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Commentaires de livres faits par LaChroniquedesPassions

Extraits de livres par LaChroniquedesPassions

Commentaires de livres appréciés par LaChroniquedesPassions

Extraits de livres appréciés par LaChroniquedesPassions

Ma condition allait s’améliorer.
Une certitude s’imposait à moi, limpide : j’étais forte. J’étais une battante. Je ne connaissais pas l’étendue des dégâts lorsque l’on m’avait amenée à l’hôpital, mais le fait était que j’avais survécu à près de trois mois dans le coma et à la perte pour ainsi dire totale de ma mémoire. Cela me rendait forte.
Alors, malgré le vide béant de mon esprit alors que je cherchais un élément, quoi que ce soit, qui me donnerait un indice sur mon identité était perturbant – ainsi que le fait d’être toute seule à l’hôpital (pourquoi n’avais-je personne pour moi ?) – je m’en sortirais. D’une manière ou d’une autre.
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(Spoiler)
— De quoi tu as le droit ? Quand est-ce que tu as emménagé avec eux ? Tu ne couchais pas avec Damon étant donné que tu étais vierge avant moi, alors qu’est-ce qu’il fabriquait avec toi, hein ? Tu es qui, exactement ?
Je lui offris un petit sourire.
— Ta meilleure ennemie.
Il se jeta sur moi et saisit mes mains. Avant que j’aie le temps de réagir, il me retira mes gants et les laissa tomber par terre.
Et merde.
Il reprit mes mains dans les siennes et en inspecta le dos. Une seule portait la trace d’une brûlure de cigare, mais je portais deux gants pour éviter qu’on me pose des questions.
Sa respiration s’accéléra. Je sentais sa colère irradier de tout son être. Néanmoins, il ne posa aucune question. Il était sûrement assez intelligent pour comprendre comment Gabriel m’avait disciplinée.
Heureusement, j’avais tout de suite retenu la leçon. Il n’avait pas eu besoin de me punir deux fois.
Rika regarda discrètement par-dessus l’épaule de Kai. La cicatrice ronde faisait la taille d’une pièce de un euro. Ma peau était rosie et boursouflée. La marque s’était beaucoup atténuée au cours des dernières années.
Je regardai la petite cicatrice que Rika avait dans le cou, un souvenir de l’accident de voiture qui avait tué son père des années plus tôt.
— Tu n’as pas la moindre idée de ce que tu me fais, dit Kai d’une voix étranglée.
Je me détournai sans répondre.
Rika se dirigea vers la porte pour nous laisser seuls mais je la retins.
— Reste. Il va avoir besoin de ses amis.
Il amena son visage à quelques centimètres du mien.
— Tu veux que je l’épouse ? C’est ça que tu veux pour nous ? Être la troisième roue du carrosse, celle que je viens sauter en cachette au milieu de la nuit, hein ? Ça te plairait ?
— Parce que tu crois que j’accepterais une chose pareille ? rétorquai-je.
Mon masque commençait à se fissurer. Mon menton tremblait et je contractai tous mes muscles pour empêcher mes larmes de couler. Rika était toujours là mais elle détournait la tête.
— Regarde-moi, murmura-t-il. Regarde-moi, je te dis.
Je ne le pouvais pas.
— Tu me plais. Je te veux dans ma maison. Je te veux dans mon lit. Je veux te voir tous les jours. Passe la nuit avec moi.
C’était impossible. Je ne pouvais être avec lui que durant quelques instants volés. Pour une seule et simple raison.
— Est-ce que tu détestes Damon ? lui demandai-je.
Il se raidit aussitôt.
— Damon n’est pas un facteur dans notre équation. Il n’a aucune place dans ma vie.
— Sauf qu’il en a une dans la mienne. Je l’aime.
Sans lui laisser le temps de répondre, je sortis de la chambre et descendis les marches en courant.
Assez, bon sang ! Qu’il parte ! J’étais complètement perdue à cause de lui et je voulais revenir à l’époque où tout était simple. Quand j’étais loyale envers une seule personne et que cette loyauté était ma seule motivation.
Quand je n’avais pas envie de dire « oui ».
Quand je n’étais pas en train de tomber amoureuse.
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Quand tu me regardes, quand tu me touches, je suis complètement amoureuse de ma vie, Michael. Je ne veux être nulle part ailleurs, jamais.

