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"Je protégerait gwendolyn contre n'importe quoi [...]mais je ne vois pas en quoi sa te regarde..." GIDEON

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-Alors, grande maîtresse du Saint-Ordre du cochonnet au crochet. en dansant le menuet, n'oublie pas d'écraser les pieds de Ne-Prononce-Pas-Son-Nom, dit-il en lançant un regard méprisant sur Gideon. Et méfie-toi du comte !

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chapitre1

-Je rayerai de la face de monde tout ce qui n'est pas voulu par Dieu ! Ton sang abreuvera la terre !

J'avais au moins deux répliques sur le bout de la langue à ces paroles exprimées dans un râle pathétique (abreuver la terre... comment ça ? le sol ici était carrelé !), mais, dans ma panique, je ne réussis pas a=à sortir un son. De toute façon, ce type ne me donnait pas l'impression d'être du genre à apprécier l'humour.

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Xemerius, qui avait sommeillé au pied de mon lit, sursauta.

- Qu'est-ce qu'il fait ici, cet avertisseur d'incendie ?

Je remontai ma couverture jusqu'au menton.

- Il y a le feu ? demandai-je, pas vraiment inspirée, à Mr Marley.

D'après ma mère, on devait seulement passer me prendre dans l'après-midi pour élapser. Et pas me sortir direct du lit, bon sang !

- Non, vraiment, ça va un peu trop loin, jeune homme ! s'écria une voix derrière lui.

C'était tante Maddy. Elle bouscula un peu Mr Marley et se glissa devant lui dans ma chambre.

- Apparemment, vous manquez de bonnes manières, ajoutat-elle.

On n'a pas idée de surgir comme ça dans la chambre d'une jeune fille.

- Oui, et moi non plus je ne suis pas encore présentable, dit Xemerius en se léchant une patte.

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-Le sang du démon abreuvera la terre, grogna Dark Vador, empli de joie à cette pensée.

Son répertoire de phrases semblait des plus limités.

Gideon, le corps tendu, paraissait toujours lorgner vers les sabres inatteignables et, du coup, je me mis à chercher des yeux une autre arme possible. Sans trop réfléchir, je soulevais l'une des chaises capitonnées et brandis ses frêles pieds vers Alcott.

Pour je ne sais quelle raison, celui-ci parut s'en amuser, car il afficha un sourire encore plus meurtrier et avança lentement vers moi.

En tout cas, une chose était sûre : quelles que soient ses motivations, il n'obtiendrait plus jamais une âme pure en cette vie.

Lord Alastair s'approcha lui aussi.

Et puis, tout se passa d'un coup.

-Ne bouge pas !me cria Gideon en renversant le bureau et en le faisant glisser d'un pied vers lord Alastair.

Presque en même temps, il arracha un lourd chandelier du mur et l'asséna de toutes ses forces sur le premier secrétaire. Il l'atteignit à la tête dans un bruit horrible, l'envoya rouler à terre et, sans vérifier si son coup avait porté, se précipita droit sur la collection de sabres. Lord Alastair, quant à lui, fit un pas de côté pour éviter le bureau déboulant vers lui. Mais au lieu d'empêcher Gideon d'arracher les sabres du mur, il me rejoignit en quelques pas.

Tout cela s'était passé en un quart de seconde et j'eus à peine le temps de relever la chaise avec la ferme intention de la briser sur la tête d'Alastair qu'il projetait déjà son épée vers moi.

La lame transperça ma robe et s'enfonça profodément sous mes côtes et avant que je puisse vraiment réaliser ce qui s'était passé, lord Alastair la retira et fonça avec un cri triomphant sur Gideon, l'épée souillée de mon sang dirigée droit sur lui.

La douleur survient une seconde plus tard. Telle une marionnette aux fils coupés, je tombai à genoux, la main préssée instinctivement sur le coeur. J'entendis Gideon crier mon nom et je le vis arracher aussitôt deux sabres du mur et les faire tournoyer au-dessus de sa tête comme un samourai. En même temps, je m'affalai définitivement sur le sol; mon crâne ne heurta même pas durement le parquet (Pour ce genre de chose, une perruque peut se révéler très pratique). Comme par magie, la douleur avait subitement disparu. Stupéfaite, je fixai un moment le vide, puis je planai en l'air, en apesanteur, désincarnée, de plus en plus haut, vers le plafond aux décors en stuc.

Autour de moi, des grains de poussières dorés dansaient à la lumière des bougies et c'était comme si j'en faisais moi-même partie.

Loin en dessous de moi, je me voyais allongée, les yeux grands ouverts, cherchant à respirer. Le tissu de ma robe se teintait lentement de sang. Mon visage perdit rapidement ses couleurs et ma peau devint aussi blanche que ma perruque. Etonnée, je regardai mes paupières cligner puis se fermer. Mais la partie de moi en l'air pouvait continuer à tout observer.

Je vis le premier secrétaire allongé, inerte, près du chandelier. Du sang s'écoulai d'une large blessure à sa tempe.

Je vis Gideon, blême de rage, se précipiter sur Alastair. Le lord s'esquivait vers la porte et parait de son épée les coups de sabre mais, en quelques secondes, Gideon l'avait déjà acculé dans un coin de la pièce.

Je les vis se battre âprement en duel, même si, de là-haut, le cliquetis des armes me parut un peu étouffé.

