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Restée seule, Zenka s'enfouit sous la couverture, les yeux ouverts dans l'obscurité. Elle devait, s'avouer en vérité : elle s'était conduite comme une personne très mal élevée.
Pas tant que le roi, tout de même. Il était abominable! Wilhelmine avait raison, après tout.
Maintenant il est reparti en Brougham, pour finir la nuit avec l'une de ses maîtresses, si cette femme pouvait le décevoir! Et soudain la colère de
Zenka disparut. Elle se mit à pleurer, elle se sentait affreusement seule et abandonnée. Elle n'avait personne à qui se confier, personne à qui demander assistance.
Elle songea avec nostalgie au mystérieux Français du train, ce voleur qui lui avait dérobé un baiser, il s'était éloigné dans la nuit, silencieusement.
Et si elle l'avait suivi? Si elle était partie avec lui? Elle serait devenue son assistante, sa partenaire.
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