Extraits

« Mes lèvres soudées aux siennes, mon corps soutenu par son corps, je ne suis plus la même. Ce n'est pas mon premier baiser mais c'est le premier qui compte. »

« En français, on dit "Tu es beau comme le jour." Mais toi, Night, tu es beau comme la nuit. »

"Je t'aime, Louve. Je t'aime, putain ! Et s'il le faut, je passerai tout mon temps à te le prouver... Personnellement, je n'ai rien de prévu l'année prochaine ! Ni les soixante ans qui viennent." P.430

- Je suis Lazare Carpenter, je suis un menteur, un fils de prof ; ce costard ne m'appartient pas, il m'a couté vingt dollars pour la soirée, j'habite chez une vieille dame seule et je suis fou amoureux de Louve Larsson. Et jamais, je dis bien, jamais je n'aurais partagé cette photo d'elle. Son corps de rêve, je me le garde.

- Je t'aime aussi, Lazare, souffle-t-elle enfin dans mon cou. Tu es beau comme la nuit, intense comme le jour, fascinant comme le deux réunis, plein d'ombres et de mystères, mais ton cœur est le plus pur qui soit. Et il est à moi...

« Mon corps n'est plus un fardeau lorsqu'il est entre ses mains, plaqué contre le sien. Il devient léger, brûlant, vibrant, frémissant. Plus vivant, plus habité qu'il ne l'a jamais été. »

Je tomberai amoureux d'elle exactement à ce moment-là, si ce n'était pas déjà foutu pour moi.

Si elle a décidé de montrer les dents, il faut qu'elle sache que je mords toujours plus fort.

Alors quoi "eh ben" ?

- Eh ben ma Louve, désolée de te le dire, mais ce n'est pas n'importe qui, celui-là...

Je la regarde sans comprendre. Ou plutôt en ayant peur d'avoir compris.

- Moi aussi, à 17 ans, je l'aurais laissé me briser le cœur, je crois.

Les règles ? Il n'y en a pas. Si tu n'es pas assez fort pour ça, tu la fermes, et tu attends que ça passe. Les coups, soit tu les donnes, soit tu les évites.