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La vie sexuelle à Rome



Description ajoutée par lamiss59283 2012-02-23T15:37:36+01:00

Résumé

Résumé

La conception moderne de la sexualité, fondée sur le genre et les préférences, n'a pas cours dans la Rome antique, où tout est affaire de statut social et de classe d'âge. Pour simplifier, les citoyens mâles pénètrent et ne sont jamais pénétrés, tous les autres sont pénétrables, dans des conditions et des proportions variables selon qu'il s'agit de matrones respectables, de coquettes libérées, de prostitués et d'esclaves des deux sexes. À quoi s'ajoute le cas très particulier des empereurs libidineux, comme Tibère, Caligula ou Néron. Il s'ensuit une morale et des comportements bien différents des nôtres, au reste difficiles à se représenter car, pour les Romains, la sexualité relève de l'intime et doit rester cachée.

Géraldine Puccini-Delbey, forte de sa parfaite connaissance de la littérature latine, démêle les possibles rapports entre sexe, plaisir et amour. Là encore, rien n'est alors comme aujourd'hui. La sexualité en dit long sur la culture et la société romaines...

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extrait

CHAPITRE I

L'INSTITUTION DU MARIAGE

ADOLESCENCE ET INITIATION SEXUELLE

La différence sexuelle établit une ligne de partage dans le comportement que la société romaine permet ou non à l'adolescent, selon qu'il est de sexe masculin ou de sexe féminin. Seuls, les garçons possèdent le droit de faire leur initiation sexuelle en dehors de l'institution du mariage. Leurs premiers désirs sexuels et les premières éjaculations spontanées, au moment de la puberté, ne sont guère évoqués, si ce n'est par Lucrèce dans le chant de son ouvrage poétique consacré à l'analyse de l'amour : soumis à l'illusion de voir les « simulacres » de personnes charmantes et de faire l'amour avec elles, les adolescents, durant leur sommeil, « répandent les flots d'un immense fleuve et en souillent leur vêtement¹ ».

L'entrée dans la puberté, et donc dans la vie sexuelle, s'accompagne pour les garçons d'une tolérance indulgente de la part de leurs aînés. Même les moralistes les plus sévères admettent que le jeune garçon, devenu pubère, vive, jusqu'à son mariage, quelques années de liberté sexuelle auprès de servantes, de courtisanes, de prostituées, fréquente le quartier mal famé de Suburre à Rome, à moins qu'une dame de la haute société ne jette son dévolu sur lui, telle la célèbre Clodia ayant une liaison avec le jeune aristocrate Caelius. Le jeune garçon s'initie ainsi à l'amour auprès d'une ou de plusieurs maîtresses. Les témoignages littéraires de l'époque républicaine sont nombreux à plaider pour l'indulgence vis-à-vis des fredaines de la jeunesse.

Dans la comédie des Bacchides de Plaute, le vieillard Philoxène défend devant son père un fils amoureux d'une prostituée et recourt à un argument personnel : lui-même dans sa jeunesse en a fait tout autant... Les jeunes gens peuvent bien s'amuser un peu, car ils finiront par s'en dégoûter d'eux-mêmes et par se marier. Il demande alors au père de laisser son fils satisfaire son caprice². Il se rappelle qu'à l'âge de son fils, il entretenait une maîtresse, buvait avec elle, lui donnait de l'argent et des cadeaux³. D'ailleurs, les deux vieillards, venus chercher leurs fils chez des courtisanes, finissent par se laisser séduire eux aussi ! Mais eux sont inexcusables, du fait de leur grand âge, et leur conduite de débauche déshonore leurs cheveux blancs. Seule la jeunesse peut autoriser ce type de débordements et mériter l'indulgence de la société.

Caton l'Ancien, l'austère censeur connu pour ses sanctions exemplaires des mœurs débauchées des sénateurs, passe cependant pour avoir justifié ce genre de comportement. Dans une célèbre anecdote rapportée par Horace, Caton félicite un jeune homme au sortir d'un lupanar : « [...] lorsqu'un hideux désir a gonflé leurs veines, c'est là qu'il convient aux jeunes gens de descendre, plutôt que de broyer les épouses des autres4. » D'après une glose tardive, Caton, ayant rencontré le lendemain le même jeune homme sortant du même lieu, lui aurait reproché d'y aller trop souvent et lui aurait recommandé la modération. Il justifie l'existence de la prostitution comme un moyen de satisfaire un besoin sexuel, qui écarte le danger que les jeunes gens ne corrompent les femmes mariées, mais il ne faut pas devenir pour autant dépendant de ce genre de plaisir. Tout est une question de mesure...

