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La vie rêvée des gens heureux



Description ajoutée par dadotiste 2014-06-23T22:03:54+02:00

Résumé

Présentation de l'éditeur (Belfond) :

Sommes-nous tous destinés à être parents ? Mieux, une femme est-elle toujours destinée à être mère ? Le désir d'enfant est-il toujours partagé ? Un premier roman surprenant d'audace, qui n'hésite pas à bousculer les idées reçues.

Salué par une critique enthousiaste, nommé pour le Giller Prize, le Goncourt canadien, un roman mordant, audacieux, qui n'hésite pas à bousculer les idées reçues sur le couple, le rôle de la femme et l'instinct maternel.

James et Ana ont passé des années à tenter l'impossible pour avoir un enfant, avant de se résigner. Alors que James reporte son affection sur Finn, son filleul de trois ans, Ana, elle, se noie dans le travail.

Et puis, un jour, le choc : les parents de Finn ont un terrible accident de voiture.

Du jour au lendemain, James et Ana deviennent les tuteurs du petit garçon.

Si James s'improvise instantanément père dévoué, les sentiments d'Ana sont beaucoup plus ambivalents. Comment faire une place à Finn tout en préservant son couple ? Comment créer l'intimité avec cet enfant qui n'est pas le sien ? Comment concilier devoir maternel et désir d'accomplissement personnel? Les femmes ne peuvent-elles se réaliser que dans la maternité ?

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Classement en biblio - 6 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par NathalieCez 2014-12-27T19:24:00+01:00

Elle se pencha et le souleva de terre. Il enserra sa taille entre ses jambes, telle une araignée capturant une mouche, mais ses mains autour de son cou étaient douces, et leur étreinte dénuée de force. Elle lui frotta le dos, sentit la tiédeur du petit corps se communiquer au sien et cette douce sensation fût aussitôt noyée par la tristesse, la petite voix insistante qui lui murmurait que son corps à elle n'était pas celui dont il avait besoin, qu'ils étaient tout deux prisonniers d'une toile de compromis. Une odeur de fromage orange la prit à la gorge.

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Commentaires récents

Bronze

J'ai eu beaucoup de mal à finir ce livre, même si la fin l'a fait remonter dans mon estime.

Si James adopte tout de suite son rôle (d'ailleurs il m'a tapé sur le système), Ana a plus de mal. Elle n'avait pas tissé de liens avec le jeune garçon, et c'est plutôt son mari qui prend le devant de la scène parentale. Elle peine à trouver sa place dans cette nouvelle configuration, elle qui a l'habitude de mettre méticuleusement chaque chose à sa place. Elle a beau être froide, j'ai de beaucoup préféré ce personnage à celui de James, peut-être parce qu'elle a un petit côté torturé, elle prend les choses en main malgré elle au lieu de se laisser porter par les évènements comme le fait James.

Ce roman est finalement un peu déprimant et pèche par de nombreuses longueurs, mais la psychologie des personnages est plutôt bien menée.

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Argent

James et Ana sont en couple depuis plusieurs années et essaient d'avoir désespéremment un enfant.

Un couple, avec qui ils sont devenus amis, ont un tragique accident (le père décède et la mère est dans un état critique) leur "lègue" leur petit garçon de 2 ans et demi. Ce petit garçon va perturber leur vie bien rangée, surtout celle d'Ana, qui va découvrir que la maternité n'est peut être pas faite pour elle.

Un beau livre, plein de sentiments autour de ce petit garçon et de ce couple.

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Lu aussi

Voici un livre dont je suis sortie particulièrement chamboulée. « La vie rêvée des gens heureux » retrace l’histoire d’un couple, James et Ana, qui, après des années à tenter (vainement) d’avoir un enfant, se retrouvent, du jour au lendemain, à devoir s’occuper de Finn, un petit garçon de 3 ans. Ses parents ont en effet été victimes d’un terrible accident de la route, qui a tué son père et plongé sa mère dans le coma.

Une merveilleuse nouvelle, pourrait-on se dire, n’est-ce pas ? Et pourtant… Nous réalisons que ce rêve d’enfant devenu réalité bouleverse complètement le quotidien de ce couple. Si James s’attache très rapidement à ce petit garçon, Ana, plus froide et distante, est davantage ambivalente. Ceci inverse totalement les préjugés actuels, selon lesquels la femme a automatiquement un instinct maternel et l’homme peut mettre plus de temps à devenir père. Katrina Onstad a aimé jouer sur les idées préconçues ici sur l’amour maternel et paternel, mais également sur d’autres aspects de la vie de ce couple (James est au chômage et donc « au foyer » et sa femme, Ana, se jette corps et âme dans son travail).

Il est intéressant de découvrir l’évolution de ce couple, en apparence parfait, évoluer au fil du livre. On découvre, si on gratte sous la surface, un amour à bout de souffle, qui demeurait fort dès le moment où il fallait se soutenir, mais qui, avec l’arrivée de Finn, se fragilise. À présent qu’ils ont « tout pour être heureux », ils ne le sont plus. Ils cherchent leur place dans cette nouvelle dynamique familiale et James se révèle en excellent père (et un peu moins mari), Ana devient un bourreau de travail pour tenter d’oublier son malaise.

