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« Quand un monstre cessait de se comporter comme un monstre, cessait-il aussi d’en être un ? Devenait-il autre chose ? »

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-Po

-Mes frères m'ont surnommés ainsi quand j'étais enfant. C'est le nom d'un arbre de Lienid. En automne ses feuilles prennent des couleurs or et argent.

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-Grand-père, dit Po

-Po? murmura le vieil homme. Juste Ciel! Justes Collines!

-Je vous ai retrouvé, grand-père.

-Approche la lampe, mon garçon. Au nom de Lienid, qu'as-tu fait à ta figure?

-Rien. Je me suis simplement battu.

-Avec qui? Une meute de loups?

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-Le don de tuer n'englobe pas tes autres facultés. Tu ne te fatigues jamais. Tu ne souffres ni du froid ni de la faim.

-Je me fatigue, contesta Kasta.

-Tu peux allumer un feu sous une averse torrentielle.

-Je suis simplement plus patiente que la plupart des gens.

Po ricana.

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- Reveillez-vous, prince, murmura-t-elle. Quand nous serons arrivés au château, je ne pourrai pas vous porter.

Il ouvrit les yeux.

- Où suis-je ? Demanda-t-il d’une voix chevrotante.

- Au royaume des Middluns, dans la ville de Randa. nous sommes presque en lieu sûr.

- Alors Randa organise l’évasion de prisonniers, maintenant?

Sa lucidité la surprit.

- Non, répondit-elle.

- Eh bien, je suis réveillé. Vous n’aurez pas à me porter. Vous êtes Lady Katsa, n’est-ce pas?

Son accent était le même que celui du jeune homme à qui elle avait laissé la vie sauve.

- Oui sire.

- On m’a dit que vous aviez un oeil aussi vert que les prairies des Middluns, et l’autre , aussi bleu que le ciel.

- Oui, sire.

- Et que vous étiez capable de tuer un homme avec l’ongle de votre auriculaire?

Elle sourit.

- En effet.

- Est-ce plus facile ainsi?

Elle fronça les sourcils.

- Quoi donc?

- Avoir de beaux yeux allège-t-il le fardeau que représente votre don?

- Non, sire. J’aurai pu me passer des deux.

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- Votre Po vous a caché un secret, poursuivit Leck. N'est-il pas vrai, Lady Katsa, que le prince Po...

Ce fut à ce moment là que Katsa réagit. En un éclair, elle posa Bitterblue à terre, saisit sa dague, la lança en direction de Leck. Pas parce qu'elle se rappelait qu'il fallait tuer le roi de Monsea, mais parce qu'elle se souvenait que Po détenait en effet un secret, un terrible secret qu'elle avait oublié, mais dont la révélation entraînerait de graves conséquences pour lui. Elle devait donc faire taire Leck avant qu'il ne fût trop tard.

Finalement, Leck aurait dû se contenter de mentir. Car c'était en voulant dire la vérité qu'il était mort.

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Skye l’embrassa sur le front.

— Vous m’avez sauvé la vie.

Son baiser fit sourire Katsa.

— Les gens de Lienid manifestent facilement leur affection, commenta-t-elle.

— Mon premier enfant portera votre prénom.

Katsa s’esclaffa.

— Attendez au moins de savoir si c’est une fille. Ou même mieux : attendez que tous vos enfants soient plus âgés et prénommez Katsa le plus querelleur et borné d’entre eux.

Skye éclata de rire et l’étreignit. Katsa venait de se faire un nouvel ami.

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Katsa prit un bain dans l’océan glacé, ce qui, selon Bitterblue, prouvait une fois de plus qu’elle était folle.

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Katsa ne put retenir ses pleurs. Elle s’agenouilla devant lui et sanglota contre son épaule. La honte la saisit car ce n’était là qu’une séparation temporaire. Et même Bitterblue ne pleurait pas de cette façon.

— N’aie pas honte, chuchota Po. Ta tristesse me réchauffe le cœur. N’aie pas peur. Je ne vais pas mourir, Katsa. Nous nous reverrons.

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— Quand vous savez ce que je ressens à votre égard, vous devriez vous aussi me faire part de ce que vous pensez de moi, déclara Katsa.

— Hum ! dit-il en se frottant la tête. En théorie, ce serait équitable.

— Absolument.

— Entendu. Voyons voir. Je vous trouve vaillante d’avoir lancé un défi à Randa avec ce châtelain. Je ne sais pas si j’aurais eu la force d’aller jusqu’au bout. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un ayant autant d’énergie que vous, mais je me demande si vous ne devriez pas ménager votre monture. J’ignore pourquoi vous avez refusé d’épouser Giddon et je me dis que c’est peut-être parce que vous songiez à vous marier avec Raffin. Si c’est le cas, l’avoir laissé vous chagrine peut-être davantage que je ne le pense. Je suis ravi que vous m’accompagniez. J’aimerais vous voir porter à fond vos attaques lors d’un combat, tuer un adversaire – vous m’offririez un spectacle palpitant. Ma mère vous apprécierait, je pense. Mes frères vous vénéreraient. Vous êtes la personne la plus querelleuse que je connaisse. Et je m’inquiète réellement pour votre cheval.

Elle le scruta, les yeux écarquillés.

— C’est tout, dit-il.

— Vous n’avez pas pu penser à toutes ces choses en l’espace d’un instant ?

Il rit et son rire la réconforta. Elle essaya de résister à l’éclat doré et argenté de ses yeux, mais échoua.

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