Premier roman de Guy-Roger Duvert que je lis. Cet auteur qui est habitué à la pure science-fiction (saga Outsphere) nous livre ici un polar reprenant tous les codes du genre, en y injectant un peu de réflexion liée aux technologies, thème récurrent dans la plupart de ses romans. “L’Adieu à Camille” est son septième roman.
J'ai trouvé l'histoire intéressante et le petit côté fantasy m'a beaucoup plu. J'aime l'idée, d'une technologie révolutionnaire résultant de l'intelligence artificielle capable de maintenir le contact avec nos êtres chers. L'histoire est fluide, la plume de l'auteur très agréable. J'aurais aimé que les traits de caractère du Capitaine Gabriel Podilsky soient encore plus poussé. Il est un peu ours, mais je pense que son caractère aurait pu être plus affiné. L'auteur aurait pu jouer d'avantage avec les répliques cinglantes et cassantes pour plus de piquant.
Premier roman de Guy-Roger Duvert que je lis. Cet auteur qui est habitué à la pure science-fiction (saga Outsphere) nous livre ici un polar reprenant tous les codes du genre, en y injectant un peu de réflexion liée aux technologies, thème récurrent dans la plupart de ses romans. “L’Adieu à Camille” est son septième roman.
J'ai trouvé l'histoire intéressante et le petit côté fantasy m'a beaucoup plu. J'aime l'idée, d'une technologie révolutionnaire résultant de l'intelligence artificielle capable de maintenir le contact avec nos êtres chers. L'histoire est fluide, la plume de l'auteur très agréable. J'aurais aimé que les traits de caractère du Capitaine Gabriel Podilsky soient encore plus poussé. Il est un peu ours, mais je pense que son caractère aurait pu être plus affiné. L'auteur aurait pu jouer d'avantage avec les répliques cinglantes et cassantes pour plus de piquant.
Une bonne histoire à lire.
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