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La Tannerie



Description ajoutée par MillieDi 2020-08-28T12:37:23+02:00

Résumé

Jeanne, ses études terminées, a quitté sa Bretagne natale pour vivre à Paris. Elle a trouvé un emploi temporaire d'« accueillante » à la Tannerie, une nouvelle institution culturelle, installée dans une usine désaffectée de Pantin.

D'abord déboussolée par le gigantisme et l'activité trépidante du lieu, timide et ignorante des codes de la jeunesse parisienne, elle prend peu à peu de l'assurance et se lie à quelques-uns de ses collègues, comme la délurée Marianne ou le charismatique Julien, responsable du service accueil.

Elle les accompagne dans leurs déambulations nocturnes, participe à des fêtes. Leur groupe se mêle au mouvement Nuit debout. Ils se retrouvent dans des manifestations, parfois violentes - mais sans véritablement s'impliquer, en spectateurs.

Bientôt, deux ans ont passé. Dans l'effervescence de la Tannerie, en pleine expansion, chacun tente de se placer pour obtenir enfin un vrai contrat ou décrocher une promotion. Jeanne va devoir saisir sa chance.

La Tannerie - tel un microcosme de notre société - forme une monde à part entière, avec ses techniciens, ses employés de bureau, ses artistes. Mais derrière la bienveillance affichée et le progressisme des intentions, la précarité et la violence dominent.

Avec ce roman, qui frappe autant par la finesse de ses descriptions que par sa force critique, Celia Levi fait le portrait d'une époque et d'une génération en proie aux ambitions factices et à l'imposture des discours.

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Classement en biblio - 17 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par SkeletonGirl 2020-12-10T18:06:13+01:00

Leur conversation était comme le bruit de l'époque, de la ville. Une langue nouvelle qu'elle commençait à apprendre et qui ce soir-là la fatiguait, qu'elle n'avait pas envie de pratiquer.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par choupinounnette 2021-03-04T20:34:12+01:00
Lu aussi

Jeanne, une jeune bretonne, débarque à Paris pour faire un stage en librairie. Celui-ci ne se passe pas très bien et pour poursuivre sa vie à Paris, elle cherche un emploi. Elle est alors employé à la Tannerie, un très grand entrepôt qui a été réhabilité pour en faire un centre culturel.

Au travers de ses yeux, on suit l'histoire de ce bâtiment qui entraîne de nombreuses réflexion pour Jeanne et le lecteur. En effet avant de devenir un centre culturel la tannerie était un abattoir, une biscuiterie et (vous vous en doutez sûrement) une tannerie !

Au travers de sa première expérience de travail on découvre le monde du travail, les conditions de travail parfois très difficile, les syndicats, l'entente (ou la mésentente) entre les collègues...Jeanne vit aussi ses premières soirées, peut-être ses premiers amours, la vie parisienne idéalisé ...tout ça n'est pas toujours simple. Au travers de ce roman on aborde aussi la situation des prisonniers, des migrants, du réchauffement climatique et j'en passe...

En résumé, ce roman traite de très très nombreux sujets de société. Mais le problème dans ce genre de roman c'est qu'au final on en aborde pas vraiment car ils sont tous plus ou moins traité en surface. Certains sujet n'apportent rien à l'histoire et on dirait juste que l'autrice a voulu en parler pour être bien vu.

Mais d'un autre côté on pourrait avoir une autre approche, en effet on suit dans ce roman l'évolution d'une jeunes bretonne dans la vie active parisienne. Et on suppose que ces sujets ont sûrement été abordés avec son entourage.

En conclusion, d'après moi il s'agit d'un roman d'apprentissage très riche mais pas forcément abouti.

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Commentaire ajouté par Cjustmoua 2021-01-09T20:13:11+01:00
Or

Jeanne, fille de paysans et jeune diplômée, arrivent à Paris et cherche à s'intégrer dans son entreprise.

Elle se retrouve confronté à un monde qu'elle ne connaît pas et qu'elle cherche à intégrer par tous les moyens.

