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Vitoria, cathédrale Santa María, dimanche 24 juillet. Deux corps nus et bâillonnés sont retrouvés dans la crypte. Un garçon et une fille, les mains délicatement posées sur les joues l'un de l'autre alors qu'ils ne se connaissaient pas. Une mise en scène macabre qui rappelle immédiatement à l'inspecteur Ayala le double crime du Dolmen, premier d'une série de meurtres atroces qui avaient ébranlé la ville vingt ans plus tôt. Une affaire pourtant résolue et dont le coupable est toujours sous les verrous. Alors, qui a décidé de réveiller l'horreur ?
Un policier n’envisage jamais de clore une affaire en étant la dernière victime du tueur en série qu’il pourchasse, mais, en matière de mauvaises surprises, la vie sait parfois se montrer particulièrement inventive.
Un livre de 500 pages qu'on lit sans s'en rendre compte. Un policier qui nous tient du début à la fin. Un très bonne écriture. Je vais continuer la série.
Un vrai thriller plus qu'addictif. L'autrice en plus de nous offrir pléthore de rebondissements, nous fait voyager dans le Pays Basque espagnol, avec ses traditions, ses fêtes, ses coutumes. Les personnages sont forts, leurs psychologies n'est pas approfondie mais ça laisse une marge de progression pour le reste de la trilogie.
Jusqu'au bout .
On devine, sans deviner (ceux qui l'ont lu comprendront), qui se cache derrière les crimes. Impossible de le lâcher avant la fin.
J'ai rarement des coups de cœur pour les thrillers mais s'en est un.
Lorsque le dimanche 24 juillet 2016, les corps d'un garçon et d'une jeune fille - nus, les mains délicatement posées sur les joues l'un de l'autre alors qu'ils ne se connaissaient pas - sont retrouvés, la ville de Vitoria se retrouve propulsée vingt ans plus tôt.
L'inspecteur Ayala (surnommé "Kraken"), épaulé par sa partenaire et amie Estibaliz, doit faire face à de nouveaux meurtres. La personne arrêtée à l'époque est en prison mais doit sortir dans les jours prochains.
Qui est ce tueur en série ? La chasse est ouverte.
La peur envahit la ville. La police est sous pression.
Pour reprendre les mots de François Barrère (Midi libre) : "A dévorer d'urgence !".
Un très bon suspens, avec ces 2 séries de meurtres séparés de 20 ans. Tout juste lorsque l'auteur présumé va bénéficier d'une permission temporaire de sortie de prison. Les inspecteurs essaient de démêler toutes ces pistes qui se croisent. Le suspens est présent jusqu'à la fin du roman.
je vous emmène dans les rues de Vitoria où des meurtres ont été perpétrés il y a 20 ans et qui reprennent quelques jours avant la sortie du principal suspect qui a toujours clamé son innocence.
Par un jeu de passé/présent l'autrice va nous faire conduire à la genèse de ce tueur qui affole la population.
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Je suis ici sur un petit coup de coeur, il me manque l'étincelle qui fait battre mon coeur, j'espère le rencontrer dans le tome 2 que je vais m'empresser de lire.
Pendant plus de 600 pages nous allons déambuler dans les rues et être en immersion totale, car les descriptions sont extraordinaires. J'ai pu aller sur internet voir des photos des lieux décrits les bâtiments, les paysages tout y est, il y a un vrai travail de recherches.On vit au rythme espagnol et des festivités estivales si importantes aux habitants.
Concernant les personnages, je me suis attachée à Unai, notre policier profiler qui va se livrer au fil des pages et nous laisser entrer dans son coeur meurtri. Sa coéquipière et meilleure amie offre au tandem le côté pétillant de franchise et de tempérament.
Alba, notre sous-commissaire est plus réservée et la concernant il m'a manqué un morceau de son histoire.
Enfin l'intrigue est rondement menée, on voit se dessiner les contours du tueur qui n'apparaîtront nets qu'à la fin de la lecture.
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Mélange d'art, d'ésotérisme et de policier, c'est sûr vous passerez un excellent moment avec ce premier tome d'une trilogie.
Je vais être honnête : j’y allais sans trop de conviction. J’ai notamment lancé cette LC en me disant que ce serait un bon moyen pour m'aider à le sortir de ma pile à lire.
Durant les premières pages, j’ai eu très peur : n’ayant pas fait espagnol, les noms et mots d’origine me perdaient complètement et je devais revenir sur mes pas pour essayer de mettre les briques dans l’ordre. Qui était qui et faisait quoi, où l’on était, tout s’embrouillait !
Et puis.
Et puis, l’histoire démarre et le balai entre le présent et le passé installe une dynamique et un suspens absolument dingue ! On sait que les deux histoires vont nécessairement se rejoindre et on sait que le passé va expliquer le présent. Mais le suspens est gardé jusqu’à la fin ! On suspecte la moitié des personnes impliquées, on échafaude 50 scénarios et quand la chute arrive, les bras nous en tombent ! Une génie, voilà ce qu’est l’autrice.
Un des principaux sujets de ce roman est la gémellité. Si, j’ai eu pas mal de déconvenues dans le genre thriller/policier avec ce thème, je dois avouer qu’ici, c’est plus que brillamment traité.
