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Liste des extraits

"Lucette continue de passer entre les tables, mains dans le dos, l'air béat comme si elle avait fumé toute la pelouse de son jardin, articulant consciencieusement sur un ton bas, presque chuchoté :

- Ne faites qu'un avec votre terre, que la glaise devienne une partie de vous, tripotez-la, tâtonnez-la, faites-lui du bien...

On se bidonne aussi silencieusement qu'on le peut. Etant donné qu'on est ses six seuls élèves, c'est moyennement discret.

- Ouiiii comme ça, Vadim, ouiii !! s'emballe Lucette."

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- Tu... euh..

Il doit deviner que je bloque, parce qu'il lève les yeux de son téléphone.

- Je?

- Tu sens bon.

Oh la honte. Comment j'ai pu dire un truc pareil ?

-Oh? Ça doit être la bombe des chiottes.

Son romantisme le perdra.

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- Ils sont tellement amoureux tous les deux, ajoute Vadim. Notre Cal, c'est un romantique, il la comble de fleurs et de chocolat à la liqueur!

- Ouais, même qu'il siffle toute la liqueur, parce qu'il sait qu'elle est pas fan. Comme ça, il ne lui reste que le chocolat, c'est un beau geste d'amour non ?

Mais qu'ils sont cons, je voudrais mouriiiir !

- C'est tout Caleb ça, il lui chante des chansons de lover avec sa guitare, il écrit même des poèmes.

Au secours !

Caleb est devenu un bad boy guimauve, accro aux Mon Chéri.

Rhooo ce passage m' à tué :D

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— Ça, c’est parce que tu n’as pas encore vu de quoi est capable mon armée de mosquitos !! Bernard, Robert, Clovis, Jean-Philibert, en avant !!!

À force de parler insectes, on a tous envie de se gratter. Et évidemment, chez Roman, ça vire à l’obsession, il se met à effectuer de grands moulinets avec les bras, en espérant sûrement chasser le vent. Et pendant ce temps, il y a Vadim qui lance son attaque en tendant les bras comme s’il était Sangoku ou Harry Potter, je ne sais pas trop. En tout cas, la scène est complètement débile. Surtout avec Jiya derrière, qui continue de balancer tous les papiers qui ne lui plaisent pas, Céleste qui prend des photos de ses orteils, et Caleb qui s’en bat les reins et qui joue à Candy Crush sur son portable. Le pire, c’est que cette scène dépeint un instant banal de nos mois d’août.

— Arrête de m’envoyer tes moustiques racistes ! crie Roman.

— Mouhahaha ! Allez, revenez les gars, il a eu son compte. Ouais, toi aussi Jean-Philibert.

Pendant que Vadim récupère sa troupe de moustiques imaginaires, et que Roman se gratte, Jiya annonce enfin le premier loisir […]

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Nous rebroussons chemin dans une ambiance moyennement embarrassante. (Moyennement = quelques banalités proférées par-ci par-là ; air constipé qui ne se remarque pas dans le noir, et une bataille hystérique contre un papillon de nuit qui s’était lâchement posé dans mes cheveux.)

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Mon cerveau : « Au secouuuuurs !!! Panique à bord ! On active l’alarme et on fuit ! »

Mon corps : « Restons totalement statique, ça va passer, les gars, ça va passer »

Mon cœur : « Rien pigé à ce qui se passe… »

Mon deuxième cerveau : « Youpiiiiii, c’est la fête ! On se redresse et on danse la samba de Janeiro ! »

Mon cerveau : « Biiiiiiiip »

Mon corps : « Fait chaud, non ? »

Mon deuxième cerveau : « ♫ Samba (De Janeiro) sempre assim, Em cima, em cima, em cima, em cima ♪ »

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— Mon père aussi il fume quand nous trois, on lui casse les couilles.

Je ne peux m’empêcher de m'esclaffer devant la bouille sérieuse d’Ayato.

— Ton père doit beaucoup fumer, non ?

— Tout le temps. Il dit qu’on passe nos journées à lui péter les burnes.

J’explose de rire. Je ne devrais pas, mais c’est plus fort que moi.

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-Boire, c'est comme pisser, on sait jamais quand ça s'arrête.

Ouep. J'ai dis ça.

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"Je dois me mettre dans l'ambiance : on pense romantique, on pense chamapgne, lumières intimistes, petit jazz... non, pas de jazzz, c'est chiant, plutôt un bon Patrick Juvet (

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— Bon, dit-elle, ils vont apparemment rester un peu plus longtemps, mais qu’est-ce que quelques jours dans une vie ?!

— C’est encore plus non qu’avant.

— Mais pourquoi ???

« Je suis… une fonction évoquée pour la première fois dans des écrits du septième siècle, je remplace la fonction de rachimbourg dans l’empire carolingien… »

— Rachida Dati !!!

Tentant de faire abstraction des réponses débiles de Jiya et Vadim, je rétorque :

— Parce que j’ai envie de m’amuser ! Hors de question que je loupe des opportunités à cause d’une meuf qui n’est même pas ma vraie copine.

« … en France, je suis abolie sous la révolution ; j’existe toujours en Belgique… »

— Les frites !!!

Elle soupire :

— Ok… tu veux combien ? Je suis prête à te payer.

« … où celui qui m’exerce est adjoint au bourgmestre ; masculin d’échevine. Je suis… » « Ouiiii échevin ! Bravo !

— T’avais trouvé toi ?

— Nope.

— Ils sont forts, ces Questionpourunchampionnistes.

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