J’avais lu pas mal de bon avis sur ce manga, disponible dans ma médiathèque, je n’ai pas hésité à l’emprunter.

Ce manga jeunesse rassemble de bons points dans ce premier tome. D’abord le petit Tanuki Manpachi est terriblement attachant. Senzo lui même si on voit sa réticence à élever Manpachi, quelque chose me dit que sa carapace peut se fêler.

L’autrice nous plonge dans un premier tome assez intrigant surtout sur les pouvoirs non contrôlés de Manpachi mais également avec les légendes japonaises liées au renard et au Tanuki.

J’ai aimé les dessins de l’autrice à la fois précis quand il le faut ou un peu moins dans les moments d’action, les émotions des personnages sont bien transmises.

En bref, c’est un premier tome qui me donne envie de lire la suite (en ma possession). Un manga autour des légendes japonaises, de la découverte de ses pouvoirs mais également sur la construction des relations.

Ce roman m’a été proposé par l’autrice via la plateforme Simplement.pro. Je la remercie pour sa démarche qui m’a permis de la découvrir.

Dans ce roman, Lola ex-danseuse se morfond depuis qu’elle ne peut plus danser. Sa rencontre surréaliste avec Camille va tout changer.

Au travers de ce roman, c’est la reconstruction d’une personne qui est abordée. J’ai vu toutes les phases par lesquelles passe Lola pour sortir de sa dépression et retrouver le goût de vivre.

J’ai aimé le fait que l’autrice amène quelques éléments fantastiques dans ce roman feel good. Cela permet de faire avancer l’histoire tout en surprenant le lecteur.

Au niveau des personnages, je dois dire que j’ai aimé suivre Lola bien que je l’ai trouvé parfois trop buttée. Les personnages secondaires sont plutôt bien développés, surtout les enfants de Camille.

La plume de l’autrice est fluide, les pages se tournent très vite. Au niveau du travail éditorial, je trouve dommage le choix de couverture fait par l’autrice, ça n’attire pas du tout le regard.

En bref, j’ai passé un bon roman feel good avec une touche de fantastique, des personnages auxquels je me suis attachée.

J’ai tenté ma chance lors de la masse critique Babelio parce que ce roman avait pour sous titre (dans l’ancienne édition) “Aimer à Auschwitz”.

Ce roman est un témoignage d’une histoire d’amour née dans l’horreur des camps. Mais c’est également le partage de Génia qui a subi les expérimentations des médecins nazis. Elle a reçu à plusieurs reprises des doses de radiation qui avaient pour but de stériliser les femmes.

Aimé est devenu un homme à tout faire du camp après avoir séjourné dans la prison du camp car considéré comme dangereux.

Après la libération, leur travail pour la mémoire des déportés est omniprésent, ils veulent transmettre un message. Génia est morte en 2021, elle n’aura cessé pendant 76 ans de témoigner auprès des plus jeunes.

Les propos de Génia et Aimé sont rapportés avec justesse par les deux autres auteurs. Ils transmettent les émotions des personnages.

En bref, un témoignage court à mettre entre toutes les mains, pour que la mémoire des déportés persiste au-delà du dernier survivant.

J’ai entendu beaucoup de bien de cette BD depuis sa sortie, j’ai pu l’emprunter à ma médiathèque.

Molly est une jeune fille qui espère devenir bergère guerrière, un ordre qu’elle admire. Accompagnée par Barbe noire son bouc, elle se lance dans l’apprentissage complexe pour devenir bergère guerrière.

J’ai aimé l’univers créé par les auteurs où les femmes ont pris la place des hommes. Ceux qui restent voient d’un mauvais œil les femmes les mettre à l’écart. Une situation inversée par rapport à notre monde actuel. J’ai aimé le message transmis par les auteurs.

J’ai beaucoup aimé les dessins de la dessinatrice, elle nous transporte dans l’univers et transmet les émotions des personnages.

En bref, la découverte de ce monde, des personnages et des bergères guerrières font que ce premier tome donne envie de lire la suite.

