L'Ami imaginaire

tout le monde ne s'appelle pas Stephen King

Très bonne lecture ! Une histoire prenante et surprenante dans laquelle l'auteur nous tient en haleine pour savoir le fin mot de l'histoire. J'ai eu un peu de mal au tout début à cerner ce qu'il se passait, mais une fois les 200 premières pages passées, la lecture a été plus fluide !

Quel très très bon livre. J'ai été happé par cette histoire fantastique. Tout au long du livre, je n'avais qu'une envie, de connaître la suite. Tout cela agrémenté de quelques moments de stress. Pour moi ce livre est un régal.

Le seul petit bémol, mais c'est parce que je chipote, l'histoire se passe avec des enfants de 7-8 ans et j'ai eu l'impression tout au long du livre d'être en présence d'ados.

Mais sinon les personnages sont tops, l'histoire tient en haleine et l'écriture donne du rythme.

Bref pour moi c'est une très bonne lecture pour celui qui aime le fantastique et les frissons.

J'ai lu avec délectation "L'ami imaginaire", une brique de 800 pages absolument dingue écrite par Stephen Chbosky, l'auteur de "The perk of being a wallflower", c'est dire la qualité d'analyse psychologique des personnages. C'est un hommage appuyé à Stephen King, on y retrouve les ingrédients que j'aime bien (les enfants, la petite ville américaine, une étude sociologique de dingue, des personnages magnifiques). Puis ça glisse vers la fantasy macabre, il me reste des images fortes, ça part dans tous les sens, c'est chtarbé, touffu, mystique et brillant. Un livre sur le thème de l'enfance absolument magnifique.

C'est un beau mélange de Ça de Stephen King et de Stranger Things !

J'ai vraiment été happée par les 350/400 premières pages. L'intrigue était prenante, les personnages attachants et la construction cohérente et pleine de mystère. Mais tout mon engouement est retombé à partir de la moitié du roman. Bien que le récit se veut contemplatif, je n'ai pas réussi à m'y plonger complètement. L'omniprésence de la religion a beaucoup joué. Un bilan un peu mitigé, mais tout de même un bon moment de lecture.

C'est a 90% une excellente lecture. Malgré la taille du livre j'ai vraiment adoré. J'ai complètement adorer le personnage de la maman. Mais il y a une une centaine de page un peu WTF qui empêche le livre d'être un complet coup de coeur Spoiler(cliquez pour révéler)a la fin, la dame qui siffle qui aide Christopher pour s'enfuir en ouvrant une bouche d'égout, qui est logiquement dans la rue mais elle ne se brule pas ?! Tunnel ou Christopher rentre mais sort par magie ? puis revoir rentrer dans le monde imaginaire pour qu'il sorte pour qu'il re rentre et re sorte bof. et enfin l'heure 2h17 reviens plusieurs fois au long du roman mais dommage qu'il n'y ai pas d'explication a ce pourquoi du comment. D'autant que tous doit être détruit a minuit mais finalement même si le monde continue dans la folie il y étais déjà avant minuit donc je penser que entre minuit et 2h17 c'était par exemple le lapse de temps pour faire céder la barrière du monde imaginaire et du monde réel Un peu k'impression que la fin a voulu être un peu en mode "j'ai bientôt fini vite j'écris" et donc un peu bâcler sur certains details

Commençons par la base : j'ai adoré ce livre. C'est dit. Passons maintenant à la suite.

Nous suivons les aventures de Christopher et de sa mère Kate. Ils ont fuit la méchanceté d'un homme et espère se reconstruire dans cette nouvelle ville. Mais voilà que Christopher disparait pendant 6 jours. Nous avons là les 50 premières pages. A partir de là, les pages ne vont faire que glisser et glisser jusqu'à la dernière ligne. C'est un véritable page-turner de l'horreur. Quand on croit voir la fin l'auteur réussit à nous surprendre avec un retournement de situation. A force je ne savais plus sur quel pied danser. Que pouvait-il se passer d'encore plus terrible? Ce roman m'a donné des frissons et cela faisait longtemps qu'un livre ne m'avait pas fait cet effet là. Bravo! Difficile de parler de l'Ami imaginaire et de l'ennemi sans vous spoiler (ce qui serait vraiment dommage) mais merci mon imagination qui a parfaitement représenté le personnage.