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Commentaire ajouté par AmandineStuart 2020-12-12T18:48:27+01:00
Lu aussi

Malheureusement cet avis va être très rapide j’en ai peur…

Pourquoi ? Eh bien parce qu’au bout d’une bonne centaine de pages à regarder Jeanne vivre sa vie sans jamais voir quelque chose d’intéressant se profiler (j’avais l’impression de regarder des gens marcher sur un trottoir, assez poétique au début, mais rapidement soporifique), j’ai abandonné ma lecture.

Ce n’est pas quelque chose que j’aime vraiment faire, mais parfois ça s’impose. Je te jure que le bouquin me tombait des mains à chaque fois que j’essayais de m’y intéresser un peu ! Finalement, je ne pense pas que ce soit le fait qu’il ne se passe rien qui m’ai fait prendre cette décision (parce que certaines histoires complètement dénuées d’action parviennent tout de même à nous intriguer), mais surtout le fait des personnages qui était beaucoup trop nombreux et que je n’arrivais pas à distinguer les uns des autres. Mais je crois que le pire, ce fut Jeanne. Cette fille à bientôt 30 ans mais est d’une naiveté de collégienne, c’en était affolant !

Donc, j’ai décidé de m’épargner plus de souffrances à cette lecture…

La suite sur le blog : https://desrevesdanslamarge.com/celia-levi-la-tannerie/

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Commentaire ajouté par EamLL 2020-11-01T17:18:59+01:00
Lu aussi

J'ai trouvé le début très réussi : tout comme Jeanne, on est perdu et noyé dans cette situation nouvelle, dans ce bain d'informations un peu confuses. Les premiers chapitres se lisent avec grand plaisir et sont très immersifs.

Cependant la situation initiale se prolonge, Jeanne est très spectatrice des événements. J'ai trouvé très intéressant qu'elle reste en retrait pendant la rébellion des employés, cependant le suspens retombe vers un tiers du livre et, à partir de là, je me suis forcée à lire. J'ai trouvé vraiment dommage que les migrants ne soient qu'un élément de décors. L'histoire d'amour est assez gnan gnan. J'ai aussi trouvé dommage que le passage sur les grèves soit principalement un cours de politique assez indigeste plutôt qu’un épisode de vie.

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Commentaire ajouté par ElodyEmeraude 2020-11-01T12:49:03+01:00
Pas apprécié

Une lecture qui ne m'a pas vraiment intéressée. Pourtant, j'ai environ le même âge que le personnage principal et j'aurais pu m'identifier à elle, puisque comme elle je serais assez perdue si je devais habiter à Paris. Mais Jeanne est insipide, n'a aucune personnalité et ne fait que suivre le courant ! Elle m'a fait lever les yeux au ciel plus d'une fois et les autres personnages ne sont pas mieux. Les événements de Nuit debout rattrapent un peu mais ne sont pas le cœur du récit (d'ailleurs à un moment Jeanne qui s'habille pour aller à une manifestation comme pour aller à un rencard... sérieusement ?!)

La fin n'est pas satisfaisante, on dirait que l'autrice ne savait pas comment finir son récit. Bref, pas du tout une bonne lecture si ce n'est que je dois bien reconnaître que l'autrice a un beau style d'écriture.

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Commentaire ajouté par Aldo-2 2020-10-31T14:26:34+01:00
Pas apprécié

Le personnage principal est insipide, aussi superficiel que bête. D'ailleurs, la plupart des autres personnages ne m'inspirent aucune sympathie : ils sont, pour la plupart, superficiels, hautains et égocentriques.

L'histoire n'a aucun intérêt et est bourrée de stéréotypes sous couvert d'une pseudo analyse sociologique. Rien d'intéressant ne se passe et l'épisode "Nuit debout" promis par la quatrième de couverture n'arrive qu'au milieu du livre et ne dure pas longtemps.

Je suis bien contente d'en avoir terminé avec ce livre !