Ayant beaucoup aimé les précédents tomes de cette saga, et voulant connaître la fin, c’est avec grand plaisir que j’ai accepté ce service presse.

Le moins que je puisse dire, c’est que ce tome n’est pas de tout repos, l’autrice y va fort en action comme avec nos émotions.

Olrik confirme son sadisme dans ce roman, si on en doutait avant, là on est servis. Qu’est ce que j’ai pu détester ce personnage, je ne vois aucun trait positif à ce personnage. Les Compagnes vont subir le sadisme d’Olrik, j’ai eu mal pour elles. Les vampires sont toujours aussi protecteur et Luderik toujours aussi enragé contre son frère Olrik. Il est prêt à tout pour le tuer.

L’intrigue de ce roman m’a permis de voir sous un autre jour le personnage de Pierre, j’aimerai en savoir davantage sur lui.

Comme je le disais précédemment, l’autrice pas mal d’actions, ce qui m’a fait tourner les pages rapidement. J’ai voulu savoir si tel personnage allait sortir d’une situation périlleuse ou si bien évidemment quelqu’un allait tuer Olrik. L’autrice nous émeut aussi avec les histoires de ces personnages ou leur évolution.

Par contre, j’aurai aimé un épilogue pour savoir comment se débrouillent les personnages à la fin de leur aventure. L’autrice ayant annoncé un spin-off de cette saga, peut-être que celui-ci nous montrera la suite mais d’un autre point de vue ?

En bref, j’ai passé un très bon moment avec ce tome ainsi que cette saga. Une héroïne qui n’a pas peur, des créatures fantastiques, de l’action et des émotions, un excellent cocktail pour réussir une saga.

J’ai reçu ce livre grâce à une masse critique Babelio, je les remercie ainsi que l’éditeur pour cet envoi.

Nous suivons Danyal qui est très beau et considéré comme bête parce que son rêve est de devenir cuisinier. Son prof d’histoire le sélectionne pour représenter l’histoire au concours des génies de l’école. Il lui impose de présenter un exposé sur Churchill. En parallèle de ça, sa famille cherche à tout prix à le marier, et lui présente Bisma, une jeune fille belle et brillante, son opposé.

J’ai aimé cette histoire parce qu’elle montre qu’il faut aller au-delà des préjugés. J’ai souvent été agacé qu’on trouve Danyal bête parce qu’il veut être cuisinier ou que Bisma n’est pas un bon parti à cause de son erreur. Cela montre qu’il y a encore un travail à faire sur la mentalité des gens.

Danyal est un personnage plus intelligent que les autres le pense, même s’il a tendance à croire qu’il est bête parce qu’on lui répète à longueur de temps. La réflexion qu’il a pour la préparation de son exposé montre tout le contraire. Bisma est une jeune fille qui aussi croit qu’elle ne sera jamais heureuse à cause de son erreur.

En parallèle de la rencontre de Danyal et Bisma, la préparation de l’exposé nous permet d’en savoir davantage sur Churchill. Est-il réellement un héros comme tout le monde le pense ? L’auteur met en avant une partie méconnue de l’histoire.

L’auteur a une belle plume qui m’a plongé dans l’histoire. J’ai lu ce roman très vite parce que l’auteur fait qu’on a envie de connaître la fin de cette histoire.

En bref, j’ai passé un très bon moment avec Danyal et Bisma, l’évolution de leur relation et de leurs pensées ainsi que le fond historique de ce roman.

Ce livre fait partie de ma saga chouchou de tous les temps. Le tome 8 étant paru en 2009 et l’un des auteurs étant décédé (Jean Vautrin), je m’étais faite à l’idée de ne jamais lire la fin de cette saga. Celà a été un réel bonheur quand j’ai vu l’annonce de la parution de ce neuvième tome.

L’histoire reprend presque 10 ans après la fin du tome 8. L’auteur nous fait part de quelques flashbacks pour qu’on sache ce qui c’est passé durant ces années écoulées.