Tout tourne autour de ces deux frères, on sent que tout se joue autour d’eux mais, quand on croit avoir mis enfin le doigt dessus, finalement non !
En plus de ce profond intérêt pour le côté policier, l’autrice a eu la bonne idée de glisser des thèmes importants et douloureux : on y croise notamment une femme battue, un abandon d’enfant, une grossesse qui se termine mal… Des sujets encore trop actuels.
Tout est finement pensé : ce n’est pas parce que l’intrigue se joue sur l’enquête que le reste du roman doit être plat, au contraire !
Le travail des personnages est parfait. Tous sont vraiment très creusés psychologiquement et on croit à cette histoire par le réalisme de ces gens dont on suit le quotidien.
La fin qui conclut parfaitement ce livre, laisse quand même la place à une potentielle suite.
Ce livre est une merveille que je vous recommande les yeux fermés !
sujet dans mes cordes. mais l'écriture ne m'a pas rejointe. trop de longueur, de descriptif. l'enquête était intéressante et il aurait été judicieux de développer sur le sujet relier à l'enquête, mais quand ça devient trop étendu à la famille des nombreux personnages et autres détails, ça casse l'air d'aller.
Dès le prologue, l’auteure donne le ton, Kraken, vient de se prendre une balle dans la tête, ses heures sont comptées et la narration à la première personne rend de suite le lecteur proche du personnage.
On est parachutée quelques jours avant cette introspection, à la Cathédrale de Sainte-Marie – Vitoria. Nous sommes en 2016, les corps d’un garçon et une fille sont retrouvés et la mise en scène est très proche d’une série de meurtres qui a eu lieu vingt ans plus tôt. L’inspecteur Unai Lopez de Ayala dit Kraken et l’inspectrice Estibaliz Ruiz de Gauna tentent de démêler les nœuds de cette enquête qui vient se télescoper avec celle qui a eu lieu vingt ans plus tôt, alors même que le coupable, Tasio Ortiz de Zarate, a été arrêté par son frère jumeau l’inspecteur Ignacio…
L’utilisation d’une double temporalité est très intéressante et donne un rythme encore plus effréné à cette enquête. Sur fond de secrets, de non-dits, de croyances, de superstition et d’ésotérisme, on retrouve tout ce qui fait le sel des intrigues espagnoles au cinéma, dont je suis particulièrement friande.
Véritable phénomène en Espagne, il m’était difficile de passer à côté de cet auteure espagnole, dont c’est le 5ème roman, avec une première traduction française.
L’intrigue est excellente, avec des personnages finement construits, dotés d’une psychologie propre, chacun apportant sa pièce à la construction, du sel à l’édifice.
On retrouve tous les ingrédients qui font un excellent thriller, auxquels l’auteure ajoute une touche de croyances basques et c’est franchement savoureux. On y trouve le piquant qu’il faut, avec ce savant dosage sans jamais tomber dans l’incohérence de certains récits.
Mention spéciale pour la traduction de Judith Vernant, dont j’avais déjà apprécié le travail avec « Je ne suis pas un monstre » de Carme Chaparro
J’ai particulièrement apprécié Vitoria, lieu de toutes ces perditions, qui devient un personnage à part entière, sous la plume de l’auteure, on décèle tout l’amour qu’elle porte au pays basque, particulièrement à la capitale de l’Alava, une des trois provinces de la Communauté autonome du Pays Basque, à travers les découvertes des cadavres, les lieux emblématiques de la ville sont mis en avant et c’est une véritable visite guidée nous est proposé.
À travers la plume de García Seáenz de Urturi, on découvre un premier tome d’une trilogie bien prometteuse, surtout quand l’épilogue, nous annonce que nous n’en avons pas terminé avec La Ciudad Blanca.
L’adaptation du livre en film, est excellente avec cette touche esthétique du cinéma espagnol qui n’a rien à envier au cinéma américain, je dirais même qu’il est bien meilleur, car tout en retenue avec des plans sombres, tout ce qui fait un bon thriller.
Un thriller au dénouement étonnant qui ne laisse pas indifférent. Les Rituels de l’eau (Los Ritos Del Agua), scond opus, ne devrait pas tarder pour mon plus grand plaisir, car les personnages n’ont pas fini de livrer tous leurs secrets.
Un policier que je n'ai pas lâché ! Plusieurs histoires s'entremêlent, le suspense est bien construit, l'histoire est originale et pleine de rebondissements, on ne devine pas tout trop facilement. Le film n'est absolument pas à la hauteur du roman.
Résumé
Vitoria, cathédrale Santa María, dimanche 24 juillet. Deux corps nus et bâillonnés sont retrouvés dans la crypte. Un garçon et une fille, les mains délicatement posées sur les joues l'un de l'autre alors qu'ils ne se connaissaient pas. Une mise en scène macabre qui rappelle immédiatement à l'inspecteur Ayala le double crime du Dolmen, premier d'une série de meurtres atroces qui avaient ébranlé la ville vingt ans plus tôt. Une affaire pourtant résolue et dont le coupable est toujours sous les verrous. Alors, qui a décidé de réveiller l'horreur ?
Source : Pocket
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