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Commentaire ajouté par Julie-176 2020-09-06T19:12:57+02:00
Lu aussi

Avis des 100 pages

Ce livre doté d’un style d’écriture plaisant, une fois les premières pages lues, on est assez vite plongé dans le decorum mis en place par l’auteure, Celia Levi. La Tannerie, d’où le roman tire son nom, est un grand complexe culturel qui a pris place sur une ancienne friche industrielle à Paris. On peut l’apprécier comme un microcosme de notre société : les différentes classes sociales, les idéaux propres à chacun, …

Le personnage principal de « Jeanne » représente assez fort le stéréotype de la petite ingénue provinciale qui débarque à Paris en n’y connaissant rien. Au fil des jours, elle tente d’en déchiffrer les codes. Je l’ai parfois trouvée un peu godiche et agaçante par son manque de jugeote et cet esprit candide dont elle fait preuve. Peut-être que le reste de l’histoire me la rendra plus sympathique au delà de ces 100 premières pages. Je n’arrive pas à m’y attacher.

Malgré cette animosité à l’égard du personnage principale, j’aime assez bien ce roman. Il n’y a pas de grandes surprises jusqu’à maintenant mais je m’y sens bien et vais donc poursuivre avec intérêt cette lecture.

Ma chronique finale

Ce livre doté d’un style d’écriture plaisant, une fois les premières pages lues, on est assez vite plongé dans le decorum mis en place par l’auteure, Celia Levi. La Tannerie, d’où le roman tire son nom, est un grand complexe culturel qui a pris place sur une ancienne friche industrielle à Paris. On peut l’apprécier comme un microcosme de notre société : les différentes classes sociales, les idéaux propres à chacun, etc. Le personnage principal de « Jeanne » représente assez fort le stéréotype de la petite ingénue provinciale qui débarque à Paris en n’y connaissant rien. Au fil des jours, elle tente d’en déchiffrer les codes. Je l’ai parfois trouvée un peu godiche et agaçante par son manque de jugeote.

Mon ressenti premier s’est finalement poursuivi tout du long de ma lecture. Cette façon stéréotypée d’appréhender la jeune adulte qui quitte tout pour débarquer à Paris, eldorado pour cette petite provinciale, a déjà été vu et revu. Ou bien faut-il l’appréhender comme une satire de cette idée de la métropole et de ses lumières ?

Celia Levi appréhende le lieu culturel qu’est la Tannerie, comme une entreprise, ce microcosme où les tensions contre les fonctions dirigeantes s’exacerbent lorsque les desiderata ne sont pas accordés, où les contrats précaires se multiplient en vue d’éviter les charges et les frais par la direction. Cela est abordé de façon totalement réaliste et le parallèle est évident.

Une fois les 100 premières pages passées, le monde merveilleux de La Tannerie s’effondre petit à petit : les berges sont occupées par des migrants de plus en plus nombreux, le mouvement Nuit Debout se met en place avec de multiples rassemblements et manifestations,… C’est ainsi que l’auteure intègre à sa fiction des événements et faits réels.

J’ai trouvé des longueurs rébarbatives à ce texte. Avec parfois l’impression de lire des pages remplies de descriptions inutiles et futiles de lieux ou de sentiments dans le seul et unique but inavoué de remplir des pages. Autant certains passages étaient intéressants et donnaient du sens à l’histoire, autant certaines pages comportaient des phrases très longues n’offrant aucune plus-value au récit à part provoquer une certaine lassitude auprès du lectorat.

Même si l’idée principale de ce livre était originale, la manière d’en extrapoler des pages inutiles en fait perdre la saveur. Je dois avouer avoir lu certains passages en diagonale, me rendant compte que je n’en perdais aucune information primordiale. Alors que ce livre comporte 377 pages, il aurait pu être épuré et en garder toutes ses qualités et originalités. Ce choix éditorial est bien dommage et risque de freiner certains lecteurs dans leur façon d’apprécier ou non ce livre. Pour un premier roman, j’aurai pu l’ « excuser » mais vu qu’il s’agit quand même du cinquième de l’auteur, je me devais d’en tenir rigueur quant à l’appréciation de ce bouquin.

Bien entendu, toutes ces constatations ne sont que mon humble avis personnel. Je ne souhaite pas l’imposer aux autres lecteurs et c’est la raison pour laquelle je vous conseille de vous faire votre propre avis par la lecture de ce livre.

Lu dans le cadre des Explorateurs de la Rentrée littéraire 2020 du site lecteurs.com

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