Comme d’habitude, j’ai beaucoup aimé l’engagement de Boro ainsi que de ses proches. Il lutte pour l’opprimé et la justice. Approchant de la cinquantaine, rien ne le freine quand il soutient une cause.

L’auteur nous fait vivre plusieurs moments de l’histoire au travers des voyages de Boro, la chasse des criminels nazis, la guerre d’Algérie, la construction du mur de Berlin. Tous ces événements sont richement documentés et cela se sent.

Le petit point noir de cette histoire, pour moi, c’est que j’ai trouvé qu’on passé beaucoup avec Jolan. J’ai l’impression que l’auteur l’a introduit dans l’histoire pour en faire un “mini Boro” et ainsi qu’il puisse poursuivre sa saga après le décès de son personnage phare (hypothèse).

Le roman est rythmé, Boro et ses compagnons vivent mille et une aventures toutes plus dangereuses les unes que les autres. La fin donne envie de lire le prochain tome.

En bref, j’ai passé un bon moment avec ce roman rythmé et bien documenté, je regrette la trop grande présence de Jolan.

J’avais beaucoup aimé l’histoire de Lale dans le tatoueur d’Auschwitz. Je n’ai pas hésité une seule seconde quand j’ai vu que le tome 2 était proposé en version audio.

L’histoire est centrée sur Cilka qui a échappé au camp de la mort et se retrouve au Goulag parce que les soviétiques considèrent qu’elle a collaboré avec l’ennemi.

Cette histoire est une histoire vraie. Lale (le héros du roman précédent) a fait promettre à Heather Morris de raconter l’histoire de cette femme. L’autrice a rassemblé les témoignages pour raconter l’histoire de Cilka.

L’histoire se déroule au Goulag de Vorkouta, à la limite du cercle polaire arctique en Sibérie. A travers ce récit, on perçoit la vie très compliquée dans ce camp, la débrouille et l’entraide des prisonniers, la hiérarchie qui se fait entre les plus forts/faibles, anciens et nouveaux. Mais surtout, ce récit témoigne une fois de plus que les femmes ne sont que des objets pour les prisonniers du camp, qu’ils utilisent comme bon leur semble.

Cilka est une héroïne forte et qui garde espoir malgré ce qu’elle vit. Par contre elle garde en elle une grande culpabilité liée au poste qu’elle a occupé à Auschwitz et a peur des jugements qui pourraient en découler.

L’autrice alterne les temporalités entre la vie au Goulag et les souvenirs de Cilka à Auschwitz. Ainsi j’ai mieux compris la culpabilité de Cilka en regard de ce qu’elle a vécu.

Si je ne devais retenir qu’une chose de ce roman, c’est l’espoir qu’il règne au Goulag malgré les difficultés.

La lectrice de ce roman est la même pour que le tome 1, elle transmet très bien les émotions des personnages, sait faire varier les intonations pour qu’on puisse reconnaître aisément les personnages.

En bref, c’est un roman qui m’a touché comme le précédent roman de l’autrice. Cilka est une héroïne forte. J’écouterai prochainement le tome suivant, Les sœurs d’Auschwitz.

J’avais eu un coup de cœur pour le premier tome de cette saga, quand l’autrice a proposé ce second tome en service-presse, je n’ai pas hésité une seule seconde.

L’histoire reprend tout de suite après la fin du tome 1, ce qui permet de bien être dans le bain. J’ai beaucoup aimé la manière de faire de l’autrice, les personnages semblent perdus dans le monde où ils arrivent, et du coup nous aussi. J’ai découvert ce nouveau monde avec les personnages.

J’ai trouvé cette découverte du nouveau monde un peu lente, même si je comprends que l’autrice passe par là pour qu’on comprenne l’univers qu’elle a créé. Une fois que l’action se met en place, je n’ai eu qu’une envie, c’est de poursuivre ma lecture.

Cerise est toujours aussi courageuse et franche, Zellon évolue toujours à ses côtés, ce qui est plaisant et utile pour le dénouement de l’histoire. J’aime toujours autant Solas, le fils de Zellon, j’espère pouvoir le retrouver dans une autre histoire.