L'auteur reconnait que King l'inspire et on le voit clairement. Plus j'avancais dans ma lecture, plus je me disais : "mais c'est co-écrit par King ou quoi!" Un pur régal. Mais l'auteur arrive à se détacher du maître en partant dans son propre univers. Mention spéciale pour la fin.

Les personnages sont bien développés et, malgré les horreurs, on finit par s'attacher à certains d'entre eux. Tout du moins à les comprendre. J'ai eu un coup de coeur pour le personnage du Shérif, si droit dans ses bottes. A contrario Mary-Katherine avait tendance à m'agacer. Mais c'est le personnage qui veut ça et il faut en passer par là. On retrouve tout un tas de personnages qui pourrait sortir de n'importe quel King.

Un des aspect que j'ai apprécié dans ce roman est la différence de typographie. Au début on peut croire à des fautes de frappes mais très vite on se rend compte que quand untel ou untel "parle", tout change. Et c'est brillant.

Cependant soyons honnête : certains passages ne vont pas. Il y a de la confusion pour certains "combats", et j'ai eu du mal à comprendre parfaitement l'univers créé par l'auteur. C'est le genre de roman qui nécessite une relecture à la lumière des faits découverts. Si la première partie est bien ancré dans le réél, la deuxième flotte avec le fantastique et la troisième part carrèment dans le fantastique pur. On aime ou on n'aime pas. Personnellement j'ai beaucoup aimé. Ce livre est une espèce de condensé de mes romans préférés. J'y ai retrouvé du King, du Gaiman, du Hill. Bref j'y ai trouvé du bon et cela a suffit à me conquérir.

http://l-entre-deux-mondes.e-monsite.com/pages/horreur/l-ami-imaginaire.html

Lecture en demi teinte. J'ai adoré la première moitié du roman qui démarre doucement, met les frissons et un sentiment de malaise. Autant la deuxième moitié m'a paru longue. Trop. De plus, je n'ai pas vraiment apprécié la tournure religieuse que prenait le récit.

Belle découverte car c'est un bon thriller mais sans plus.

Si un jour on me demande de choisir un seul mot pour décrire ce roman, ce sera DÉCEPTION.

L'ami imaginaire est un livre très prometteur. Il est intriguant, les personnages sont intéressants et bien développés, l'écriture est à la fois simple, raffinée et même originale dans sa présentation.

Le problème de ce pavé, c'est qu'il parvient à nous ensorceller pendant la première moitié du récit, nous amener sur une piste qu'il nous est impossible de lâcher pendant le quart suivant et, lorsqu'on se rend compte dans quel thématique l'auteur nous amène, on se sent un peu forcé de terminer notre lecture.

Et cette dernière partie du livre est autant laborieuse par sa répétitivité que par cette thématique qui nous donne presque l'impression que Chbosky s'est servi du fantastique à la Stephen King pour faire passer son message religieux. Ce qui m'a profondément déplu. J'aime qu'un auteur se mouillé sur un sujet social, mais pas en utilisant cette manière subversive... et j'ose espérer que ce n'est pas Emma Watson qui lui a vraiment inspiré cette fin tel qu'il m'indique à la fin du roman.

Voilà une belle surprise ! Inconditionnelle de Stephen King, j'ai été attiré par la thématique fantastique et le fait que les héros de cette histoire incroyable soient des enfants. L'histoire est à la fois touchante et effrayante, le suspense va crescendo jusqu'au final, grandiose.

Je ne voudrais pas être dans la tête de ce monsieur Chbosky mais je lui tire mon chapeau, quelle imagination débordante ! L'élève à presque rattrapé le maître et nul doute qu'il ne nous surprenne dans les années à venir. Je suis impatiente !