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Mais un jour... un jour l'amour s'en va... et il n'y a plus rien à dire.
Afficher en entierIl faut bien mourir de quelque chose, n'est ce pas?
Afficher en entierDepuis l’ouverture, la boutique n’avait pas désempli. Au même titre que la Saint-Valentin, Noël réveillait les émotions : l’amour, la haine, la solitude, la mélancolie. Rien que ce matin, elle avait vu défiler dans son magasin une brochette de personnages plus originaux les uns que les autres : un vieux séducteur avait envoyé douze bouquets à douze conquêtes dans douze villes différentes ; une femme entre deux âges s’était expédié des orchidées à elle-même pour faire bonne figure devant ses collègues de bureau ; une jeune Américaine avait débarqué en pleurs pour faire parvenir à son amant parisien un assemblage fané lui signifiant leur rupture. Quant au boulanger du quartier, il avait commandé comme cadeau à sa belle-mère adorée un énorme cactus mexicain aux épines longues et acérées…
Afficher en entierCher Jonathan(épargons-nous d'emblée les M.Lempereur et Mlle Greene, voulez-vous ? Après tout, j'imagine que si vous avez le toupet de lire mon courrier, vous avez dû également jeter un coup d’œil à mes photos et vous rincer l’œil avec les deux ou trois clichés "artistiques" de mon album. Vous êtes donc un pervers et c'est votre problème, mais évitez autant que se peut de les mettre sur Facebook, parce que je ne suis pas certaine que mon future mari apprécierait...)
Afficher en entier"Ils venaient de dépasser le péage lorsque le téléphone de l'inconnu retentit. Il décrocha à la première sonnerie, grâce à un kit mains libres branché sur un ampli, permettant à Alice de saisir la plus grande partie de la conversation :
- Alors, Youri ? demanda la voix.
- Je suis sur la route. Tout s'est déroulé comme prévu, annonça-t-il avec un accent russe à couper au couteau.
- Tu ne l'as pas trop abîmée ?
- J'ai suivi les instructions.
- D'accord. Tu sais ce qu'il te reste à faire ?
- Oui, répondit le Russe.
- N'oublie pas de la fouiller et débarrasse-toi du pick-up.
- Compris.
La voix au téléphone... C'était celle de... Non, ce n'était pas possible...
Tout s'éclairait à présent. Le cœur d'Alice battit encore plus vite, car elle venait de comprendre que le danger était plus grand qu'elle ne l'avait imaginé."
Afficher en entier"Avant de retourner vers la batterie d'ascenseurs, Alice acheta sa boisson ainsi que le paquet de gaufres pour Lorely. Elle se rendit cette fois aux niveaux inférieurs, où se trouvaient les salles de concert. Au deuxième étage, quand les portes s'ouvrirent, Alice découvrit une immense silhouette sombre qui l'attendait. Un homme cagoulé pointait un pistolet dans sa direction. Elle eut un mouvement de recul, poussa un cri étouffé, mais il s'avança et ouvrit le feu."
Afficher en entier"J'avais toujours fait face, j'avais toujours fait front. Je m'étais toujours battu contre tout, forçant mon destin et imposant ma chance, mais aujourd'hui, c'était différent. J'avais un ennemi redoutable à affronter : moi-même. L'ennemi ultime. Le plus dangereux."
Afficher en entier"Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Il vous donne une contenance dans toutes les situations et vous offre une facilité de contact immédiat qui laisse ouvert tous les possibles..."
Afficher en entier-Tu m'offres un espresso ?
-J'ai pas de fric,dit-elle en secouant la tête.
-Tu veux quelque chose ? demandai-je en insérant les pièces dans l'appareil.
-Que vous me foutiez la paix !!!!
Afficher en entier-jim est mort , Madeline .
-comment sa ? Il m'a appelé il y'a deux jours !
- je suis desole on l'a retrouvé ce matin dans son bureau , il s'est sucidé .
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