Il y a un petit point qui m’a paru un peu trop rapide à mon goût.

Spoiler(cliquez pour révéler)

La résolution du conflit millénaire entre Astéria et Zamoryä est évoqué en une phrase alors que je pensais que celà serait plus complexe.

J’ai beaucoup aimé l’épilogue de cette histoire qui m’a laissé comprendre que celle-ci pouvait continuer, j’espère que celà sera le cas dans les spin-offs annoncés par l’autrice.

En bref, même si je n’ai pas eu de coup de cœur, ce second tome fait que c’est une saga que je vais garder en mémoire ainsi que son autrice. Une histoire rythmée, une prophétie, des personnages attachants, que dire de plus pour vous laisser tenter ?

Nous sommes plongés dans Seaside Town où les êtres surnaturels cohabitent avec les humains. Une série de meurtres avec des jeunes filles portant un bracelet rouge se produit dans la ville sans qu’aucun lien ne soit fait entre eux puisque le crime est avoué par une personne différente à chaque fois. Cora essaye officieusement de faire le lien entre ces meurtres. Parallèlement à ça, Alex mène une enquête journalistique sur l’empoisonnement d’un petit garçon.

Alex est une journaliste qui cherche le scoop qui fera décoller sa carrière de journaliste. C’est une jeune femme qui n’a pas peur de grand chose pour arriver à ses fins. Les enquêtes dans lesquelles elle se lance lui en feront voir de toutes les couleurs. Elle a une répartie et un humour hors pair.

Ce premier tome d’une saga (dont les tomes sont indépendants) m’a bien permis de cerner Seaside Town, son quartier surnaturel et les êtres qui y vivent. Les règles et la hiérarchie mise en place par Samaël (le “roi” des êtres surnaturels” permettent de mieux comprendre le fonctionnement de ce quartier particulier.

Comme je l’ai présenté précédemment, ce tome nous présente deux enquêtes qui ne sont pas liées mais qui vont mouvementé la vie d’Alex et Cora. Pour l’enquête sur l’empoisonnement, il n’y a pas eu de doute sur le coupable puisque la piste que suit Alex est la bonne. Par contre pour l’enquête sur les bracelets rouges, je me suis posée pas mal de questions jusqu’à ce qu’Alex rencontre un certain personnage.

Le rythme est plutôt lent au début de l’histoire, c’est que qui m’a fait sortir de l’histoire, mais j’ai continué jusqu’à ce que les premières actions et révélations apparaissent.

Ce livre présente un petit plus au niveau des premières pages de chapitre, en effet, celles-ci représente la “une” du Headline, le journal pour lequel Alex travaille.

En bref, j’ai bien aimé ce livre même si je l’ai trouvé lent au début. J’ai aimé suivre Alex et Cora, le travail éditorial apporte une touche d’humour à ce roman.

J’avais beaucoup aimé les deux précédents tomes de cette saga, avec la parution du tome 4, je me suis hâtée de lire le tome 3.

J’ai trouvé ce tome intéressant mais j’ai eu l’impression de tourner en rond, un syndrome du tome 2. La recherche d’Olrik est le fil rouge de ce tome, et comme celle-ci avance très doucement, cela s’est ressenti.

A côté de cette quête, j’ai aimé voir Ève prendre du galon, devenir chef du clan, elle a pu ainsi être autre chose que la compagne du chef de Clan. J’aime toujours autant ce personnage haut en couleur.

Au cours de ce roman, j’ai craint pour l’avenir d’un personnage, était triste de voir les tensions entre deux autres personnages. Rien n’est jamais figé finalement.

J’ai aimé être dans la tête de Noélie, la jeune loup garou, car celà m’a permis de mieux voir le fonctionnement d’une meute même si j’aurai aimé en voir plus.

L’autrice sait susciter mon intérêt grâce aux évolutions des personnages et aux actions finales de ce roman.

En bref, un tome 3 un peu lent mais toujours agréable à lire, j’espère que le tome 4 clôturera à merveille cette saga.

