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Emouchet, le chevalier pandion, est de retour d’exil, prêt à reprendre sa place de Champion de la reine. Mais sa maîtresse est frappée par un mal mystérieux et Séphrenia, la vieille sorcière, n’a pu que retarder l’échéance : assise sur son trône, enchâssée dans un bloc de cristal, la jeune reine est mourante ; il faut trouver vite un remède.
Cette histoire se passe dans une terre de royaumes combattants, d’intrigues de cour, de magie noire et de haute aventure. La maladie de la reine est une aubaine pour les ambitieux. Alors, Émouchet part chercher le remède en compagnie de Séphrenia et de la petite Flûte aux étranges pouvoirs. Après bien des franches galopades et des téméraires traversées, il ne saurait manquer d’atteindre enfin cet objectif qui se dérobe sans cesse…
Mais les Zemochs, pour la première fois depuis cinq cents ans, sont aux portes de l’Élénie. On murmure qu’Azash, leur dieu aîné, convoite le Bhelliom, la pierre sacrée perdue, qui ferait de lui le maître du monde. Contre une telle menace, que peuvent les coups d’épée ? Allons, les ténèbres rôdent, la reine agonisante est peut-être — à l’insu de tous — l’ultime espoir de la lumière. Et le valeureux Émouchet n’est pas au bout de ses peines..
"-Je vais arracher les boyaux d'Annias, gronda-t-il. Avec un poignard émoussé.
Le petit médecin parut soudain intéressé.
-Voici la façon de procéder, suggéra-t-il. Effectuez une incision latérale juste en dessous du nombril. Puis retournez-le sur le dos d'un coup de pied. Tout devrait être éjecté d'un coup.
L'histoire est symphatique à lire, toutefois j'ai trouvé certains passages un peu long. Je lirai les tomes suivants, j'admets vouloir connaître la fin de l'histoire.
J'ai lu l'édition poche de France Loisir et la mise en page est catastrophique. Tirets introduisant des dialogues absents, retour à la ligne intempestifs, majuscules mal placées, des virgules absentes... Sans compter des étourderies d'orthographe imputables au traducteur et au relecteur. Enfin, il y avait des problèmes sur certaines tournures de phrase (notamment des doublons, comme mettre "s'il te plait" au début et à la fin d'une même proposition) et je ne sais pas si c'est la faute du texte d'origine ou de la traduction.
Si je vous déconseille cette édition, l'histoire en elle-même est très bien construite, on rentre facilement dans un monde pourtant complexe, les personnages sont sympathiques (quoiqu'un peu rustauds, comme les Américains). La carte est d'une grande aide pour comprendre la géopolitique de ce continent (juste : si vous cherchez Cippira, elle est au sud-est, au bord de la carte ; il m'a fallu la moitié du livre pour trouver...)
Le gros point positif selon moi : contrairement à 90% de la fantasy "adulte", il n'y a pas de violence excessive, pas de viols, pas de détails sur des sanglants massacres (et quasiment pas de jurons). C'est donc une lecture abordable par tous les publics.
Un environnement riche, une grande quête, des questions de politique/religion, des personnages variés, de la magie, une pointe d'humour... Tous les ingrédients sont présents pour nous faire rentrer pleinement dans l'univers de cette trilogie que j'ai forcément envie de poursuivre (et vite !).
J'ai adoré !!!! Lu sur les conseils de mon mari , les personnages sont attachant, une touche d'humour,une intrique mêlant politique,aventures, Magie. Du coup j'ai eu envie de connaître la suite des aventures du héros et me voula partie pour lire la trilogie.
Ayant déjà lu du Eddings, j'ai retrouvé là certaines caractéristiques qui lui sont propres, mais qui m'ont poussé à faire des comparaisons de personnages avec ceux de ces autres histoires.
Je lirais certainement la suite quand je tomberais dessus.
Après La Belgariade et La Mallorée, je découvre un nouveau récit des époux Eddings. Et je suis mitigée. J’ai trouvé le début lent et quelque peu compliqué avec tout les noms de pays et de peuples à retenir (chose que j’avais déjà remarqué dans les sagas précédemment citées). Le style me semble un peu guindé, surtout dans les dialogues (certains ne font pas vraiment naturels et je ne sais pas si c’est voulu ou non). Hormis ça j’ai bien aimé, un scénario classique mais qui fonctionne et des personnages intéressants à défaut d’être attachants
Ce premier tome de la trilogie des joyaux relate les aventures du chevalier pandion Emouchet et de ses compagnons chevaliers, écuyers, novices, prélats, voleurs, ... Tous unis contre une menace divine et ses affidés, pour sauver la reine et le monde.
Totalement médiéval fantasy, ça plaît ou pas mais vous lui reconnaîtrez au moins l’originalité des personnages, gros points fort du livre. Ils sont attachants et profond, ils ne font rien de trop stupide, sauf par amour.
La magie est assez présente, je ne suis pas fan mais ça passe encore, la magie est justifiée même si parfois je trouve que c’est une conclusion facile…quoique je préfère éviter des pages de combat contre un ennemi simple à vaincre.
Je trouve les chapitres un peu trop longs à mon goût, je suis habitué à des polar ou thriller dans lequels tout doit aller vite, j’ai dû mal à me sortir de ce format rythmé. Dans la construction de l’intrigue c’est classique, le héros, la quête, la formation du groupe d’aventure etc, c’est ce qui me pousse à ne pas lire le tome 2. Je l’ai apprécié, par curiosité j’aimerais connaître la fin et savoir qui va mourir avant la résolution de la quête mais si je ne la connais pas, je pense pouvoir la deviner.
Résumé
Emouchet, le chevalier pandion, est de retour d’exil, prêt à reprendre sa place de Champion de la reine. Mais sa maîtresse est frappée par un mal mystérieux et Séphrenia, la vieille sorcière, n’a pu que retarder l’échéance : assise sur son trône, enchâssée dans un bloc de cristal, la jeune reine est mourante ; il faut trouver vite un remède.
Cette histoire se passe dans une terre de royaumes combattants, d’intrigues de cour, de magie noire et de haute aventure. La maladie de la reine est une aubaine pour les ambitieux. Alors, Émouchet part chercher le remède en compagnie de Séphrenia et de la petite Flûte aux étranges pouvoirs. Après bien des franches galopades et des téméraires traversées, il ne saurait manquer d’atteindre enfin cet objectif qui se dérobe sans cesse…
Mais les Zemochs, pour la première fois depuis cinq cents ans, sont aux portes de l’Élénie. On murmure qu’Azash, leur dieu aîné, convoite le Bhelliom, la pierre sacrée perdue, qui ferait de lui le maître du monde. Contre une telle menace, que peuvent les coups d’épée ? Allons, les ténèbres rôdent, la reine agonisante est peut-être — à l’insu de tous — l’ultime espoir de la lumière. Et le valeureux Émouchet n’est pas au bout de ses peines..
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