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La peur n'était pas l'ennemi. C'était le professeur.
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Il faut apprendre le plus tôt possible la leçon la plus précieuse qu’on puisse recevoir dans la vie : nous ne sommes pas obligés de vivre dans une réalité inventée par un autre ; nous n’avons pas à faire quoi que ce soit si nous n’en avons pas envie. Jamais.
Il fallait redéfinir la normalité. Aucun d’entre nous ne connaît l’étendue de ses pouvoirs avant de repousser ses limites et de provoquer sa chance, et plus nous le faisons, plus ce que les autres pensent nous est égal. C’est trop bon de se sentir libre !
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Tu n'es pas une victime, et je ne suis pas ton sauveur.

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« J'ai l'impression d'être possédé. Tu me possèdes tellement que le reste du monde s'efface. »

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date : 19-11-2017
— Qu’est-ce que tu veux ? ai-je demandé en avalant ma salive.
Il y avait entre nous quelque chose de puissant auquel je ne pouvais pas résister.
— Je veux te baiser en te regardant droit dans les yeux.
J’ai levé ma main pour le gifler, mais il m’a arrêtée en plein élan en me saisissant le poignet.
— Le droit de me gifler, il faut le gagner, Rose, a-t-il murmuré en secouant la tête. Et tu n’as pas encore fait ce qu’il faut pour ça.
Rose. Mon cœur a fait un bond.
On était l’un contre l’autre, brûlants. Son parfum me rendait dingue, le simple fait de le regarder me rendait dingue, et on n’avait encore rien fait, mais j’avais déjà l’impression de tromper Dean. J’ai eu soudain honte et j’ai voulu libérer mon poignet, mais pas moyen.
— Demande-moi ce que je veux, a murmuré Vicious.
Ses pupilles étaient tellement dilatées que ses iris étaient presque noirs. Je me déplaçais pour m’éloigner de lui, mais il me suivait, en serrant mon poignet de plus en plus fort. Une partie de moi aurait voulu lui échapper, mais l’autre avait envie de savoir comment c’était de tomber entre ses griffes.
L’arrière de mes genoux a heurté le lit. Cette fois, c’était fichu, j’étais vraiment prise au piège.
— Qu’est-ce que tu veux ? ai-je bredouillé.
C’était plus fort que moi. J’avais envie de savoir. C’est à cet instant que j’ai compris que je n’étais pas amoureuse de Dean et que je n’aurais jamais dû accepter de sortir avec lui.
— Je veux que tu m’embrasses, a-t-il murmuré, sa bouche tout contre ma joue.
— Mais tu me…
Il m’a fait taire en collant ses lèvres sur les miennes.


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— Tu me plais, c’est tout. Toi.
— C’est ce que je pige pas, justement. Pourquoi est-ce que je te plais, moi ? Ce que je suis au fond, ça n’a jamais branché personne : je suis sur les nerfs à longueur de temps, je suis possessif, les sentiments c’est pas mon fort… Je ne comprends pas ce qui te plaît tant chez moi.
— Je suis la première que ça branche, alors, parce que je te veux, toi, et je ne demande rien en échange. Pourquoi est-ce qu’on désire quelqu’un ? Mon corps te reconnaît comme celui qui lui fait du bien, mon esprit comme celui dont il a besoin, et mon âme comme celui qui m’est destiné.
La tension quitte aussitôt ses épaules, et un sourire hésitant se dessine sur ses lèvres.
— On est foutus, pas vrai, Shakespeare ? susurre-t-il presque, irradiant une aura de quiétude accomplie.
Un sentiment d’apaisement nous grise tous deux.
— C’est un euphémisme.
— Viens par là, toi.