Défendant son jeune ami Caelius, Cicéron offre l'exemple le plus détaillé de cette idéologie : il faut savoir accorder de la liberté aux jeunes gens, laisser la passion et le plaisir l'emporter parfois sur la raison, dans certaines limites. Tout jeune homme peut donner libre cours à ses envies sexuelles et devenir quand même un homme respectable, à condition d'observer certaines règles qui préservent son honneur sexuel (pudicitia) et celui des autres. Il ne doit pas déshonorer le foyer d'autrui, c'est-à-dire les femmes de ses pairs – épouse, filles, esclaves. Les plaisirs et les passions frivoles de la jeunesse cessent d'eux-mêmes lorsque se fait sentir l'appel des affaires domestiques, judiciaires et publiques. C'est alors que la raison en comprend toute l'inanité, « les abandonne par satiété et les méprise par expériences5 ». Cicéron défend ainsi l'idée que tout jeune homme de bonne famille peut fréquenter les prostituées, sans compromettre sa future carrière publique et sans entacher sa réputation ni celle des siens. Il fait appel ici à un locus de indulgentia qui reprend la tolérance sociale existant depuis toujours vis-à-vis de la prostitution.

« S'il y a quelqu'un pour estimer qu'il faut interdire à la jeunesse même les amours avec les prostituées, celui-là est assurément tout à fait rigoureux (je ne peux pas le nier), mais il s'écarte non seulement de la licence de notre siècle, mais même de l'habitude et des tolérances de nos ancêtres6. »

Satisfaire un caprice avec une courtisane n'est pas le comble de la honte et du scandale pour un jeune homme comme Caelius.

Horace va jusqu'à défendre, dans ses Satires, l'idée qu'il est normal pour les hommes de satisfaire leurs désirs physiques, et même dangereux de les supprimer, tandis que les femmes peuvent être rangées dans deux catégories distinctes : celles qui appartiennent à sa propre classe et qui sont « intouchables » et celles qui n'en font pas partie et peuvent être objets sexuels – esclaves, affranchies, exerçant des professions peu honorables et relevant du bas peuple. Seuls les hommes ont un droit automatique à leur satisfaction sexuelle :

« Lorsque ton bas-ventre se gonfle, si tu as à ta disposition une servante ou un esclave de ta maison sur lequel te jeter à l'assaut immédiatement, préfères-tu par hasard crever de tension ? Moi non, car j'aime une Vénus disponible et facile7.

En même temps, il condamne ceux qui ruinent leur réputation et dilapident leur patrimoine auprès des femmes, qu'elles soient matrones ou courtisanes8. La Venus concessa, « la Vénus permise », ne doit pas entraîner la ruine financière contre laquelle Horace met en garde les jeunes gens9, comme son père l'a fait pour lui dans sa jeunesse. C'est une limite de bon sens, qui relève d'un esprit terre à terre soucieux de ses intérêts, nullement une attitude de censure morale. Quant à Tite-Live, il ne condamne pas la liaison qu'entretient un jeune homme noble, Publius Aebutius, avec une affranchie prostituée, parce que précisément elle ne cause de dommage ni à son patrimoine ni à sa réputation10.

Properce, aussi, évoque les jeunes gens de son temps, vivant en toute liberté de multiples amours et se laissant séduire par toutes les femmes, brunes ou à la peau claire, plébéiennes ou aristocrates11. Ceux-ci participent en outre, avec leurs amis, à des virées nocturnes qui provoquent dans Rome tapage, scandale et désordre public : c'est un privilège reconnu à la jeunesse dorée romaine de parcourir en bande les rues, la nuit, pour perpétrer des actes de violence, tels le viol collectif d'une prostituée, la bastonnade d'un passant qui les croise, ou la dégradation de boutiques. La conduite du jeune Néron illustre cette habitude turbulente de jeunesse : il manque un soir être roué de coups par un sénateur auquel sa bande s'est attaqué. Enfin, c'est également le temps des relations sexuelles avec d'autres jeunes garçons, de condition servile en principe, des pueri delicati, considérés comme des mignons (point que nous développerons ultérieurement). Cette initiation sexuelle doit toutefois préserver l'honneur du jeune garçon. Pour ne pas le perdre, celui-ci doit s'abstenir de jouer le rôle passif dans une relation avec un autre homme. Ainsi, Horace se vante de n'avoir eu aucun commerce sexuel infamant durant sa jeunesse, grâce aux sages conseils de son père. Stace félicite un adolescent de n'avoir pas connu d'amours masculines durant sa jeunesse, bien qu'il fût orphelin.