Je n’avais jamais lu de cosy mystery. La couverture et la présence de la reine d’Angleterre sur la couverture ont attiré mon attention sur Netgalley.

Bien qu’il s’agisse d’un tome 2, il peut sans avoir lu le tome 1, l’enquête précédente est vaguement évoquée sans que l’auteur du crime ne soit révélé, aucun risque de spoil donc.

Bien que la reine d’Angleterre soit présente dans l’histoire et mène son enquête à côté de celle des policiers, c’est bien Rozie que l’on suit la majorité du temps. C’est une jeune femme noir qui a fait l’armée, elle a donc un imortant sang froid. Elle est vive d’esprit, c’est un personnage que j’ai beaucoup aimé.

L’enquête avance doucement au fil des pages, peut-être trop doucement. A côté de cette enquête, on découvre la vie à Buckingham dans les nombreux services qui font tourner ce palais. J’ai aimé découvrir celà mais je demande toujours si ce que l’autrice évoque est vrai (en dehors des personnages, dont la plupart sont inventés) ou sorti de son imagination.

L’autrice sème les indices pour résoudre son enquête mais en elle m’a aussi envoyé sur des fausses pistes. Je ne lis pas souvent de policier, je ne peux donc pas dire si l’intrigue est originale ou non, en tout cas, elle a fonctionné sur moi.

En bref, c’est un cosy mystery que j’ai aimé autant pour l’enquête que pour les coulisses de Buckingham mais je regrette la lenteur du roman.

J’ai entendu beaucoup de bien de Timothé Le Boucher, j’ai profité de mon passage à la bibliothèque pour emprunter un de ses livres.


L’auteur nous permet de suivre Pierre qui a survécu au massacre de sa famille. Il a passé des années dans le coma, à son réveil il réapprend à vivre et commence une thérapie avec Anna.

Je dois bien dire que je ne sais pas quoi penser de Pierre, si je l’ai trouvé touchant au début, j’ai vite été déboussolée par son comportement. Anna est une psychologue très professionnelle mais la relation qu’elle établit avec Pierre va changer ses certitudes.

J’ai beaucoup aimé les dessins de l’auteur et surtout les émotions qu’ils véhiculent. L’auteur sait aussi bien mener un récit puisqu’il dévoile petit à petit la personnalité de Pierre. Le rythme monte peu à peu, le suspens aussi, j’ai voulu connaître le fin mot de cette histoire.


Bien que l’auteur m’ait fasciné tout au long de l’histoire, je dois bien dire que j’ai été déçue par la fin ou plutôt par l’absence puisque l’auteur nous laisse dans le flou le plus total, aucune explication n’est donnée. A chacun de se faire sa propre opinion. Je suis passée à côté du coup de cœur à cause de ça.

En bref, c’est un roman graphique très bien mené par l’auteur sauf pour la fin. Ce livre m’a donné envie de découvrir les autres parutions de cet auteur.

Ce livre est ma première lecture de mon partenariat avec Sharon Kena, que je remercie pour leur confiance.

Ce roman, c’est une histoire d’amour interdite à cause d’une prophétie très ancienne. La princesse de la lumière n’a pas le droit de s’unir avec un être de l’ombre sous peine de provoquer un changement dans leur monde.

C’est un roman que j’ai aimé lire car je voulais en savoir plus sur la prophétie mais également savoir si Saïna et Noctis allaient la vaincre. Saïna est une jeune femme courageuse qui n’a peur de rien pour vivre son amour avec Noctis. Ce dernier est plutôt rancunier, j’ai eu du mal avec lui au début du roman, mais je comprends sa réaction.

Je regrette seulement que la prophétie et le monde dans lequel j’ai été plongée ne soient pas plus développés, quitte à rajouter des pages.

C’est une histoire qui se lit rapidement grâce à la plume de l’autrice qui enchaîne révélations et rebondissements.

En bref, c’est un roman de fantasy que j’ai aimé lire pour ses héros et son rythme, je regrette le manque d’approfondissements de l’univers.

