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- Et ça ne fait rien à votre mari de savoir que vous travaillez pour une loge secrète qui garde dans sa cave une machine à remonter le temps ?

Mrs Jenkins éclata de rire.

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"La première chose que je vis en retirant mon bandeau fut Gideon, un haut-de-forme sur la tête. J'éclatai aussitôt de rire.

Ah ! Cette fois c'était lui l'idiot au chapeau !"

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-Wilbour...un de ses yeux était... dis-je a mon tour.

je fus soudain prise de nausée.

-Qu'est-ce que tu fait , je m'efforcai de vomir, mais sans succès

-Gwendolyn, nous devons juste arriver la, au coin ! Respire un grand coup ,sa va passer.

je m'arretai sur place. sans était trop

-Ca va passer ?!

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Eh, Mum, cet après-midi, moi et mon imagination anormale nous sommes allées faire un tour dans le passé.

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Il était donc formidable d'avoir déjà, ce lundi,les avantages du mercredi.

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Je l’ai senti pour la première fois lundi, à midi, à la cafèt’ du lycée. D’un seul coup. Un truc à l’estomac, comme quand on dégringole depuis tout en haut du grand huit. Ça n’a duré que deux secondes, mais ça m’a suffi pour renverser ma purée pleine de sauce sur mon uniforme. Mes couverts sont tombés par terre et j’ai juste eu le temps de retenir l’assiette.

– De toute façon, ce truc-là, ça a déjà un goût qu’on dirait qu’on l’a ramassé par terre, dit mon amie Leslie tandis que j’essuyais cette cochonnerie de mon mieux.

Naturellement, tout le monde avait braqué les yeux sur moi.

– Si tu veux, tu peux aussi tartiner ton chemisier avec mon assiette, ajouta Leslie.

– Non, merci.

Certes, le chemisier de l’école avait déjà – comme par hasard – une couleur de purée, mais la tache faisait tout de même mauvais effet. Je boutonnai mon gilet bleu marine par-dessus.

– Alors, la petite Gwenny fait encore joujou avec son repas, dit Cynthia Dale. Ne viens surtout pas t’asseoir près de moi, baveuse !

– Comme si j’en avais envie, Cyn !

Malheureusement, il m’arrivait souvent ce genre de mésaventures. Rien que la semaine d’avant, mon morceau de pudding s’était échappé de son moule en alu pour atterrir deux mètres plus loin, dans les spaghettis à la carbonara d’un petit cinquième. Quelques jours plus tôt, j’avais renversé du jus de cerise, et du coup tous mes voisins de table paraissaient avoir la rougeole. Sans compter le nombre de fois où j’avais trempé la cravate débile de mon uniforme dans de la sauce, du jus de fruits ou du lait.

Mais cette sensation de vertige, c’était la première fois. C’était probablement mon imagination : ces derniers temps, on avait un peu trop parlé de vertiges à la maison.

Pas des miens, mais de ceux de ma cousine Charlotte qui, toujours aussi merveilleuse et aussi parfaite, était tranquillement occupée à manger sa purée, à côté de Cynthia.

Toute la famille attendait les vertiges de Charlotte. Certains jour, lady Arista – ma grand-mère – lui demandait toutes les dix minutes si elle ressentait quelque chose. Ma tante Glenda, la mère de Charlotte, profitait des intervalles pour lui poser la même question.

À chaque réponse négative de Charlotte, lady Arista pinçait les lèvres et tante Glenda soupirait. Ou vice versa.

Nous autres – ma mère, ma sœur Caroline, mon frère Nick et ma grand-tante Maddy –, nous levions les yeux au ciel. Bien sûr, c’était excitant d’avoir dans la famille un porteur du gène du voyage dans le temps, mais au fil des années l’intérêt avait fini par s’émousser. Nous en avions simplement assez de tout ce tintouin autour de ma cousine.

Charlotte avait pris l’habitude de cacher ses sentiments derrière un mystérieux sourire à la Mona Lisa. À sa place, je n’aurais pas su non plus si je devais me réjouir ou me plaindre de ces vertiges aux abonnés absents. Bon, à vrai dire, je m’en serais sans doute réjouie. J’étais plutôt du genre froussarde. J’appréciais ma tranquillité.

– Ça finira bien par arriver, répétait lady Arista chaque soir. Et alors, il faudra être prêtes.

En fait, ça s’est passé après le déjeuner, pendant le cours d’histoire de Mr Whitman. J’avais quitté la cafèt’, la faim au ventre. Comble de malchance, j’avais trouvé un cheveu noir dans le dessert – confiture de groseille à maquereau et crème à la vanille – et je n’avais pas réussi à déterminer s’il s’agissait d’un des miens ou de celui d’un aide-cuistot. De toute façon, ça m’avait coupé l’appétit.

Mr Whitman nous rendait les contrôles de la semaine précédente.

– Apparemment, vous aviez bien révisé. Surtout toi, Charlotte. Je t’ai mis 18 !

Charlotte écarta une mèche de ses cheveux roux brillants de son visage et dit « Oh ! », comme si cette note était une surprise. Alors qu’elle était toujours la meilleure dans toutes les matières.

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— Elle est amoureuse.

— Mais non.

— Si, si. Mais elle ne le sait pas encore.

— Et toi, comment le sais-tu ?

— Ah, il est tout simplement irrésistible. Oh, mon Dieu, tu as vu ses yeux ? Verts comme ceux d’un tigre. Je crois aussi avoir senti mes genoux flageoler quand il m’a décoché ce regard furibond.

— Quoi ? Tu ne parles pas sérieusement, là ? Depuis quand aimes-tu les yeux verts ?

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— Tu as dit que je ne pourrais jamais posséder cette magie, parce que je ne suis qu’une fille tout à fait banale. Une fille comme tu en connais tant d’autres. Qui ne vont toujours qu’en groupe aux toilettes et se moquent des autres, et...

Une main se posa sur mes lèvres.

— Je sais ce que j’ai dit.

Gideon s’était de nouveau penché vers moi.

— Et je le regrette, ajouta-t-il.

Hein ? J’étais assise là, comme frappée par la foudre, incapable de bouger ou de simplement respirer. Ses doigts frôlèrent prudemment mes lèvres, caressèrent mon menton et remontèrent à tâtons ma joue jusqu’à ma tempe.

— Tu n’es pas banale, Gwendolyn, chuchota-t-il, tout en me caressant les cheveux. Tu es très inhabituelle. Tu n’as pas besoin de la magie du corbeau pour représenter pour moi quelqu’un de tout à fait particulier.

Son visage se rapprocha encore. Quand ses lèvres effleurèrent les miennes, je fermai les yeux.

OK, je n’avais plus qu’à tomber dans les pommes, maintenant.

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La circulation dans la City est perturbée par une marche de protestation de mégères en folie, qui réclament le droit de vote pour les femmes. Nous fonderons des colonies sur Mars plutôt que de tolérer ça.

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— Tu n'es pas banale, Gwendolyn, chuchota-t-il, tout en me caressant les cheveux. Tu es très inhabituelle. Tu n'as pas besoin de la magie du corbeau pour représenter pour moi quelqu'un de tout à fait particulier.

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