Ces privilèges accordés aux jeunes gens des meilleures familles font partie de leur apprentissage viril et les poètes qui composent des épithalames les évoquent sans gêne dans leurs chants nuptiaux. Mais, au moment de se marier, cette conduite insouciante et frivole doit cesser. Les relations entreprises, quelles qu'elles soient, doivent être interrompues. Le temps du mariage coïncide pour ces jeunes gens des hautes classes avec l'entrée dans la vie publique : le métier de citoyen est incompatible avec ce genre de vie.

Le discours médical cautionne parfois l'indulgence parentale vis-à-vis des jeunes gens devenus pubères, en accordant un pouvoir curatif à la première éjaculation ou aux premières règles. Les médecins Celse, à l'époque de Tibère, Galien et Rufus d'Éphèse, sous le règne de Trajan, préconisent les rapports sexuels pour soigner certaines maladies comme l'épilepsie, la fièvre quarte, les maux de tête ; la « maladie sacrée », en particulier, doit se guérir spontanément à la puberté, lorsque les filles ont leurs premières règles et les garçons, leur initiation sexuelle. Ce qui laisse entendre que la puberté, pour les garçons, entraîne une initiation sexuelle, tandis que les filles, elles, doivent préserver leur virginité avant le mariage.

La virginité, pour une fille nubile, est une seconde dot et la seule part de la dot qu'un mari ne peut pas rendre. Dans son plaidoyer, Apulée fait un vibrant éloge de la virginité pour une jeune fille qui arrive au mariage et qui est ainsi « amplement dotée » : il reprend là un thème rhétorique, stéréotypé bien entendu, mais qui, dans la vie courante, reste de première importance pour une fiancée. Il accuse la fille de Rufinus d'avoir été, par l'entremise de sa mère, offerte à des jeunes gens riches et d'avoir été même prêtée à l'essai à certains prétendants avant d'épouser son beau-fils Pontianus, « sa pudeur spoliée, sa fleur fanée, son voile de noce usé, vierge de nouveau après une répudiation récente, portant le nom de jeune fille plutôt que sa pureté12. » Conduite au demeurant fort inhabituelle, car les jeunes filles, dans les milieux élevés, ont en principe une vie très protégée, une réputation sans faille étant exigée d'elles.

Au cours de l'époque impériale apparaît progressivement une nouvelle morale, qui incite les parents à garder vierges jusqu'au mariage même les garçons. L'acte sexuel n'est, certes, pas du tout considéré comme une faute, mais comme un danger pour la santé. L'éloge discret d'une adolescence sans relations sexuelles se retrouve chez Tacite. À la suite de César dans la Guerre des Gaules, il rapporte dans sa Germanie que les jeunes Germains connaissent l'amour tardivement, si bien que leur virilité ne s'affaiblit pas et que les jeunes filles vierges ne se hâtent pas non plus13. Marc Aurèle, l'empereur stoïcien, se félicite « d'avoir sauvegardé la fleur de sa jeunesse, de n'avoir pas fait trop tôt acte de virilité et d'avoir même dépassé le temps14 ». Au second siècle de notre ère, Apulée, qui vit un temps à Oea dans la province d'Afrique (l'actuelle Tripoli en Libye), en compagnie de son épouse Pudentilla et de ses deux beaux-fils, brosse un portrait très négatif de l'aîné, Pudens. Celui-ci décide un jour d'aller vivre auprès de son oncle Aemilianus et d'échapper ainsi à l'éducation de sa mère et de son beau-père. Perverti au contact de cet oncle qui encourage ses vices, il est devenu un voyou qui fréquente les mauvais lieux, les prostituées, les écoles de gladiateurs, passe ses nuits en beuveries et festins au lieu d'aller étudier à l'école, si bien qu'il ne sait plus parler latin et ne s'exprime qu'en punique. Son comportement, proche de la barbarie et de l'animalité, est indigne d'un « fils de bonne famille » (puer honestus)15. Ce regard moralisateur vis-à-vis des jeunes garçons reste cependant rare.

LE DEVOIR CIVIQUE DU MARIAGE

Nous ignorons quelles purent être les « coutumes » matrimoniales dans les premiers temps de Rome. Cette période, perdue dans les brumes d'un lointain passé sans trace écrite, ne nous est accessible qu'à travers le prisme de quelques mythes racontés par Tite-Live au début de son Histoire romaine.