Le lord fit un écart et tenta de plonger sous le bras de Gideon, mais celui-ci le devina et toucha presque au même instant le bras non couvert du lord. Alastair regarda son adversaire d'un air incrédule, puis son visage se déforma dans un cri muet. Ses doigts s'ouvrirent en laissant s'échapper son épée : Gideon avit cloué le bras du lord au mur. Malgre la douleur qu'il devait ressentir, celui-ci se mit à proférer des injures.

Gideon se détourna de lui sans plus lui accorder un regard et se jeta sur le sol, près de moi. C'est-à-dire, près de mon corp - moi-même, je planais toujours inutilement en l'air.

-Gwendolyn ! Oh, mon D.ieu ! Gwenney ! Non, je t'en prie !

Il pressa son poing sous ma poitrine, là où l'épée avait laissée un minuscule trou dans la robe.

-Trop tard, tonna Dark Vador. Ne voyez-vous pas la vie s'écouler d'elle ?

-Elle va mourir, et vous n'y pouvez rien changer ! cria aussi Alastair de là où il se trouvait.

I l veillait soigneusement à ne pas bouger son bras cloué au mur. Le sang qui en gouttait formait une petire flaque près de ses pieds.

- J'ai tanspercé son coeur démoniaque ! se félicita-t-il.

- Fermez-là ! l'apostropha Gideon qui pressait maintenant ses deux mains sur ma plaie en s'aidant du poids de son corps. Je ne la laisserai pas se vider de son sang. Si nous pouvions seulement...

Il poussa un sanglot de désespoir.

-Tu ne dois pas mourir, tu m'entends, Gwenny ?

Ma poitrine se soulevait et s'abaissait encore et ma peau était couverte de minuscule goutte de sueur, mais il n'était pas exclu, que Dark Vador et Alastair aient dit vrai. Finalement, j'évoluais déjà dans l'air comme une particule de poussière brillante et mon visage en bas ne montrait plus la moindre trace de couleur. Même mes lèvres avaient viré au gris.

Gideon avit maintenant le visage baigné de larmes. Il comprimait toujours ma blessure de toutes ses forces.

- Reste avec moi, Gwenny, reste avec moi ! chuchotait-il.

Et soudain, je ne vis plus rien, mais je sentis de nouveau la dureté du sol sous moi, la douleur sourde dans mon ventre et toute la pesanteur de mon corps. Je cherchai à respirer dans un râle, tout en sachant que je n'aurais plus assez de force pour une autre inspiration.

Je voulus ouvirir les yeux pour regarder une dernière fois Gideon, mais ce fut en vain.

- Je t'aime, Gwenny, je t'en prie, ne me quitte pas, dit Gideon .

Ce fut la dernière chose que j'entendis avant de sombrer dans un grand trou noir.

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Gideon secoua la tête, puis il inspira profondément et dit d'une voix grave :

- Quand tu m'embrasses, Gwendolyn Shepherd, c'est comme si je perdais le contact avec le sol. Je ne sais pas comment tu fais ni où tu as appris ça. Si c'était par un film, alors il faudra le voir ensemble.

Il s'arrêta un moment puis poursuivit.

- En fait, je veux dire que quand tu m'embrasses, je ne veux rien d'autre que te sentir et te tenir dans mes bras. Merde, je suis si terriblement amoureux que c'est comme si on avait renversé un bidon d'essence quelque part en moi et qu'on y avait mis le feu ! Mais, pour l'instant, nous ne pouvons pas... nous devons garder la tête froide. Ou du moins, l'un de nous deux.

Le regard qu'il m'adressa fit s'envoler définitivement tous mes doutes.

- Gwenny, l'entendis-je dire encore, tout cela me fait une peur atroce. Sans toi, ma vie n'aurait plus aucun sens, sans toi... je voudrais mourir tout de suite s'il t'arrivait quelque chose.

Je voulus lui sourire, mais j'eus soudain une énorme boule dans la gorge.

- Gideon, je... commençai-je, mais il ne me laissa pas parler.

- Je ne voudrais pas que... Il ne faut pas que tu ressentes les choses comme moi, Gwenny. Parce que le comte utiliserait ces sentiments contre nous. Et qu'il le fera !

- C'est déjà trop tard, chuchotai-je. Je t'aime. Et sans toi, je ne voudrais plus vivre.

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-S'il vous plaît, émis-je une dernière fois.

Mais Gideon atterrit à l'instant même près de l porte légèrement courbé. Il n'eut pas le temps de se redresser que Mr Whitman appuyait déjà sur la gâchette. Puis encore une fois. Et encore et encore, jusqu'à vider tout le chargeur.

Les coups claquèrent bruyamment et les balles l'atteignirent à la poitrine et au ventre. Le regard de ses yeux verts écarquillés erra dans la pièce, jusqu'à me trouver.

Je criai son nom.

Comme au ralenti, il glissa le long de l porte en laissant une large trace de sang. Le corps bizarrement tordu, il demeura inerte au sol.

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-Je vais devoir aller chercher le comte, dit-il. Gwen... si tu pouvais m'aider ...?

-A m'occuper de celle-là ? Ca va pas, non ?

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xemerius

-en revenant plein d espoir de sa petite viree, le beau demon subtil dut malheureusement constater que le fille, entre temps, n'avait perdu ni son corsage jaune pisseux ni son innocence ...

je lui adressai un "ferme-la" muet.

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Ouh,dit Leslie en m'expédiant un coup de coude dans les côtes. Et il a de bonnes manières,avec ça. Il soulève ses fesses en voyant une dame se lever. De jolies fesses, cela dit.Quel dommage qu'il soit un si sale type!

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