J’ai reçu ce livre via la masse critique de Babélio consacrée aux non-fictions.

Ce récit est le témoignage du femme contre l’obésité. Ariane Séguillon est une actrice qui joue actuellement dans la série Demain nous appartient diffusée sur TF1. Je ne connaissais pas cette actrice puisque je ne regarde pas cette série, je n’ai donc pas vu son évolution corporelle.

J’ai aimé lire le témoignage de cette femme mince qui au fil de la vie va devenir boulimique entrainant une obésité. La vie ne l’a pas épargnée, la nourriture n’a été qu’un refus. La construction de sa boulimie et ses explications sont assez claires.

Si j’ai un bémol à mettre sur ce livre, c’est que je trouve que la phase déclic puis perte de poids est passée très vite. J’aurai aimé davantage d’explications sur ce déclic et l’impact qu’il a eu sur le rapport à la nourriture de l’autrice.

En bref, un livre intéressant sur la boulimie et le rapport à la nourriture mais un manque d’explications à la fin de récit de vie.

Ce roman fait partie des livres à choix multiple. Autrement dit c’est un livre qui propose au lecteur de choisir à la place du héros, selon le choix que l’on fait l’aventure du héros sera plus ou moins plaisante.

J’ai lu ce roman au format numérique. Le fichier EPUB était accompagné d’un fichier PDF (que j’ai imprimé) contenant notamment l’inventaire du héros. Au cours de la lecture il faut ajouter et/ou enlever des éléments de l’inventaire. Il faut donc être posé quelque part pour vivre pleinement l’aventure. D’habitude, je lis mes livres numériques dans le bus, ce n’était pas possible cette fois-ci. Le format est sans doute plus pratique puisque vous avez tout dans le même document.

Il y a bien longtemps que je n’avais pas lu ce type de roman, ça m’a fait plaisir de pouvoir participer au choix du héros. L’autrice sait comment nous envoyer sur le mauvais chemin. J’ai dû refaire le parcours à plusieurs reprises pour trouver une fin qui me convenait.

L’autrice a ajouté des éléments fantastiques en fonction des chemins que l’on choisit, ça apporte un petit plus.

Je ne sais pas trop quoi penser du héros puisqu’il nous sert juste de coquille dans cette aventure. Je l’ai trouvé réservé dans l’introduction de cette histoire.

En bref, j’ai passé un bon moment dans ce roman à choix multiples. L’autrice nous mène sur des fausses pistes et apportent des touches de fantastique plaisantes. Un roman plus adapté au support physique par contre.

Nous sommes ici dans un roman qui nous permet de comprendre au fil des pages comment une personne bien sous tout rapport en public peut être un véritable salaud dans la vie privée.

Nous n’avons que peu de passage avec Éva, l’essentiel de l’histoire se passe avec le groupe Horus, un groupe secret multiprofessionnel qui enquête sur cette affaire. Les personnages qui le composent ont tous un rôle particulier à jouer dans cette histoire. L’histoire se déroule en grande partie pendant le premier confinement. C’est une période qui a permis aux membres de ce groupe de tisser des liens malgré leurs différences.

Bien que j’avais mon propre avis dès le résumé de l’histoire sur le bourreau d’Éva, je dois dire que l’autrice m’a surprise par la construction de son récit, me faisant douter à plusieurs reprises. Je sais qu’il existe malheureusement des tas d’hommes comme le bourreau d’Éva, mais lire ce qu’elle endure m’a fait mal.

C’est une histoire bien ficelée, on avance vite au fil des découvertes du groupe d’enquête et surtout parce que je voulais savoir s’ils pouvaient sortir Éva des griffes de son bourreau.

Par contre je reste sceptique sur le mode de neutralisation du bourreau, je me demande si c’est véritablement possible d’éliminer quelqu’un comme ça.

L’histoire s’achève bien à la fin de ce roman mais la fin de ce dernier laisse envisager que le groupe Horus n’est pas prêt de dissoudre.

