L'amour en minuscules

Je n'ai pas réussi à aller au bout, ce qui ne m'arrive jamais je n'ai pas non plus réussi à rentrer dans l'histoire, d'une platitude impressionnante.

alors oui, il y a un chat, mais je ne sais pas pourquoi c'est mentionné car on ne parle quasi pas de lui, en dehors de la quatrième de couverture !!! je n'ai vraiment pas passé un bon moment : rien de cohérent, 0 action... berk ! vraiment ...

J'avais adoré "Le plus bel endroit du monde est ici" du même auteur. Mais "L'amour en minuscules" n'a pas vraiment su m'embarquer dans son histoire. C'est sympathique mais sans plus, j'espérais un peu plus d'originalité au fil des chapitres malgré un résumé aussi "déjà vu".

Pas de quoi fouetter un chat ( c'est le cas de le dire). Un chat va changer la vie d'un homme qui n'avait pour seul contact avec les autres que son travail d'universitaire. Un livre sympa, un peu farfelu. Il ne me laissera pas un souvenir impérissable mais on sent quand même un travail de qualité de l'auteur derrière, à travers des références et des citations intéressantes.

Autant j'ai aimé " le plus bel endroit du monde est ici " qui a été une vraie bouffée d'oxygène , autant je me suis ennuyée pendant cette lecture!

je n'ai pas réussi à m'attacher à Samuel , personnage principal un peu trop philosophe pour moi .

Le récit est un peu décousu et puis j'étais un peu perdue avec certaines références littéraires et musicales.

J'ai même survolé quelques passages pour terminer au plus vite cette lecture !

« L’amour en minuscules » est typiquement le livre dont l’histoire est aux antipodes de ce qu’on pourrait retrouver en voyant la couverture et en lisant le résumé de 4ème de couverture. L’histoire du chat qui bouscule la vie de son nouveau maître n’est que le point de départ d’une histoire qui est plutôt tournée vers la philosophie et l’ésotérisme et qui illustre parfaitement la doctrine de « l’effet papillon ». Mais les personnes plus sensibles sur ces sujets, sur le sens que l’on peut donner à sa vie, seront ravies de lire ce livre ! « L’amour en minuscules » est typiquement le livre dont l’histoire est aux antipodes de ce qu’on pourrait retrouver en voyant la couverture et en lisant le résumé de 4ème de couverture. L’histoire du chat qui bouscule la vie de son nouveau maître n’est que le point de départ d’une histoire qui est plutôt tournée vers la philosophie et l’ésotérisme et qui illustre parfaitement la doctrine de « l’effet papillon ». Mais les personnes plus sensibles sur ces sujets, sur le sens que l’on peut donner à sa vie, seront ravies de lire ce livre !

Livre qui se lit très facilement et très vite. J'ai malgré tout l'impression, comme lorsque l'on regarde un film à la télévision, d'avoir raté quelques secondes après la publicité.

J'ai trouvé quelques coquilles et j'avoue être vraiment déçue par les correcteurs et les traducteurs.

La quête du personnage principal prend des détours qui n'étaient indispensables.

Ce livre contient énormément de références littéraires et musicales.

Quelques notions philosophiques telles que le battement d'aile du papillon, et la causalité (ou relation de cause à effet) sont abordées ou suggérées . J'aurais apprécié qu'elles soient un peu plus développées.

J'ai apprécié connaître un peu la ville (Barcelone) où l'action se déroule, et les descriptions m'ont aidé à entrer dans le roman.

Lecture sympathique mais qui ne restera pas plus que cela dans mes souvenirs.

Une histoire qui, ma foi, est assez sympathique. Toutefois, je reste sur ma faim, comme si après cette lecture, une attente irrationnelle restait en suspend. Malheureusement, je ne suis pas parvenue à m'attacher aux personnages, ni à l'intrigue (qui, selon moi, se perd à de nombreuses reprises).

Un livre sans prise de tête. Sympathique, mignon avec une jolie touche d'humour. J'ai apprécié ma lecture.

Après le Plus bel endroit du monde est ici que je n’avais pas lu, mais qui m’avait été conseillé, j’ai voulu essayer de découvrir cet auteur avec ce deuxième roman.

Samuel de Juan est prof d’allemand à l’université. Solitaire, célibataire, il se réfugie dans ses romans et dans la musique classique. Mais au lendemain du réveillon, une surprise le sort de son lit. Un jeune chat gratte à la porte et décide de s’installer chez lui !

En essayant de retrouver le propriétaire du chat, il va sortir de chez lui et faire de nouvelles rencontres : le vieil homme qui habite au-dessus de chez lui et écrit des essais pour un éditeur; une vétérinaire, un homme aux idées étranges sur le monde, l’homme des 17 minutes qui vient dans le même bar, et une mystérieuse jeune femme qui l’a embrassé sur la joue 30 ans plus tôt !

Entre philosophie, poésie et méditation, ce livre nous fait voyager avec le personnage, un voyage minuscule, mais plein de sens.

L’histoire est plutôt sympathique, les personnages aussi. J’ai bien aimé la façon dont la littérature, les petites pensées se glissent dans le roman pour nous faire réfléchir autant que le personnage sur la vie et le sens que nous lui donnons. En revanche, j’ai trouvé qu’on avait au final pas de grande découverte, on n’en sait finalement pas beaucoup plus sur les personnages à la fin du livre et l’histoire n’évolue pas énormément. Alors certes, on peut s’attendre à un histoire du quotidien, minuscule au regard du monde, mais j’aurais peut-être aimé plus de rebondissements, quelques révélations, etc.

Donc un bon petit roman de détente, mais pas forcément un livre dont on se souvient très longtemps !

Livre qui se laisse facilement lire, avec tous les ingrédients : humour, amour, surprises, quelques passages érudits et critiques. Chaque fois j'ouvrais ce livre, c'était un plaisir renouvelé.