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Ce quatrième tome du succès mondial L’ Arabe du futur couvre les années 1987-1992.
Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d’autant plus compliquée qu’il est tiraillé entre ses deux cultures – française et syrienne – et que ses parents ne s’entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion… Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C’est alors que la famille au complet doit retourner en Syrie…
Dans le premier tome (1978-1984), le petit Riad était ballotté, de sa naissance à ses six ans, entre la Libye de Kadhafi, la Bretagne de ses grands-parents et la Syrie de Hafez Al-Assad.
Le deuxième tome (1984-1985) racontait sa première année d’école en Syrie.
Le troisième tome (1985-1987) était celui de sa circoncision.
Ce quatrième tome, exceptionnel par son format (288 pages) et par ce qu’il révèle (le coup d’État de son père), est le point d’orgue de la série.
La série L’Arabe du futur est traduite dans 22 langues.
Tu sais qu’en Arabie Saoudite, quand une femme est en prison et qu’elle a effectué sa peine, la prison appelle son tuteur, un homme de sa famille, pour qu’il vienne la chercher !
Et là, le tuteur, il vient quand il veut ! C’est les hommes qui décident quand elle sort vraiment !Et la plupart abandonnent les femmes en prison pour toujours, pour s’en débarrasser !!! Elles sortent jamais !
Je le dis depuis le début, mais le père je ne l'aime pas du tout ! Je pensais qu'il ne pouvait pas tomber plus bas dans son hypocrisie et sa lâcheté et bah... je me trompais. J'avoue que la fin de ce tome m'a laissé sous le choc. Je ne m'attendais pas à ce retournement de situation ! D'autant plus que ce n'est pas de la fiction, ce qui me choque encore plus. Comment un être humain normalement constitué peut faire une chose pareil ! C'est dans ce genre de cas que l'espèce humaine me désespère...
Clairement l'histoire de Riad prend un tournant dramatique, il arrive pas mal de truc dans ce tome, et surtout cette fin.... Quand on sait que c'est l'histoire de l'auteur
Parfois on a du mal à s'imaginer qu'un enfant ait pu vivre des choses aussi angoissantes et qu'il parvient à les retranscrire avec une telle intensité des années plus tard.
Bande dessinée. Tome 4. L'adolescent nous parle de lui et de sa famille, alternativement en Syrie et en France. Son père est enseignant en Arabie Saoudite. Il revient de temps à autre en France et la famille habite de temps en temps en Syrie. Sa mère ne veut pas rester en Syrie et revient régulièrement en France. Riad va maintenant au collège. Ses cheveux deviennent chatain. Son père retourne habiter en Syrie et emmène son plus jeune fils. Il veut que le reste de la famille vienne habiter définitivement en Syrie, mais sa femme et les deux aînés ne sont pas d'accord. Elle décide de divorcer.
Je ne sais pas si l’arabe du futur a une visée éthnologique mais c’est sur que pour son auteur, il a une visé expiatoire. C’est encore plus vrai dans dans ce quatrième tome qui s’achève sur l’enlèvement par son père de Fadi, son dernier petit frère. Parce qu’il en faut du courage pour parler de ses choses-là, pour se mettre ainsi à nu. Je suis une nouvelle foi subjugué par la compassion de Riad Satouf lorsqu’il nous conte sans concession (ici, son adolescence) la radicalisation de son père, les querelles parentales, le cancer de sa maman, la violence qu’il subit de la part d’autres jeunes, les tiraillements et les oppositions qu’il expérimente entre une vie, une culture européenne et ses séjour en Syrie dans sa famille paternel avec ses traditions, ses croyances qui me semblent figés dans un autre temps… Toutes ses blessures, Riad les vie en silence. Mais c’est dans le dessin qu’il dédramatise ses événements avec souvent beaucoup d’à-propos. C’est d’ailleurs frappant pour moi : il ne parle jamais avec son second petit frère, et très peu avec sa mère comparativement aux nombres de bulles avec son père, ses grand-parents. La relation avec ses grand-parents et Charles est d’ailleurs particulièrement forte vu la place qu’elle prend dans le récit. Il y a beaucoup d’amour entre eux, de complicité. Ça me touche par le parallèle que je peux en faire avec les miens.
Le meilleur de la série pour le moment, à lire absolument !
Je n'ai pas compris pourquoi ce tome était deux fois plus long que les précédents, mais même si cela a ajouté une longueur qui m'a fait faire une pause à la moitié de la BD, j'en ai trouvé la lecture plutôt agréable dans l'ensemble. Ce tableau en teintes négatives commence cependant à être assez redondant, je vois mal où l'auteur veut en venir. On verra bien dans le prochain tome.
Tome 4. Notre petit bonhomme partage toujours sa vie entre la Bretagne et la Syrie. Cela semble toujours la même chose et pourtant c’est toujours aussi frais et de plus en plus prenant. Les cheveux foncent, tandis que l’amour de ses parents ne tient plus qu’à un cheveu. Toujours gênée par son père, qui a pourtant fait de hautes études, et qui a des réflexions d’idiot. Riad grandit et commence sérieusement à s’intéresser à la chose, poussé par un grand-père truculent. Le drame de la fin donne envie de vite savoir la suite. De mieux en mieux au fil des tomes.
Quel plaisir de lire cette BD ! Le point de vue de ce petit Riad rend le propos si drôle, voire cynique parfois. J'aime toujours le côté créatif rose/Syrie vs bleu/France. Ce tome se termine sur un twist qui donne envie de se ruer sur le tome 5! Génial, et courageux.
Résumé
Ce quatrième tome du succès mondial L’ Arabe du futur couvre les années 1987-1992.
Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d’autant plus compliquée qu’il est tiraillé entre ses deux cultures – française et syrienne – et que ses parents ne s’entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion… Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C’est alors que la famille au complet doit retourner en Syrie…
Dans le premier tome (1978-1984), le petit Riad était ballotté, de sa naissance à ses six ans, entre la Libye de Kadhafi, la Bretagne de ses grands-parents et la Syrie de Hafez Al-Assad.
Le deuxième tome (1984-1985) racontait sa première année d’école en Syrie.
Le troisième tome (1985-1987) était celui de sa circoncision.
Ce quatrième tome, exceptionnel par son format (288 pages) et par ce qu’il révèle (le coup d’État de son père), est le point d’orgue de la série.
La série L’Arabe du futur est traduite dans 22 langues.
(Source : Allary)
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