Commentaires

La fillette de 4 ans de Flora Conway, célèbre auteure à succès, mais au caractère asocial, disparait mystérieusement dans l’appartement sans qu’aucune explication ne soit possible.

Un véritable enfer pour Flora qui se repose entièrement sur la seule personne qu’elle côtoie, son éditrice Fantine. L’enquête va mener Flora au bord de la folie, au point de la faire basculer du réel à l’irréel, à moins que ce ne soit l’inverse ? Ne serait-elle « que » le fruit de l’imagination de Romain Ozorski, un romancier torturé par sa propre vie amoureuse et familiale ?

Dans « La vie est un roman », Guillaume Musso nous entraine dans un chassé-croisé entre des personnages littéraires et leurs auteurs, une véritable recherche philosophique sur l’ambiguïté des liens qui unissent les écrivains aux marionnettes qu’ils créent. L'auteur nous confie, au travers de ce récit, le questionnement d'un écrivain quant à la pression imposée par les maisons d'éditions, l'obligation d'écrire, le rôle joué par les journalistes... Il nous distille son amour pour ses écrivains fétiches par des citations ou des références évidentes...

L'intégralité de ma chronique sur:

https://memoiredeliseuse.odoo.com/blog/news-2/la-vie-est-un-roman-92

Adepte des romans de Musso, très déçue, aucun intérêt.

Pour l’instant c’est le seul livre de Musso qui ne m’a pas plu.

J’ai mis énormément de temps à le finir.

Premier livre lu de monsieur Musso .... ce ne sera pas le dernier. Il a su me surprendre quand je ne pensais plus pouvoir l'être.

Les derniers livres de Musso, je n'avais pas aimé mes lectures, ce roman m'a amené à voir d'autres perspectives, pourquoi lit-on un livre pour l'auteur ou pour l'histoire? Qu'est-ce que l'on recherche réellement dans un roman. Si dans les deux derniers je n'ai pas été aspiré par l'histoire ici j'ai littéralement été submergé. On passe du réel à l'imaginaire facilement, avec ce doute entre les limites de chaque monde et des émotions qui peuvent déstabiliser le lecteur peut être même l'auteur. J'ai eu l'impression d'être dans une partie de la tête d'un écrivain et j'ai adoré ce partage même si je resterai une lectrice.

Un petit goût de déception quant à ce livre de Musso. Pas vraiment accroché. Début bon mais qui s'essouffle rapidement... L'idée du roman dans le roman me paraissait intéressante. J'ai fini par perdre le fil de ces deux histoires qui se chevauchent. Dommage...

C’était mon deuxième roman de Musso et après « La Jeune fille et la Nuit » la barre était placée haut.

Le résumé m’avait beaucoup hyper sur le roman donc j’étais un peu déçue de voire la tournure des évènements dedans.

Mais au final j’ai fini par apprécier la façon dont l’histoire est construite, la façon dont Musso a créer cette histoire.

La réalité ? La fiction ? On s'y perd dans le roman tout comme le personnage de Romain. Et c’est facile de s’y reconnaitre même en temps que simple lecteur.

Une histoire un peu particulière qui nous retourne la tête jusqu'au bout mais qui nous fait passer un bon moment.

Je n'ai pas été emballé par l'histoire, les personnages, l'intrigue...

Cela commence avec la disparition d'une fillette dans un appartement clos. L'histoire m'a fait penser à une autre ou a un film.

C'est intrigant on a envie de connaître la suite mais je suis ne me suis pas attaché aux personnages.

Au fil du roman on se demande où est la fiction et la "vraie" vie.

Au vu du résumé, je ne m'attendais pas à ce que l'histoire soit tissée de cette manière. Je ne dirais donc pas avoir été déçu par cette lecture, mais j'en restais néanmoins sceptique quant à la tournure que pourraient prendre les évènements à mesure que les pages défilaient. On n'est pas sur un schéma habituellement rencontré avec Musso. Ceci dit, cela reste un bon roman avec son lot d'intrigue, mais il reste léger comparé à d'autres de ses romans.