Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Prospéro, ancien duc de Milan, déchu et exilé par son frère, trouve refuge avec sa fille Miranda sur une île inconnue. Grâce à la magie de ses livres, il commande aux éléments et maîtrise des créatures mystérieuses: notamment Ariel, esprit de l'air, et Caliban, créature sauvage.
Usant de magie et d'illusions, Prospéro crée une tempête qui fait s'échouer le bateau du roi et du duc usurpateur de Milan. Il fait alors subir aux naufragés diverses aventures destinées à venger leur traîtrise, mais qui se révéleront initiatiques pour tous.
Cette Tempête, dernière pièce majeure écrite par Shakespeare, est aussi sa plus baroque, mêlant dans un imaginaire proliférant les intrigues et les esthétiques (féerie, grotesque, "masque" de cour, commedia dell'arte, classicisme naissant). Dans une mise en miroir entre nature et artifice, Shakespeare entraîne comme jamais le spectateur dans le dédale et l'illusion du théâtre, pour mieux le prévenir contre les miroitements du réel et les mirages de la raison.
La Tempête, comédie enchanteresse et désenchantée, ne cesse de passionner metteurs en scène et spectateurs.
L'une de mes oeuvres favorite avec "Hamlet" de Shakespeare. Un senario fot intéressant et des personnages surprenant- le fait d'insérer de la magie dans l'histoire, donne une ambiance féerique plaisante.
Trois intrigues se forment : Prospéro qui cherche à unir les deux jeunes gens ; le duc usurpateur Antonio et Sébastien, frère du roi Alonso, cherchent à tuer ce dernier ; Caliban, être difforme qui sert malgré lui Prospéro, cherche des alliés pour se révolter contre le sorcier. Oui, La Tempête compte un bon nombre de personnages et d’arcs narratifs.
Il est facile de s’y perdre et en même temps, on s’éprend volontiers de cette histoire à multiples axes. Et heureusement, Shakespeare use souvent des mêmes codes pour ne pas nous perdre de trop. Au sein de la royauté, il y en a toujours qui sont avides au point de trahir et de tuer pour obtenir une meilleure place, et souvent celle de roi. Et les jeunes âmes belles et innocentes trouvent toujours le moyen de se séduire. On voit arriver bon nombre d’événements et on se doute à l’avance de la conclusion de la pièce. Mais tout le chemin pour y arriver est bien plus intéressant que la résolution finale.
Hormis les trahisons et le romantisme, La Tempête possède un atout inestimable qui n’est pas habituel chez le dramaturge : un univers magique foisonnant. Cette île abrite de nombreux êtres, notamment Ariel, Caliban, le fils de l’ancienne sorcière Sycorax, les esprits et déesses Cérès, Iris et Junon, etc… Par sa maîtrise de la magie, Prospéro devient rapidement le maître de l’île, combattant la sorcière qui y régnait et asservissant ses habitants surnaturels.
J'ai du le lire pour les cours et bien c'est la 1ère fois que je n'aime pas une œuvre de Shakespeare. Je crois être passée complètement à côté. Après mon avis changera peut être après l'avoir étudier en long et en large, ce commentaire n'est donc pas à l'abri d'une modification !
C'est la première pièce de Shakespeare que je lis et je dois avouer que je suis assez déçue. L'intrigue n'est pas spécialement prenante, je me suis assez rapidement ennuyée. J'ai largement préféré Une Tempête d'Aimé Césaire.
Ce n'est pas un Shakespeare dont je me souviendrais ...
Globalement, j'ai quand même l'impression d'être passée à côté.
Si j'ai bien aimé (comme d'habitude) les guéguerres de famille (et donc notamment Prospero, à peu près le seul personnage que j'ai trouvé digne d'intérêt ici), je n'ai pas vu l'utilité pour la pièce de bons nombres de personnages : les marins (dans lesquels j'inclus Stephano et Trinculo, dont l'humour grotesque propre à ce genre de pièce tombe assez souvent à plat avec moi), les tourtereaux (ça va toujours très vite les histoires d'amour dans les pièces de théâtre mais là, ça bat tous les records ! Et pour quelle plus-value à l'intrigue finalement ? Comme il n'y a pas de rivalité, je la cherche encore ... oui d'accord, un beau mariage pour elle et une belle revanche pour son père, soit) et Caliban. J'avoue même avoir un peu été dérangée par ce dernier et notamment ses tirades meurtrières puisque mon esprit n'a pas pu s'empêcher de faire le lien entre les mots "Caliban" et "cannibale" (est-ce que le jeu de mots était voulu par Shakespeare ? Je n'en sais rien mais en tout cas, ça a fait écho à l'un des quelques thèmes que j'ai en horreur la plus complète et ça m'a finalement laissé une impression malaisante pour la plupart des scènes avec ce personnage).
Quant à l'intrigue, j'ai pour habitude d'être assez frustrée par la magie qui solutionne toutes difficultés - cette pièce n'y a pas fait exception mais c'était attendu.
Bref, je lis quelques classiques de temps à autre pour ma culture personnelle. Pour celui-là, c'est fait mais ce n'est clairement pas celui dont je garderai le meilleur souvenir ...
Que l'art de la traduction est dur ! Qu'est complet celui de l'interprétation aussi ! Alors que la lecture en elle-même, surtout dans certaines éditions françaises, peut laisser sur la touche, l’œuvre originale en anglais et surtout sur scène et en musique change tout. Relire le texte ne laisse alors plus du tout la même impression. Il est vrai que jamais le théâtre ne doit-il se lire comme un roman.
Résumé
Prospéro, ancien duc de Milan, déchu et exilé par son frère, trouve refuge avec sa fille Miranda sur une île inconnue. Grâce à la magie de ses livres, il commande aux éléments et maîtrise des créatures mystérieuses: notamment Ariel, esprit de l'air, et Caliban, créature sauvage.
Usant de magie et d'illusions, Prospéro crée une tempête qui fait s'échouer le bateau du roi et du duc usurpateur de Milan. Il fait alors subir aux naufragés diverses aventures destinées à venger leur traîtrise, mais qui se révéleront initiatiques pour tous.
Cette Tempête, dernière pièce majeure écrite par Shakespeare, est aussi sa plus baroque, mêlant dans un imaginaire proliférant les intrigues et les esthétiques (féerie, grotesque, "masque" de cour, commedia dell'arte, classicisme naissant). Dans une mise en miroir entre nature et artifice, Shakespeare entraîne comme jamais le spectateur dans le dédale et l'illusion du théâtre, pour mieux le prévenir contre les miroitements du réel et les mirages de la raison.
La Tempête, comédie enchanteresse et désenchantée, ne cesse de passionner metteurs en scène et spectateurs.
Afficher en entier