Lara Croft Tomb Raider, Tome 2 : Le Berceau de la vie
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Le film fut un échec critique. Comme pour le premier, Dave Stern en écrit la novélisation. Mais devant l’ampleur de l’échec, difficile de sauver les meubles cette fois…
On retrouve Lara, confronté au prix nobel Reiss, qui souhaite retrouver la Boite de Pandore pour en faire une menace biologique. Evidemment, elle ne compte pas laisser faire…
Le pitch est donc bien le même mais cette fois, Stern va peiner à l’élever. Et ceci parceque le film fait dan le caricatural et s’échine à ne pas faire de références à la saga. Alors le roman va essayer, toujours avec la dague de Xian, et va aussi essayer d’alléger la lourdeur de l’oeuvre cinéma. Certaines scénes sont ainsi bien plus marrantes, ou bient plus touchantes dans le roman que dans le film. Mais ça n’empêche pas de sentir que le tout est trop léger. Les personnages sont des clichés, l’histoire n’est jamais intéressantes et les ficelles sont trop grosses. Pour autant, ça se lit, mais une fois reposés, on n’en sort pas la même satisfaction que le premier livre. Stern a fait de son mieux, mais le matériau de base était trop léger, trop creux…
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Résumé
Dans le temple grec de Luna, construit jadis pour abriter les biens les plus précieux d'Alexandre le Grand, se trouve l'objet le plus fatal de tous les temps : la boîte de Pandore. Caché dans un endroit que les pharaons appelaient le berceau de la vie, cet objet légendaire contient un virus mortel suscitant bien des convoitises. A commencer par celle d'un bioterroriste dangereux, qui parvient à s'en emparer. Lara Croft accepte alors la mission du gouvernement : retrouver la boîte. Pour l'épauler, on lui adjoint un ancien de la Royal Marine, qui moisit dans une prison de haute sécurité en terres russes. Quelle déveine pour Lara ! D'autant que cet homme n'est autre que Terry Sheridan, une vieille connaissance qu'elle se serait bien passée de revoir.
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