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Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser… Deux bras qui enlacent ou qui tuent… Un homme inquiétant, mais si charmant… Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment… Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour… Des adolescents plus avertis que les grands... Un homme qui joue les revenants… Un père, là-haut dans les étoiles… qui murmure à l’oreille de sa fille... Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage… Des personnages qui avancent obstinément... comme des petites tortues entêtées… qui apprendraient à danser lentement, lentement… dans un monde trop rapide, trop violent...
Afficher en entierQu'un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s'en moque désormais. Elle a quitté Courbevoie pour un immeuble huppé de Passy, grâce à l'argent de son best seller, celui que sa sœur Iris avait tenté de s'attribuer, payant cruellement son imposture dans une clinique pour dépressifs. Libre, toujours timide et insatisfaite, attentive cependant à la comédie cocasse, étrange et parfois hostile que lui offrent ses nouveaux voisins, Joséphine semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas. Elle veille sur sa fille Zoé, adolescente attachante et tourmentée et observe les succès de son ambitieuse aînée Hortense, qui se lance à Londres dans une carrière de styliste à la mode. Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu'au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l'aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs. Impossible d'oublier ce baiser, le soir du réveillon de Noël, qui l'a chavirée. Le bonheur est en vue, à condition d'éliminer l'inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d'immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
Afficher en entierCe livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser.
Deux bras qui enlacent ou qui tuent.
Un homme inquiétant, mais si charmant.
Une femme qui tremble et espère ardemment...
Un homme qui ment si savamment.
Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour.
Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants.
Un père, là-haut dans les étoiles, qui murmure à l’oreille de sa fille...
Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément... Comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement, dans un monde trop rapide, trop violent...
[Éditions Le Livre de Poche 2009]
Afficher en entierCe livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser.
Deux bras qui enlacent ou qui tuent.
Un homme inquiétant, mais si charmant.
Une femme qui tremble et espère ardemment...
Un homme qui ment si savamment.
Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour.
Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants.
Un père, là-haut dans les étoiles, qui murmure à l’oreille de sa fille...
Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément... Comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement, dans un monde trop rapide, trop violent...
Retrouvez Joséphine, Iris ou Hortense grâce à l’interprétation toujours exacte de Marie-Eve Dufresne…
[Audiolib]
Afficher en entier"- Pas pareil ! A quatorze ans, on a nos règles et on n’a pas le choix. On « fait » avec. A dix-huit, on comprend très vite qu’il va falloir se battre deux fois plus qu’un homme, faire deux fois plus de choses si on veut exister. Ensuite, on « fait » des bébés, on les porte pendant neuf mois, ils nous donnent le mal de mer, des coups de pieds, ils nous déchirent en arrivant au monde, encore des détails pratiques ! Puis, il faut les laver, les nourrir, les habiller, les peser, leur beurrer les fessiers. On « fait » sans se poser de question et on « fait » le reste en plus. Les heures de travail et la danse du ventre pour l’Homme, le soir. On est sans arrêt en train de « faire », rares sont les filles qui vivent dans les étoiles, le nez en l’air ! Vous, vous faites une seule chose : vous faites l’homme ! […]
- Je voudrais rencontrer une fille qui ne sache pas « faire » , qui n’ait pas de plan de carrière, qui ne sache pas compter, pas conduire, même pas prendre le métro. Une fille qui vive dans les livres en buvant des litres de thé, en caressant son vieux chat enroulé sur son ventre ! "
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"Je n'arrive pas à l'oublier. C'est terrible. J'ai décidé de ne plus le voir, mon cœur ne veut plus, ma tête refuse, mais chaque pore de ma peau hurle au manque. Jo, tu sais quoi? L'amour ça naît dans le cœur mais ça vit sous la peau. Et lui, il est tapi sous ma peau."
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