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Un débris de hameau où quatre maisons fleuries d'orchis émergent de blés drus et hauts.
Ce sont les Bastides Blanches, à mi chemin entre la plaine et le grand désert lavandier, à l'ombre des monts de Lure.
C'est là que vivent douze personnes, deux ménages, plus Gagou l'innocent.
Janet est le plus vieux des Bastides.
Ayant longtemps regardé et écouté la nature, il a appris beaucoup de choses et connaît sans doute des secrets. Maintenant, paralysé et couché près de l'âtre, il parle sans arrêt, « ça coule comme un ruisseau », et ce qu'il dit finit par faire peur aux gens des Bastides.
Puis la fontaine tarit, une petite fille tombe malade, un incendie éclate.
C'en est trop ! Le responsable doit être ce vieux sorcier de Janet.
Il faut le tuer...
Dans Colline, premier roman de la trilogie de Pan (Un de Baumugnes-Regain), jean Giono, un de nos plus grands conteurs, exalte dans un langage riche et puissant les liens profonds qui lient les paysans à la nature.
Source : Le Livre de Poche
résumé du livre: Colline de Jean Giono
"C'est donc tout vivant? Janet l'a compris avant lui; Tout: bêtes, plantes, et, qui sait? peut-être les pierres aussi. Alors il ne peut plus lever le doigt sans faire couler les ruisseaux de douleur?"
Colline est ma première rencontre avec Jean Giono, qui est un auteur profondément attaché à la Terre ainsi qu'à ses traditions ancestrales. Pour lui, la Nature prend toute la place, elle est partout, c'est une force vivante sacrée qui peut se révéler aussi généreuse que dangereuse.
Dans Colline, Giono nous décrit la vie dans un petit hameau où le temps semble s'être arrêté. Tout change lorsque l'aîné, en fin de vie, se met à "déparler", c'est le début de sentiments d'inquiétude et d'incrédulité.
Puissance du style, écriture captivante, tragédie humaine, "Colline" retient dès les premières lignes pour ne plus lâcher le lecteur jusqu'à la dernière lettre, jusqu'à la dernière poignée de terre que l'on jette au dernier repos, "Colline" est un chef-d'oeuvre et une épreuve d'humilité face à la mère Nature, celle qui décide et permet, celle qui propose avant qu'on l'indispose.
Roman de portée universelle et intemporelle, "Colline" rapproche de la Nature et rappelle aux Hommes qu'ils ne sont rien, rien que des éphémères exploitants d'une Nature qui, parfois, décide de reprendre son souffle et de balayer, sans pitié.
« Colline » est le premier livre de la " Trilogie de Pan " ( Colline, Un de Baumugnes et Regain). Entre parenthèse, c’est celui que j’ai lu en dernier, mais ce n’est pas dérangeant.
« Colline » c’est l’histoire de quelques hommes vivant dans un petit hameau, en quasi-autarcie, isolée au cœur de la campagne provençale près d’une colline. Giono nous y parle des hommes et de leur rapport à la nature sauvage qui les entoure, de leur cohabitation, de leurs affrontements, mais c’est surtout la nature des hommes qu’il révèle, amèrement avec tristesse.
Un court récit, très dense, dérangeant, un brin ésotérique parfois et somme toute violent avec une écriture admirable, poétique et imagée tantôt réaliste, tantôt fantastique, tantôt panthéiste personnifiant la nature, la colline, le feu.
Mieux comprendre la vie de paysan, les liens forts qui s'établissent entre eux, et surtout, leur ressenti de l'intérieur : comment vivent-ils sachant qu'il existe la ville, un endroit radicalement différent ?
« Colline » frappe d’abord par son écriture, loin d'un style "à vif", elle a une puissance poétique rare.
Mais Colline, c’est aussi comme un tableau de Picasso. On peut être frappé par la poésie de la plume, comme pour la force du coup de pinceau, mais on ne peut l’apprécier pleinement que lorsque l’on en comprend le sens. La beauté de Colline réside dans son message, dans son hymne à la terre Mère. L’histoire est simple, mais la pensée qu’on en retire est complexe, comme un vin noir et âpre, que l’on doit laisser nous imprégner, envahir nos sens, nous éblouir. Je n’ai aimé ce livre que lorsque j’en ai saisi la puissance. Tel le personnage de Janet qui dégageait cette inquiétante étrangeté qui me faisait tourner les pages plus rapidement, Janet qui m’apparaissait distant, au dessus, presque cruel et qui « déparlait » sans cohérence…Janet qui me paraît maintenant fascinant, comme entouré d’une aura à part, l’aura de « celui qui sait », quelqu’un qui avait compris. Comme Jaume le pense « Certes il n’aurait pas cru Janet si fort, et c’est d’abord cette entrevue qui l’effraye. Cette fois, c’est quelqu’un qui sait qui parle ». Les personnages de ce récit ne sont par ailleurs pas très attachants, des paysans un peu frustres qui parlent certes avec le cœur, mais que les superstitions taraudent tous. Pourtant on ne peut s’empêcher d’éprouver de la compassion pour eux. Ils viennent seulement de comprendre que colline est faite de chair et de sang, sensible, parfois violente. Jean Giono avait déclaré à propos de son livre : « En faisant Colline, j’ai voulu faire un roman et je n’ai pas fait un roman, j’ai fait un poème ». Un poème aux mots parfois familiers, qui nous emmène dans un pays appelé Nature et nous chante le vent, le feu, l’eau, la terre. Un poème d’une grande beauté parce que d’une grande force.
Je n'ai vraiment pas apprécié ce livre. J'ai du le lire en 1er L et même après avoir travaillé dessus en cours je ne lui trouve aucune beauté. Le style de Jean Giono ne me plait pas du tout. Je trouve qu'il y a trop d'image et de métaphore. Je ne conseille pas du tout ce livre. C'est dommage je trouve que l'histoire pourrait être intéressante mais le style me dérange tellement que je ne suis pas capable de l'apprécier.
Un roman qui nous parle de la terre, des hommes, de cette Provence antique, riche et séduisante, rude et sauvage, disparue! C'est la description d'une humanité simple, confronté à la souffrance à la rudesse d'une vie sans complaisance, entremêlée de joies simples et qui seraient jugées aujourd'hui puériles! Tout un monde qui n'existe plus mais dont les mots justes de Giono nous laissent la nostalgie
Résumé
Un débris de hameau où quatre maisons fleuries d'orchis émergent de blés drus et hauts.
Ce sont les Bastides Blanches, à mi chemin entre la plaine et le grand désert lavandier, à l'ombre des monts de Lure.
C'est là que vivent douze personnes, deux ménages, plus Gagou l'innocent.
Janet est le plus vieux des Bastides.
Ayant longtemps regardé et écouté la nature, il a appris beaucoup de choses et connaît sans doute des secrets. Maintenant, paralysé et couché près de l'âtre, il parle sans arrêt, « ça coule comme un ruisseau », et ce qu'il dit finit par faire peur aux gens des Bastides.
Puis la fontaine tarit, une petite fille tombe malade, un incendie éclate.
C'en est trop ! Le responsable doit être ce vieux sorcier de Janet.
Il faut le tuer...
Dans Colline, premier roman de la trilogie de Pan (Un de Baumugnes-Regain), jean Giono, un de nos plus grands conteurs, exalte dans un langage riche et puissant les liens profonds qui lient les paysans à la nature.
Source : Le Livre de Poche résumé du livre: Colline de Jean Giono
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