Le récit mythologique de l'enlèvement des Sabines fonctionne comme « un des mythes vitaux de la Cité16 ». Les compagnons de Romulus, installés dans le Latium, sont sans femmes. Or, l'avenir de la ville qu'ils sont en train d'édifier dépend de la postérité de ces premiers colons. Il leur faut des femmes pour enfanter. Mais les peuples voisins, les Sabins notamment, répugnent à donner leurs filles en mariage à ces aventuriers. Ils décident alors de se procurer des compagnes par la ruse et la violence. Romulus invite ses voisins à un spectacle de jeux ; les Sabins s'y rendent avec leurs femmes et leurs enfants. À un signal donné, les Romains s'élancent pour enlever les jeunes filles sabines et les épouser par la suite. Ce récit légendaire recouvre peut-être des faits exacts. Les raids massifs de village à village pour conquérir des femmes ne sont pas inconnus dans les sociétés primitives et il est possible que les premiers habitants de Rome aient eu recours à ces pratiques. Ce peut être aussi une légende qui perpétue seulement le souvenir d'un rite très ancien. Ce récit a reçu de multiples interprétations. Alors que Plutarque indique qu'à l'époque de Romulus, les pratiques sont strictement endogames dans le cadre gentilice, certains y ont vu un rite d'exogamie. Georges Dumézil17 l'analyse comme un mythe « fonctionnel » indo- européen. Les Sabins et leur roi Tatius représentent la fonction de fécondité, la troisième fonction sociale par rapport aux deux plus importantes, la fonction religieuse et la fonction guerrière assumées par Romulus et ses compagnons. L'alliance entre Romulus et Tatius aboutit à la création d'une société complète où sont réunies les trois fonctions indo-européennes. Le mariage, la femme qui devient mère de famille, c'est le moyen et c'est l'organe de la fécondité réglée.

Au Ve siècle av. J.-C., l'interdiction du mariage entre patriciens et plébéiens aurait figuré dans l'une des deux dernières des XII Tables. Le tribun C. Canuléius réclame en 440 av. J.-C. pour les plébéiens, le droit au mariage avec les patriciens, provoquant un tollé chez ces derniers qui se scandalisent de l'abolition de toute distinction sociale18. Mais le tribun l'emporte, la loi Canuleia, qui autorise les mariages entre patriciens et plébéiens, est votée. Cette victoire aboutit, sur le plan social, à un résultat très important : par les mariages mixtes, l'élite des familles plébéiennes peut commencer à accéder à la direction de l'État.

À l'époque républicaine peuvent donc recourir à l'institution civique du mariage tous ceux qui sont citoyens, hommes et femmes adultes de condition libre, bâtards nés d'une citoyenne et, à partir de la fin de la République, les anciens esclaves affranchis, qui peuvent désormais épouser légalement une personne de naissance libre, à condition de ne pas appartenir aux degrés de parenté interdits. La loi est claire sur ce point : « Les citoyens romains ont le mariage (conubium) avec des citoyens romains ; avec des Latins et des étrangers, si cela a été accordé. Avec des esclaves, il n'y a aucun mariage19. » À partir du principat d'Auguste, ce cadre général souffre quelques interdits qui concernent les sénateurs, leurs enfants et petits-enfants, qui ne peuvent pas épouser de personne affranchie, comédienne ou prostituée. En revanche, un chevalier peut épouser une affranchie. Le mariage avec une prostituée reste interdit à tout citoyen de condition libre. Un gouverneur de province ne peut épouser une ressortissante de la province qu'il administre avant la fin de son mandat. Toutes les classes de la société doivent éviter la disparité de naissance entre un époux et une épouse.

1. LUCRÈCE, IV, 1035-1036.

2. PLAUTE, Bacchides, 408-419.

3. ID., ibid., 1079-1080.

4. HORACE, Satires, I, 2, 32-35.

5. CICÉRON, Pour Caelius, XVIII, 42.

6. ID., ibid., XX, 48.

7. HORACE, Satires, I, 2, 116-118.

8. ID., ibid., 61-63.

9. ID., ibid., 63; I, 4, 107-111.

10. TITE-LIVE, XXXIX, 9, 5-6.

11. PROPERCE, II, 25, 41.

12. APULÉE, Apologie, 76, 4.

13. TACITE, La Germanie, 20, 4.

14. MARC AURÈLE, Pensées, I, 17.

15. APULÉE, Apologie, 98, 5-9.

16. P. GRIMAL, L'Amour à Rome, Paris, Les Belles Lettres, 1979.

17. G. DUMÉZIL, Jupiter, Mars, Quirinus, Paris, 1941, p. 155.

18. TITE-LIVE, IV, 1.

19. Tituli Vlpiani, 5, 3-5. Les Tituli ex corpore Vlpiani sont l'abrégé d'un manuel attribué à Ulpien, compilé à la fin du IIe ou au début du IIIe siècle de notre ère par un juriste inconnu, à partir d'œuvres d'Ulpien et peut-être d'autres juristes classiques. Bien que de rédaction tardive, ces Tituli présentent la doctrine des juristes el administrateurs de la fin du IIe et du début du IIIe siècle ap. J.-C. ainsi que leur vision rétrospective du système légal romain.

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La vie sexuelle à Rome

  • France : 2010-03-04 - Poche (Français)

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