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« — Quand tu ne regardais pas, il te volait des petits coups d’œil en coin. Je pense qu’il ne savait pas qu’on pouvait le voir, mais nous l’avons tous vu. Tout le monde sauf toi. Et ce regard ? Oh Benji. Ce regard, c’était tout. »
Afficher en entier« Il gémit tandis que je promène mes mains sur son corps, puis mon exploration provoque en lui une chose que je ne m’attendais pas à entendre chez lui : un souffle léger qui se transforme en un petit rire. Il est chatouilleux à cet endroit, sur le flanc, près de ses hanches. Cette découverte est tellement adorable que j’en ai le souffle coupé. »
Afficher en entier« — Benji, Benji. Ouvre les yeux. Ouvre les yeux et regarde.
Je m’exécute. Il me regarde et me berce dans ses bras. Sur son visage, il y a un léger sourire.
— Le soleil est sur le point de se lever. Tu dois voir ça. C’est tellement beau.
Il regarde vers l’horizon.
Mais tout ce que je vois, c’est lui. »
Afficher en entier- Lola Green, commence-t-il doucement, je sais que vous êtes inquiète. Je sais que parfois les choses peuvent paraître effrayantes. Et que parfois elles le sont. Mais je vous dis ceci, d'accord ? Je vais surveiller Benji. Je vais le protéger. Je le garderai hors de danger. Cela, je vous le promets. Je protégerai Benji. C'est mon travail.
Afficher en entier« — Et toi, pourquoi viens-tu ici tous les jours ? m’a-t-il demandé.
J’ai fixé ses yeux sombres et dit la première chose qui m’est venue à l’esprit.
— Parce que tu es là.
J’ai instantanément rougi en réalisant ce que ces mots impliquaient. Le sourire qui a illuminé son visage était éclatant et complice. J’ai tourné les yeux, mais juste après qu’il m’ait serré un peu plus fort contre sa poitrine. »
Afficher en entier« — Pourquoi as-tu dit aux gens que je t’appartiens ?
Cal sourit.
— Parce que c’est vrai. Vous tous ici m’appartenez. Je suis l’ange gardien de Roseland. C’est mon travail. Vous m’appartenez tous.
— Oh, dis-je, ne pouvant masquer la déception dans ma voix.
Il s’éloigne du comptoir pour ramasser ses sacs.
— Mais surtout toi, ajoute-t-il par-dessus son épaule en s’éloignant vers le petit bureau à l’arrière du magasin.»
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