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La véritable histoire de la mort d'Hendry Jones



Description ajoutée par stefy 2014-07-14T00:27:42+02:00

Résumé

Partant du légendaire récit de la mort de Billy the Kid par celui qui l’abattit, le shérif Pat Garrett, Charles Neider (1915-2001) ne livre pas un western haut en couleur. Au contraire, il se concentre sur la fin de la vie d’Hendry “le Kid” Jones, dans un style retenu, proche du documentaire, pétri de détails réalistes comme on en lit peu dans les westerns. Discret, l’écrivain se cache derrière le narrateur, ultime compagnon de route du bandit, pour raconter les derniers mois d’un des plus fameux hors-la-loi de l’Ouest américain, ce gamin fluet roi de la gâchette qui“tire avant même de s’en rendre compte, il tire sans même viser, et la balle sait où aller comme d’habitude, elle est de son côté comme elles le sont toutes”.

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Classement en biblio - 4 lecteurs

extrait

On vivait comme si on avait l'éternité devant nous et quand l'un d'entre nous se faisait descendre, il tombait des nues.

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Commentaires récents

Bronze

Personne était plus rapide que lui… Ben faut croire que si puisque le Kid est mort, tué par un ancien compadre à lui, devenu shérif, Dad Longworth.

Le Kid visé ici – si je puis me permettre ce mauvais jeu de mot – n’est pas Billy The Kid, même si, en réalité, c’est une allégorie de ce bandit qui aimait voler les bonbons rouges chez l’épicier.

Oups, on me signale dans l’oreillette que je confonds avec le sale gamin dans Lucky Luke…

Anybref, le jeune desperados Hendry Jones de ce roman est bien le double fictif de Billy the Kid – même si le narrateur nous signale qu’ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre, même si Hendry se fait appeler Le Kid – et son ancien compadre (devenu rival) Samuel "Dad" Longworth est l’allégorie de Pat Garrett, le shérif qui a tué Billy The Kid (pas celui de Lucky Luke) et rédigé "La Véritable Histoire de Billy the Kid" qui, d’après l’auteur, est un tissu de mensonges.

L’auteur Charles Neider se confond avec le narrateur, Doc Baker, un ancien de la bande au Kid, qui était là lorsque ce dernier s’est fait descendre, le seul, quasi, qui sache tout de l’histoire, le seul capable de rétablir la vérité historique dans toutes les légendes les plus folles qui courent sur la mort du Kid et sur sa vie.

L’inconvénient, lorsqu’on est une Légende, c’est qu’il faut nourrir la légende et les gens aiment bien broder, inventer des faits, les exagérer, dire qu’ils étaient présent, dire qu’ils savent… Entre le fait que le Kid est toujours vivant et le fait qu’on l’ait enterré après avoir coupé son index qui pressait la gâchette, il va falloir rétablir la vérité et elle est moins belle que la légende.

C’est horrible à dire mais les personnages des desperados sont attachants, même si le Kid aurait mérité quelques baffes pour son comportement insolent, sa manière de se moquer de tout, de sourire et de ne jamais s’en faire.

Doc Baker a plus la tête sur les épaules, mais ce que je lui reprocherai c’est sa manière de narrer les choses parce que les dialogues m’ont hérissés les poils sur les bras avec ses inversions entre le nom du personnage et son action.

Au lieu d’écrire "Et qui est ce type ? s’est interrogé Webb", le narrateur nous balance des "Et c’est qui, ce type ? Webb s’est interrogé" ou des "Harvey French, Dad l’a renseigné" en lieu et place d’un "Harvey French, l’a renseigné Dad."

Certes, un desperados de cette époque s’exprime sans doute de cette manière mais dans le roman, cela donne lieu à des dialogues qu’il faut parfois relire pour comprendre si on a affaire à la personne qui parle ou si le dialogue continue. J’ai détesté ça et c’est ce qui me fait mettre une si mauvaise cotation car cela m’a gêné dans ma lecture.

Par contre, il y a une chose que je ne pourrai pas reprocher à ce roman western : son manque de réalisme car il est réaliste ! Oui, l’histoire est remodelée, changée, puisque c’est celle du Kid sans être celle de Billy The Kid, mais autant les décors que les actions sont réalistes. On est immergé dans ce réalisme, on s’y baigne, même.

D’ailleurs, dans les notes de fin d’ouvrage, il est dit que l’auteur a marché durant des journées entières avec un colt à la hanche pour connaître les sensations lorsqu’on le retirait, il s’est entraîné à dégainer tant de fois qu’il a eu la main en sang.

La cotation est sévère, mais cette manière de présenter les dialogues m’a couru sur le haricot, ce qui est dommage parce que l’histoire était bonne, on avait de l’action, mais pas trop, la vie des desperados, leurs longues chevauchées fatigantes, leur puanteur, leurs craintes, leurs états d’âmes ou leur absence…

Un western profond, ne manquant pas de réalisme, même si l’histoire est déformée et contant une superbe épopée qui fait écho à celle d’un célèbre hors-la-loi bien connu, mais bardaf, je suis passée à côté à cause de ce truc avec les dialogues.

Pour se coucher moins bête : le roman aurait dû être porté à l’écran par Sam Peckinpah, avant que Marlon Brando ne reprenne le flambeau, réalisant ainsi le seul film de sa carrière (La vengeance aux deux visages – One-eyed Jacks, 1961) qui n’a rien à voir avec le roman. J’ai vu le film et je vous jure que Brando a tout réécrit ! Il voulait Stanley Kubrick mais ce dernier est parti aussi et Brando a réalisé le film lui-même, donnant des incohérences comme un magnifique cheval noir, brossé, à la robe luisante alors que jamais un outlaw n’aurait pris autant de soin de sa monture. On ne parlera même pas du pistolet mis dans le pantalon et du risque de s’assassiner une couille en dégainant.

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Lu aussi

Un livre quelque peu décevant, car on m'en avait vanté les nombreux mérites avec, sans doute, un entrain un peu trop exagéré.

Il n'en reste pas moins un bon roman. Ce n'est pas vraiment une biographie, mais on pourrait s'y tromper : il s'agit en fait du récit des derniers mois de vie du Kid, et le dernier chapitre nous explique les détails de sa mort.

L'écrivain a un style très engageant, et le design de la couverture est assez singulier et très réussi ( simple détail qui a tout d'abord attiré mon attention ).

Au fil des différentes morts, Neider parvient à nous faire ressentir ce qu'il souhaite ( je pense ) que l'on ressente : une amertume prononcée, et pas une peine immense.

Certains passages de description sont néanmoins assez rébarbatifs.

La manière dont est contée l'histoire nous place non pas dans la peau de l'un des personnages, mais dans celle du voyageur qui interroge Doc sur le Kid.

Certaines anecdotes à propos d'Hendry Jones nous paraissent ainsi complètement tirées par les cheveux, d'autres se confirment ou se précisent.

Bref, un très bon livre dans l'ensemble.

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Activité récente

stcl l'ajoute dans sa biblio or
2021-01-15T19:56:23+01:00

Les chiffres

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Note globale 6.5 / 10

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