La trilogie des périls, tome 2 : Ceux-Qui-Brillent

Un bon roman fantasy. Beaucoup d’actions .

Nos amis sont arrivés à Mathérion, la cité aux dômes de feu. Et là, il n'y a pas dire, niveau "bordel politque", on ne peut pas faire mieux.

Le roi n'est qu'un fantoche et les ministres se fichent bien de ce qu'il pense.

Pas de bol, notre bon roi cachait lui aussi bien son jeu. Pas si crétin que cela, le roi !

Notre troupe étant au château, elle va l'aider à nettoyer les écuries d'Augias, ce qui donnera lieu à quelques aventures cocasses de plus mausantes à lire.

C'est là aussi qu'Emouchet ira rechercher ce qu'il avait envoyé dans le plus profond des océans... le Bhelliom !

Pas le choix. Leur ennemi ressuscite toutes les créatures disparues depuis des temps immémoriaux. Que se soient des vieux guérriers morts au combat ou des goules, vampires et autre joyeuseté dont les plus terribles sont Ceux-Qui-Brillent, capables de vous faire fondre rien qu'en vous touchant.

Cette idée d'inclure les Delphae en est une bonne. Ceux-Qui-Brillent sont inquiétant et on ne sait pas si on peut leur faire confiance ou pas...

Cela donnera lieu à quelques comportements emportés de la part de Séphrénia.

Les Delpahe étant les ennemis héréditaires des Styriques depuis la nuit des temps, ils donnaient l'occasion d'explorer les problèmes de la foi religieuse dans les rapports entre les êtres humains.

Bien que le couple Xanétia-Séphrénia nous aient offert quelques oppositions homériques - des cris, des grincements de dents, réussissant même à me fâcher avec le personnage de Séphrénia qui, je trouve, en faisait trop - il reprend peut-être trop vite le schéma classique des romans de David Eddings où tout fini par s'arranger.

D'accord, je me plains pour rien parce que je sais que si Séphrénia continuait son petit manège ainsi, cela m'aurait exaspéré au plus haut point.

Notre chère dame va beaucoup bouder, beaucoup pleurer, se disputer avec tout le monde et même provoquer la colère de sa petite déesse, mais cela n'aura qu'un temps.

Un peu comme Lelldorin et Mandorallen dans la Belgariade, il suffira de découvrir que la vieille querelle ne repose en fait que sur d'ignobles calomnies pour que nos deux ennemies héréditaires deviennent rapidement copines comme cochons.

Une haine ancestrale un peu vite oubliée, quand l'on pense que, dans la réalité, il faut à cela une multitude de générations. Mais bon, je ne boude pas mon plaisir pour autant. Juste que l'auteur aurait dû le faire un peu plus dans la subtilité.

En bref, ce deuxième tome comporte son lot de petites erreurs, mais je les pardonne.

En contrepartie, nous avons droit à de l'action, du suspense, des combats, des nouveaux ennemis, des nouvelles futures alliances avec un peuple de gros velus, un Bhelliom qui change par rapport à la première trilogie, des complots politiques, des assassinats, des sièges, de la stratégie, de l'humour, de l'amour et encore bien d'autres choses !

Ce tome est bien plus agréable que le précédent ( qui traînait en longueur, selon moi).

Les choses bougent, certains événements sont surprenants, d'autres plus prévisibles. Les personnages ont tous des facettes cachées, plus ou moins agréables.

On en suit certains depuis le début de la trilogie précédente et de nouveaux sont apparus entre temps, pas toujours humains !

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce tome, j'ai hâte de découvrir la suite des aventures avec toutefois un petit pincement au cœur car c'est le dernier tome.

Tout se met en place, on rencontre de nouvelles têtes et voit de nouvelles facettes chez des personnages qu'on côtoie depuis le tout début, et c'est un grand plaisir. Les moments dédiés à la politique, tous les enjeux qui sont joués, étaient très intéressant, et c'est pendant ces moments-là que l'on découvre des visages différents chez certains personnages. C'est tellement agréable d'avoir des personnages qui ne sont pas plats ! Les Eddings sont vraiment géniaux avec leurs livres. Je redoute les jours où j'aurai tout lu d'eux.

Après, certains rebondissements se sentent à des kilomètres, mais on s'en fiche, on se laisse entraîner par l'histoire.

J'ai trouvé ce 2° tome un peu long, beaucoup de discours et peu d'action. Les discussions diplomatiques dans le palais de Sarabian m'ennuient. Quant aux disputes entre delphae et styriques, c'est assez stérile, je trouve, tous ces reproches et insultes. C'est précisément ce que l'auteur veut nous montrer, je pense, mais il procède vraiment lentement. Vivement une bonne guerre épique ! Dans le tome 3 ?

Mon auteur fétiche. Un pur plaisir de lecture.

De l'aventure, du rêve, des héros comme je les aime, bref tout y est.

Je suis moins fan de la "trilogie des périls" que de celle des joyaux pour le moment.

J'ai passé un bon moment à la lecture de ce 2e tome (et je lirai le 3e avec plaisir) mais je trouve qu'il manque un petit quelque chose. Peut-être un peu plus de surprise dans le scenario, ou bien des situations ou les héros galère plus (j'ai parfois un peu trop l'impression qu'ils se baladent simplement et que leur plan n'échouent jamais).

Après le tome 1 de la trilogie des périls (les dômes de feu), on poursuit l'aventure avec Ceux qui brillent, toujours une aventure passionnante (malgré quelques longueurs). Il me reste à découvrir le dernier tome...

Un deuxième tome aussi passionnant que le premier, et une lecture encore plus plaisante car je n'ai pas été en butte avec les mêmes difficultés que pour les précédents, à savoir faire la connaissance des personnages sans avoir lu la trilogie précédente.

Encore une fois quoique l'intrigue soit très, très différente de celle de la Belgariade, de nombreux point me l'on pourtant évoquée. (Le Belhiom par exemple, qui semble être un croisement entre l'Orbe d'Aldur et la Prophétie) par ces personnages mais aussi les types de peuples, et autres détails du décor... Enfin cela n'est pas choquant et j'ai encore une fois passé un très bon moment, entre deux crises de fou rire et deux accélérations cardiaques.

Comme tout les autres, vraiment excellent