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Résumé
En publiant ce quatrième volume de la Vie littéraire, je me fais un devoir très doux de remercier le public lettré de la bienveillance avec laquelle il a reçu les trois premiers. Je ne mérite point cette faveur; mais si j'en étais digne de quelque manière ce serait pour avoir donné beaucoup au sentiment et rien à l'esprit de système. Je ne sais comment il faudrait appeler exactement ces causeries, et sans doute elles ont trop peu de forme pour avoir un nom. À coup sûr, le terme le plus impropre dont on puisse les désigner est celui d'articles critiques. Je ne suis point du tout un critique. Je ne saurais pas manoeuvrer les machines à battre dans lesquelles d'habiles gens mettent la moisson littéraire pour en séparer le grain de la balle. Il y a des contes de fées. S'il y a aussi des contes de lettres, c'en sont là plutôt. Tout y est senti. J'y ai été sincère jusqu'à la candeur. Dire ce qu'on pense est un plaisir coûteux mais trop vif pour que j'y renonce jamais. Quant à faire des théories, c'est une vanité qui ne me tente point.
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