Également, on comprend le danger également de s’attacher à ce petit garçon pour ce couple fragile, avec, toujours, le risque de voir la mère de Finn, plongée dans le coma, revenir à la vie et reprendre cet enfant.

J’ai beaucoup aimé James, peut-être à cause justement de ce côté plus chaleureux qui transparaît au côté de Finn, plus aimant et attentionné et ai moins apprécié la froideur de sa femme, même si on perçoit la douleur qu’elle peut ressentir.

On a parfois l’impression de ne pas comprendre ce qui les lie l’un à l’autre, tant ils sont différents et dans l’incompréhension totale vis-à-vis de ce que chacun ressent. C’est là que les flash-backs (présents tout le long du livre) permettent de mieux saisir la genèse de cet amour, mais également son effritement au fil du temps. On comprend également que c’était ce rêve d’enfant qui faisait tenir ce couple, comme un but, un objectif à atteindre, année après année, en se disant que lorsqu’un enfant arriverait, alors ils seraient heureux.

L’écriture de Katrina Onstad est très fluide, sans fioriture inutile, ce qui permet d’alléger la complexité du thème abordé ici. Elle nous emmène dans le quotidien de ce couple qui tente de se construire et de devenir une famille, nous fait découvrir ses failles et ses difficultés qui le rendent encore plus proche de nous, plus humain. Katrina Onstad parvient également à parler d’un sujet difficile avec délicatesse et sensibilité. Voici un livre dont je suis sortie particulièrement chamboulée. « La vie rêvée des gens heureux » retrace l’histoire d’un couple, James et Ana, qui, après des années à tenter (vainement) d’avoir un enfant, se retrouvent, du jour au lendemain, à devoir s’occuper de Finn, un petit garçon de 3 ans. Ses parents ont en effet été victimes d’un terrible accident de la route, qui a tué son père et plongé sa mère dans le coma.

Une merveilleuse nouvelle, pourrait-on se dire, n’est-ce pas ? Et pourtant… Nous réalisons que ce rêve d’enfant devenu réalité bouleverse complètement le quotidien de ce couple. Si James s’attache très rapidement à ce petit garçon, Ana, plus froide et distante, est davantage ambivalente. Ceci inverse totalement les préjugés actuels, selon lesquels la femme a automatiquement un instinct maternel et l’homme peut mettre plus de temps à devenir père. Katrina Onstad a aimé jouer sur les idées préconçues ici sur l’amour maternel et paternel, mais également sur d’autres aspects de la vie de ce couple (James est au chômage et donc « au foyer » et sa femme, Ana, se jette corps et âme dans son travail).

Il est intéressant de découvrir l’évolution de ce couple, en apparence parfait, évoluer au fil du livre. On découvre, si on gratte sous la surface, un amour à bout de souffle, qui demeurait fort dès le moment où il fallait se soutenir, mais qui, avec l’arrivée de Finn, se fragilise. À présent qu’ils ont « tout pour être heureux », ils ne le sont plus. Ils cherchent leur place dans cette nouvelle dynamique familiale et James se révèle en excellent père (et un peu moins mari), Ana devient un bourreau de travail pour tenter d’oublier son malaise.

Également, on comprend le danger également de s’attacher à ce petit garçon pour ce couple fragile, avec, toujours, le risque de voir la mère de Finn, plongée dans le coma, revenir à la vie et reprendre cet enfant.

J’ai beaucoup aimé James, peut-être à cause justement de ce côté plus chaleureux qui transparaît au côté de Finn, plus aimant et attentionné et ai moins apprécié la froideur de sa femme, même si on perçoit la douleur qu’elle peut ressentir.

On a parfois l’impression de ne pas comprendre ce qui les lie l’un à l’autre, tant ils sont différents et dans l’incompréhension totale vis-à-vis de ce que chacun ressent. C’est là que les flash-backs (présents tout le long du livre) permettent de mieux saisir la genèse de cet amour, mais également son effritement au fil du temps. On comprend également que c’était ce rêve d’enfant qui faisait tenir ce couple, comme un but, un objectif à atteindre, année après année, en se disant que lorsqu’un enfant arriverait, alors ils seraient heureux.

L’écriture de Katrina Onstad est très fluide, sans fioriture inutile, ce qui permet d’alléger la complexité du thème abordé ici. Elle nous emmène dans le quotidien de ce couple qui tente de se construire et de devenir une famille, nous fait découvrir ses failles et ses difficultés qui le rendent encore plus proche de nous, plus humain. Katrina Onstad parvient également à parler d’un sujet difficile avec délicatesse et sensibilité.

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Date de sortie

La vie rêvée des gens heureux

  • France : 2014-05-22 - Poche (Français)

Activité récente

Les chiffres

lecteurs 6
Commentaires 3
extraits 1
Evaluations 3
Note globale 7 / 10

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