrine Bajos – Le Parisien
" Pas de doute, cet homme-là sait raconter des histoires. " Pascale Frey – ELLE
" Alcool, secrets, mensonges, trahisons : la famille américaine que décrit Kennedy a tout pour plaire. " Amélie Cordonnier – Femme actuelle
Toutes les familles sont des sociétés secrètes. Des royaumes d’intrigues et de guerres intestines, gouvernés par leurs propres lois, leurs propres normes, leurs limites et leurs frontières, à l’extérieur desquelles toutes ces règles paraissent souvent insensées.
ce premier volet de la trilogie se laisse lire avec une facilité déconcertante. Kennedy est le roi de l'anecdote qui éclaire une situation politique. cette traversé de la jeunesse de son héroïne dans une Amérique droitière et rance, avide de pouvoir, de réussite est un délice.
Le bémol : même si la petite histoire éclaire la grande, on peine un peu à toujours s'intéresser à l'héroïne et certains détours ne laissent pas de dépasser l'anecdotique justement.
Le premier etait bien, le 2eme bof mais si on a le courage de tenir jusqu'au 3eme tome on decouvre que l'auteur qu'on trouvait deja super est en fait encore meilleur encore. Desole mais je n'ai pas les mots qu'il faudrait
Son secret, son art c'est de mettre en place des personnages, leur histoire, des lieux pour aboutir à quelque chose qui vous prend les tripes.
Si vous avez lu quelques autres de ses livre plus facile à lire alors faites lui confiance et laissez vous porter...
Je viens de terminer le premier tome de la symphonie du hasard de Douglas Kennedy
L'univers du tome1 m'a plu ,ici j'étais plongée dans le monde étudiant américain des années 70 à 75, avec en filigrane Nixon et la future affaire du Watergate, au chili Salvador Allende puis le coup d'état Pinochet, aussi le racisme , l'homophobie, l'antisémitisme, les traumas des pères revenus de la guerre du japon, et ce dans tous les milieux , étudiant, au sein des familles, dans les milieux ruraux, dans différentes communautés d'origines irlandaises juives etc...
Mais aussi l'ambiance de la fac, l'amour du savoir, la littérature , l'histoire, et d'un autre côté les têtes brûlées des joueurs de hockeys et leurs fraternités , les hippies, les drogues, l'alcool...
Mais aussi la musique de l'époque J'ai oublié aussi l'ambiance musicale, psychédélique et autres ... comme let zeppelin, pink Floyd, janet Joplin, et plus doux comme joni Mitchell, joan Baez etc.... le jazz .....
Ce premier tome me laisse sur une bonne impression ❗
Je ne sais pas encore si je lirai le deuxième tome. Ce n'est pas inintéressant mais ça ne m'a pas vraiment passionné car la littérature et la politique américaines ne sont pas des sujets qui m'attirent.
Je me suis laissée emporter par ce premier tome de la symphonie du hasard . Douglas Kennedy a décidément l'art et la manière de capter toute votre attention et de vous embarquer avec ses personnages. Dans ce 1er tome, Alice éditrice New-Yorkaise visite son frère en prison. Ce dernier lui avoue un secret longtemps gardé. Alice se replonge alors dans les souvenirs de ses années de lycées et elle nous en fait le récit. Douglas Kennedy nous dresse un portrait acerbe de l'Amérique des années 70, libération sexuelle des femmes, l'homophobie, le racisme, l'immigration, la politique impérialiste, la famille , tout y passe sans complaisance. Culture, érudition, réflexion, un bain de plaisir !! J'attaque le tome 2 sans tarder !!!!
Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre (que l'on m'a offert dédicacé...) car je n'ai pas accroché l'aspect historique du roman. Je n'ai pas éprouvé d'attachement aux personnages, et je pense que sur ce coup-là, si l'on est pas calé au niveau événements historiques de l'époque, on a du mal à comprendre ce qui se passe, ce qui a été mon cas. Donc malheureusement, je n'ai pas accroché car j'ai senti une dévalorisation en le lisant, et la lecture doit rester un plaisir ! Ce n'est pas de la faute de l'auteur, mais je ne vais pas poursuivre cette trilogie.
Résumé
« Toutes les familles sont des sociétés secrètes. »
En lisant ces mots, Alice reste frappée par leur justesse. Les secrets, les non-dits, elle connaît. Chez les Burns, on en a fait une spécialité. La dernière en date ? Cette révélation que son trader de frère, Adam, vient de lui faire depuis le parloir de sa prison... Et qui la ramène une quinzaine d'années en arrière. C'était l'Amérique des années 70, celle des droits civiques et des campus en ébullition. Un vent de liberté attisait les désirs et Alice rêvait d'évasion. C'était l'heure des choix. Les premières notes d'une symphonie à venir...
" Du grand Douglas Kennedy. Une fois dans la peau d'Alice, on ne peut plus la lâcher. " Sandrine Bajos – Le Parisien
" Pas de doute, cet homme-là sait raconter des histoires. " Pascale Frey – ELLE
" Alcool, secrets, mensonges, trahisons : la famille américaine que décrit Kennedy a tout pour plaire. " Amélie Cordonnier – Femme actuelle
(Source : Pocket)
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