Par où commencer ? Déjà, ce sont la couverture et le titre qui m’ont attirée. Ok, ça c’est dit.
L’intrigue sur des dieux et des sorcières qui se détestent, pourquoi pas. Des dieux grecs qui se comportent assez « humainement » bon j’avais déjà connu ça avec Covenant. Ella est cute, mais n’a rien de spécial. Je ne me suis pas particulièrement identifiée à elle, et je n’ai pas trouvé qu’elle sortait de l’ordinaire. Deimos, dieu de la Terreur, grrrrr. J’ai trouvé son histoire originale pour le coup. Mais son personnage est beaucoup trop cliché, alors que dieu sait que j’aime les clichés (je regarde énormément de dramas coréens, maintenant vous le savez). J’ai trouvé qu’il avait le charisme d’une huître. Un couple aussi différent que lui et Ella, pourquoi pas, mais là ça n’a pas marché, en tout cas pour moi. La fin n’est pas mal du tout avec le petit moment

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féministe ça donne un peu envie de lire la suite, mais je ne le ferai pas de sitôt. Un peu déçue. Voire déçue tout court.

Euh... alors je dois dire que je ressors de cette lecture totalement écoeurée.
C'est peu dire que je ne m'attendais pas du tout à ça vu les commentaires élogieux et le fait que j'avais beaucoup aimé ma première lecture de cette autrice, la duologie "Les deux ducs de Wyndham".

Tout d'abord, il y a un vrai problème de contexte de l'époque. Les dialogues, les attitudes, rien n'est crédible. Un peu de liberté, je veux bien, mais là ça n'a juste rien à voir avec la période Régence (tout le monde se tutoie, se lance des menaces - à voix haute, pas juste pensées ! - du style "je vais le/la tuer, le/la passer par la fenêtre", etc).

Ensuite, le couple principal ne m'a pas plu du tout.
Simon est obtus et s'accroche à des stupidités, il fait des crises de colère exagérées et totalement déplacées et se montre même parfois violent avec Daphné, lui assénant, une fois mariés, qu'elle lui appartient et qu'il pourrait très bien la violer si l'envie lui prenait (c'est d'un romantisme ! *ironie*).
Daphné est manipulatrice et le summum arrive quand même quand elle viole son mari quand il est saoul (oui, c'est un viol !) pour lui voler sa semence et concevoir un enfant qu'il ne désire pas, ce qu'il lui a bien fait comprendre de nombreuses fois, même avant le mariage (encore une fois, hyper romantique ! *ironie*).

L'humour que j'attendais c'est révélé puéril, je n'ai même pas souri une seule fois.
Et j'attends encore la partie aventure (c'est un A&P non ?), inexistante.

Je ne lirai pas la suite de cette série.


PS : à noter que cette saga littéraire vient d'être adaptée en série sous le même titre que les bouquins, soit "La Chronique des Bridgerton"

Un Don Juan comme on ne l'a jamais vu. Une lecture imposée par le lycée mais qui restera à tout jamais l'une de mes préférées. Eric-Emmanuel Schmitt nous a fait une brillante réécriture du mythe de Don Juan, très originale et au rebondissement à couper le souffle. Vraiment ! Assez fidèle au mythe littéraire, il nous apporte pourtant une touche à laquelle on se s'attend pas et qui fait toute la beauté de la pièce !

J'avoue que je ne m'attendais pas à une fin pareil mais après tout pourquoi pas. En tout cas je préviens déjà : sortez vos mouchoirs si vous adorez cette série!