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Sa mère prit un panier recouvert d’un napperon en coton.
— Il se peut que tu aies remarqué à l’occasion, en prenant un bain, qu’il existe entre tes jambes une sorte de fente.
Charlotte se mordit la lèvre.
Il se pouvait, en effet, qu’elle ait remarqué son propre corps, à un moment donné de ses vingt années d’existence…
Elle supposait que peut-être, quelque part, il devait exister une oie blanche qui n’avait jamais prêté attention à son anatomie en dessous du nombril. Charlotte n’aurait jamais su comment devenir l’amie de cette pauvre jeune fille.
— Cela ressemble un peu à ceci.
Sa mère sortit du panier un objet arrondi.
Charlotte l’observa.
— Est-ce une pêche ?
— Oui. Les parties intimes de la dame sont symbolisées par cette pêche.
— Pourquoi une pêche ? Pourquoi pas une orchidée, une rose, ou n’importe quelle autre fleur ?
— La pêche présente une fente, répliqua sa mère, sur la défensive. Elle est de la bonne couleur. Elle est… veloutée.
— Mais ce n’est pas très ressemblant, tout de même. Je veux dire, ce n’est sans doute pas aussi poétique, mais même une moitié de chou aurait au moins eu la dim…
— Charlotte, je t’en prie. Laisse-moi continuer.
Laisser sa mère continuer était précisément ce que Charlotte voulait éviter à tout prix. Elle aurait préféré, sans la moindre hésitation, être fouettée sur la place publique du village plutôt que de terminer cette conversation.
Elle aurait peut-être même préféré la mort.
Elle s’arma de courage en voyant sa mère chercher quelque chose dans le panier.
— Et maintenant, concernant le monsieur… Il est important que, le moment venu, tu ne t’affoles pas. Au repos, le… de l’homme…
— Le hum, souffla Charlotte.
— … est une chose relativement anodine, continua sa mère. Cependant, lorsqu’il est excité, cela ressemble plutôt à ceci.
De sous le torchon, Mme Highwood sortit un légume mince et courbe recouvert d’une peau lisse et brillante, d’un violet soutenu.
Charlotte écarquilla des yeux horrifiés.
Non. Ce n’était tout de même pas…
Si.
— Une aubergine ?
— Un concombre aurait mieux fait l’affaire, mais ils n’en avaient pas à la cuisine.

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— J’aurais aimé que vous m’en parliez avant.
— J’aurais pu vous poser la question, mais j’étais décidé à lancer cette invitation, quelle que soit votre réponse.
— Voilà qui est bien autocratique.
— Je n’ai pas l’habitude de consulter un comité avant de prendre une décision, mo chridhe. Si vous aspiriez à des discussions courtoises, vous auriez dû poster vos lettres à un membre du clergé du Hertfordshire. Si vous ne vouliez pas d’un officier écossais, il ne fallait pas rêver de moi.
Quelle diatribe !
— Sotte que je suis, j’ai vu grand.
Il lui adressa un sourire en coin.
— Et vos rêves ont été exaucés.

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— Ah… Je vois où vous voulez en venir. Vous vous demandez quelle est ma souffrance secrète.
— Votre souffrance secrète ?
— Oui. Mes démons intérieurs. Le sombre déferlement de tourment qui emporte des petits morceaux de mon âme sur son passage. Vous vous dites que si vous parvenez à me garder ici dans votre joli château, étouffé sous seize oreillers, j’apprendrai à m’aimer et cesserai d’infliger à mon corps d’aussi horribles traitements.
Clio se mordit la lèvre, heureuse que la pénombre dissimule le flamboiement de ses joues. Si elle avait été de la couleur du flamant rose l’autre jour, elle devait être fuchsia maintenant.
— Je me demande d’où vous tirez cette idée.
Il pouffa.
— De toutes les femmes que j’ai pu rencontrer. Vous n’êtes pas la première à essayer, et vous ne serez pas la dernière.
— Quelle déception ! Puis-je au moins être la meilleure ?
— Peut-être.

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— Je n’arrête pas de penser à toi, avoua-t-elle dans un murmure dans lequel se ressentait toute l’angoisse que lui inspirait cette vérité.
Une flamme aveuglante dansa au centre des pupilles de Knox l’espace d’un instant avant de se résorber complètement, telle une bougie que l’on mouche, et il redevint alors Callaghan le prisonnier.
— On ne peut pas, Briar.

