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Il arrive un moment où la quête prend fin et où commence la légende. Le jeune forgeron qui s'était révélé être l'élu car il répondait de façon extraordinaire aux vibrations de l'épée en ivoire de Magohamoth est arrivé aujourd'hui au terme de sa première aventure. <p>Sur le chemin, il a rencontré une galerie de personnages plus fabuleux les uns que les autres. Car la caractéristique du monde de Troy est de donner à chaque être un pouvoir magique, quel qu'il soit, grand ou petit, parfois quelque peu incongru. Dans un fonctionnement proche du jeu de rôle, les personnages se meuvent en fonction de ce pouvoir et font avancer l'action avec un sens très réussi des psychologies. Lanfeust le puceau est flanqué de deux créatures pulpeuses. L'une guérit les plaies à la tombée du jour, elle est sa promise ; l'autre transforme en glace tout ce qu'elle veut, si elle le veut. Elle glace surtout Lanfeust avec son tempérament de feu. Entre les deux, l'ingénu balance et la fin du cycle le verra accéder à la quête suprême, si elle n'est ultime : la découverte de l'amour. <p>Entre temps, le lecteur aura découvert Hébus, un Troll fort en gueule et fort tout court qui vous transforme une armée en pilons de volailles, ponctuant de jurons bruxellois un carnage perpétré avec une joie carnassière ; Thanos, le double maléfique de Lanfeust, susceptible lui-même d'accéder au pouvoir absolu et capable, car tel est son pouvoir, d'aller à volonté d'un point à l'autre de l'univers connu ; le brave chevalier Or-Azur dont le bon sang ne ment pas ; Maître Nicolède enfin, un sage débonnaire, accessoirement père des deux soupirantes du héros-titre... <p>Finalement, avec ses personnages familiers très bien typés, il y a du <I>Astérix</I> dans cette saga d'heroïc-fantasy unique et drôle. Il n'est pas impossible que, d'après la tournure que prend la série, Lanfeust prenne la place du Gaulois auprès des générations de demain. <I>--Didier Pasamonik</I>
Une conclusion magistrale à la hauteur de cette saga. Car oui, c'est bien le tome 8 qui clôture le cycle de Troy, pas le 9. C'est avec un pincement au coeur que j'ai quitté les personnages, dont Hébus qui était mon chouchou. La colorisation des illustrations accentue la puissance du combat final. Le petit forgeron de Glinin est devenu grand.
Une fin de cycle bien plus haute en couleur que je ne l'aurais prédit en commençant la série huit tomes plus tôt. Le grand final n'est pas très original en soi, mais offre un schéma simple et efficace, le genre qui marche toujours et dont on ne se lasse pas. J'ai été très agréablement surpris par cette BD dont je n'attendais rien, je lirai la suite avec plaisir !
L'aventure s'achève dans un final épique où tout le monde a son mot à dire ! Les histoires se démêlent, les cœurs s'accordent, une superbe fin pour une superbe série !
J'ai beaucoup apprécié ce dernier tome. J'aime la façon dont Cixi nous étonne sans cesse par son courage et son intégrité, alors qu'on l'imagine bien différente.
La fin d’une aventure ! Tout se finit bien, même si on a frôlé la catastrophe plein de fois ! Il se passe beaucoup de choses dans ce tome, on s’y perd un peu je trouve, il y a plusieurs aventures dedans et ça aurait mérité plus de développement. Mais ça reste un tome cool qui conclut bien la série avec une fin plus ou moins attendue au niveau de la vie amoureuse de Lanfeust, et avec un Thanos mit hors d’état de nuire.
Résumé
La fin du cycle.
Il arrive un moment où la quête prend fin et où commence la légende. Le jeune forgeron qui s'était révélé être l'élu car il répondait de façon extraordinaire aux vibrations de l'épée en ivoire de Magohamoth est arrivé aujourd'hui au terme de sa première aventure. <p>Sur le chemin, il a rencontré une galerie de personnages plus fabuleux les uns que les autres. Car la caractéristique du monde de Troy est de donner à chaque être un pouvoir magique, quel qu'il soit, grand ou petit, parfois quelque peu incongru. Dans un fonctionnement proche du jeu de rôle, les personnages se meuvent en fonction de ce pouvoir et font avancer l'action avec un sens très réussi des psychologies. Lanfeust le puceau est flanqué de deux créatures pulpeuses. L'une guérit les plaies à la tombée du jour, elle est sa promise ; l'autre transforme en glace tout ce qu'elle veut, si elle le veut. Elle glace surtout Lanfeust avec son tempérament de feu. Entre les deux, l'ingénu balance et la fin du cycle le verra accéder à la quête suprême, si elle n'est ultime : la découverte de l'amour. <p>Entre temps, le lecteur aura découvert Hébus, un Troll fort en gueule et fort tout court qui vous transforme une armée en pilons de volailles, ponctuant de jurons bruxellois un carnage perpétré avec une joie carnassière ; Thanos, le double maléfique de Lanfeust, susceptible lui-même d'accéder au pouvoir absolu et capable, car tel est son pouvoir, d'aller à volonté d'un point à l'autre de l'univers connu ; le brave chevalier Or-Azur dont le bon sang ne ment pas ; Maître Nicolède enfin, un sage débonnaire, accessoirement père des deux soupirantes du héros-titre... <p>Finalement, avec ses personnages familiers très bien typés, il y a du <I>Astérix</I> dans cette saga d'heroïc-fantasy unique et drôle. Il n'est pas impossible que, d'après la tournure que prend la série, Lanfeust prenne la place du Gaulois auprès des générations de demain. <I>--Didier Pasamonik</I>
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