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« Ne te ferme pas à ceux qui tiennent à toi parce que tu penses que tu vas leur faire du mal – ou qu’ils t’en feront. À quoi bon être humaine si c’est pour ne rien ressentir ? »
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— Sydney Carton était un alcoolique et un débauché.
— C'est exact. Voilà un homme qui ne valait rien, qui en avait conscience, et pourtant il avait beau s'efforcer de perdre son âme, il y avait toujours une part de lui capable d'accomplir de grandes choses. (Will baissa la voix.) Que dit-il à Lucie Manette ? Que malgré ses faiblesses, il peut encore brûler ?
Tessa, qui avait lu Un conte de deux villes plus de fois qu'elle n'en pouvait compter, murmura :
— « Et cependant j'ai la faiblesse de vouloir que vous sachiez avec quelle puissance vous m'avez transformé tout à coup, moi, pauvre tas de cendres, en un feu ardent. » (Elle hésita.) Mais c'était parce qu'il l'aimait.
— Oui, dit Will. Il l'aimait assez pour savoir qu'elle serait plus heureuse sans lui.
La chaleur de ses mains se propageait à travers le tissu des gants de Tessa. Le vent était glacial au-dehors, il avait ébouriffé ses cheveux noirs comme de l'encre tandis qu'ils traversaient la cour de l'Institut pour se rendre à la voiture. Sur le moment, il avait semblé plus jeune, plus vulnérable - son regard, surtout, qui en cet instant était si facile à déchiffrer. Elle ne l'aurait jamais cru capable de poser un tel regard sur elle ou sur qui que ce soit. Si elle avait pu rougir, pensa-t-elle, ses joues se seraient embrasées !



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Arin s’excusait. Le visage en feu et la bouche rougie, il lui demandait quelle erreur il avait commise. Il bafouillait, il disait qu’il était sans doute trop tôt, mais qu’ils pourraient construire une vie dans cette demeure. Ensemble.
— Mon âme t’appartient, dit-il. Tu le sais.
Elle leva la main autant pour occulter son visage que pour mettre fin à sa déclaration.
Puis elle sortit de la cuisine.
Elle dut faire appel à toute sa fierté pour ne partir en courant.



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Il n'y a rien de romantique, de passionné, sans un soupçon de folie.
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Presque brutalement, il se plaqua contre elle, si puissamment qu’elle en eut le souffle coupé… tandis que celui d’Aidan s’affolait déraisonnablement.
— Ne me rejette pas, je t’en prie, murmura-t-il en observant sa bouche avec une convoitise flagrante. J’ai commis plusieurs erreurs samedi, je le reconnais. J’ai voulu aller trop vite et je me suis éloigné de ce qui était prévu. Je n’aurais pas dû. Mais c’est ta faute… C’est toi qui m’as fait oublier tous les vautours qui rôdaient autour de nous…


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Je n’arrive plus à respirer. Il faut que tu te calmes, Charlie. C’est la drogue qui parle. Je suis hypnotisée car je ne vois de lui que son dos, mais c’est un dos magnifique. Une vision terriblement apaisante. Si je ne devais demander qu’une seule chose pour moi dans cette vie, ce serait lui. Les êtres humains ne vous appartiennent pas, c’est sûr, néanmoins, en ce qui concerne ce cas en particulier, nous pourrions trouver un compromis moralement acceptable, Dieu et moi, j’en suis sûre.



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— Dis-moi… comment fais-tu pour être en même temps le mal et la solution de ce trouble qui me ronge ? me questionne-t-il d’une voix éteinte.
Mes paupières se baissent sur mes yeux brûlants. Je me pose continuellement cette question à propos de toi.



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— C’est faux, tu n’es pas indifférent !
— Je ne fais pas assez attention, admit Jace d’une voix tremblante. Regarde. Je t’ai aimée comme un
dingue dès que je t’ai vue, sans me soucier des conséquences. J’avais beau me répéter qu’il fallait que je
me calme, non seulement pour toi, mais aussi pour moi, rien n’y faisait : je te désirais plus que tout.
Son corps ferme et musclé vibra sous la main de Clary. Elle voulut caresser sa bouche d’un baiser
qui calmerait sa tension, mais Jace se déroba en se mordant la lèvre inférieure.

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Pourtant, je m’étais préparée. Je m’attendais que survivre en dehors de Westfall soit difficile. Dangereux. Mais je n’avais pas anticipé ce vide permanent. Mon insignifiance en comparaison de cette vaste étendue, presque comme si je rétrécissais sans fin jusqu’à n’être plus rien dans l’immensité du ciel de fin d’été. Peut-être m’en serais-je mieux tirée si j’avais été expulsée avant de rencontrer Bishop ? Avant de m’habituer à avoir quelqu’un qui m’écoute, qui marche à mes côtés.
Avant d’être aimée, je supportais mieux la solitude.
Je n’ai pas osé retirer mes chaussures : je préfère ne pas voir l’état catastrophique de mes pieds. Malgré tout, je sais que je ne serai pas capable de marcher beaucoup plus longtemps. Allez, quelques kilomètres de plus ! J’en fais un défi. Marche cent pas et si tu es encore vivante, fais-en encore cent. Tordu, comme petit jeu, mais ça me permet d’avancer.

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— Tu es fou, murmura-t-elle contre mon cou. Tu es complètement fou mais je t’aime. Je t’aime tellement. J’aurais préféré que tu restes loin d’ici mais je t’aime.
Je fis courir mes doigts le long de sa colonne vertébrale, jusqu’au bas de son dos.
— Je ne me lasserai jamais de l’entendre.
Elle se pressa un peu plus contre moi, les doigts enfouis dans mes cheveux.
— Tu m’as tellement manqué, Daemon.
— Tu ne sais pas à quel point…
Les mots me firent défaut. Me retrouver en sa présence après une aussi longue séparation était la plus agréable des tortures. Chaque fois qu’elle inspirait, je le sentais dans tout mon corps, certaines parties plus que d’autres. Ce n’était pas du tout le moment, mais elle m’avait toujours fait un effet incroyable. Et ça, c’était plus fort que le bon sens.
Elle recula légèrement pour me regarder dans les yeux, puis franchit de nouveau la distance qui nous séparait. Son baiser fut à moitié innocent et à moitié passionné. Parfait, en somme. Lorsqu’elle pencha la tête sur le côté, je raffermis ma prise sur sa nuque et la tendresse se mua en quelque chose de beaucoup plus fort. J’approfondis le baiser et le nourris de toutes mes peurs, de tous ces instants que nous avions passés loin de l’autre et de tout ce que je ressentais pour elle. Le gémissement qui lui échappa m’ébranla, et quand elle se mit à onduler contre moi, je crus devenir fou.

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Le café m’a donné des espérances peu réalistes de productivité.
TEE-SHIRT



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Si seulement l’une de mes personnalités aimait faire le ménage.
TEE-SHIRT

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Il resta immobile, sans pour autant cesser de l’observer.
Une fois qu’elle eut refait entièrement le lit, elle cala des serviettes autour de lui et posa la cuvette d’eau sur la commode à côté du lit. Il parut se calmer pendant sa toilette et ses paupières devinrent lourdes. Rosalind commença à baisser le drap.
Lynch souleva les hanches d’un geste suggestif, le souffle court.
— Non, pas avant que tu ne me sois revenu, murmura-t-elle.
Il plissa dangereusement les yeux.
— Je ne suis jamais parti.

Son côté sombre l’attirait. Rosalind glissa le gant sous le drap et sa main s’empara de son érection. Lynch se figea, le dos raide.
— Tu sais ce que je veux, dit-elle en l’empoignant vigoureusement.
Une vague de chaleur se répandit dans son bas-ventre.
— Et tu sais ce que je veux.
— Tu veux me revendiquer, dit-elle, incapable de détourner les yeux.
Elle tourna le poignet et lui arracha un nouveau halètement. Ses tétons durcirent et Rosalind déglutit.
— Peut-être que c’est moi qui vais te revendiquer ? suggéra-t-elle avec malice.
Elle reposa le gant et entreprit de le sécher avec une serviette sans se presser, en accordant une attention particulière à son sexe dressé. Elle qui avait pensé que l’expression dans ses yeux ne pouvait s’assombrir davantage, il semblait désormais en proie à un désir intense. Il tira sur ses chaînes qui émirent un cliquetis.
— Libère-moi.
— Libère-le, rétorqua-t-elle, avant de soulever ses jupes et de le chevaucher.
Il planta ses yeux impitoyables dans les siens.
— Je suis lui.
— Tu n’es que les ténèbres qu’il a en lui, corrigea-t-elle en se penchant pour déposer un baiser sur son torse.
La peur et le pouvoir mêlés lui causèrent une terrible sensation de vertige.
— Qui est-il, selon toi ? murmura le démon en lui.
Rosalind posa sa langue autour de son téton. Lynch tressaillit.
— C’est un homme bon, murmura-t-elle. Loyal, honnête et courageux.


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