En bref, c’est un bon thriller où la santé physique et mentale d’une jeune femme est en danger. Un roman rythmé sur un thème qui devrait être plus présent dans les œuvres de fiction.

J’ai entendu beaucoup de bien de ce roman depuis sa sortie, j’ai décidé de le sortir de ma PàL d’audiobook pour me faire ma propre opinion.

L’autrice nous présente Violette Toussaint, garde cimetière d’une petite ville de Bourgogne, Brancion en Châlons. Sa vie est rythmée par les enterrements, les visites des fossoyeurs, des employés des pompes funèbres, du prêtre et des proches des personnes enterrées dans ce cimetière. Le jour où Julien se présente à sa porte pour comprendre pourquoi sa mère veut reposer si loin de la ville où elle a vécu, les souvenirs remontent.

Je dois dire que l’autrice mène à merveille son récit, me faisant passer d’une époque à une autre ou d’un personnage à un autre sans me perdre. Je me suis demandée où aller me mener cette histoire au fil des secrets découverts.

L’histoire m’a fait passer du rire aux larmes. Les émotions sont bien présentes dans ce récit. Il se passe beaucoup de choses dans ce récit, que je vous laisse découvrir par vous même.

Violette est une femme forte, quand on sait ce qu’elle a vécu c’est peu de le dire. C’est aussi une femme rayonnante et incroyablement humaine. J’ai aimé Julien et surtout la relation qui se crée petit à petit avec Violette qui n’a rien de simple.

La lectrice de cette histoire nous transmet très bien les émotions de ce récit, elle change sa voix habillement pour qu’on identifie bien qu’elle est le narrateur du chapitre qu’on écoute.

En bref, ce roman est rempli d’émotions avec une héroïne forte malgré les révélations et ce que la vie lui fait endurer. Un roman à découvrir.

Je suis l’autrice sur twitter depuis quelque temps. Lorsqu’elle a proposé ce roman sur Netgalley, j’ai sauté sur l’occasion pour découvrir sa plume.

L’autrice nous entraîne à Érèbe, accessible seulement des gardiens via les rêves. Elle y rencontre Elliot avec qui une forte relation se crée. Mais à Érèbe rien n’est jamais simple. En effet, un conflit menace la pérennité de ce lieu multiséculaire.

J’ai beaucoup aimé les passages qui se déroulent à Érèbe, l’autrice nous y transporte à merveille. Le château, la neige, le froid, je les ai ressentis comme si j’y étais.

Lisbeth est une jeune fille qui ne veut pas être comme toutes les jeunes filles de son âge. J’ai aimé sa combativité et sa sensibilité. Sa rencontre avec Elliot leur permet d’évoluer. Ce dernier fuit également son destin, noble, il travaille comme simple horloger dans un atelier à Londres. Érèbe permet à ces deux personnages de se rencontrer, ce qui auraient quasiment impossible dans le monde réel.

La plume de l’autrice est belle, elle accompagne très bien son récit, nous donne envie de lire la suite du roman.

L’autrice ajoute des passages avec les anciens gardiens d’Érèbe. Si au début j’ai été perdue et ne faisait pas le lien entre les personnages, j’ai compris au fur et à mesure qu’en les faisant parler, l’autrice m’a proposé de vivre le passé d’Érèbe.

En bref, c’est une belle histoire, plus qu’une romance, l’autrice nous offre un voyage dans un monde de rêves qui attire bien des convoitises.

J’avais entendu beaucoup de bien de ce roman. En terminant son écoute il y a quelques jours, je comprends pourquoi, surtout après avoir écouté les mots de l’autrice à la fin de ce roman.

L’autrice nous emporte à Auschwitz suivre la vie de Lale (prononcé Lel), qui lors de son arrivée au camp est choisi par le tatoueur en place pour devenir son assistant. Il devient par la suite le tatoueur d’Auschwitz, ce qui lui apporte quelques « privilèges ».

Ce roman est bouleversant, on y suit Lale, Gita (prononcé Guita), Cilka et bien d’autres dans cet enfer. L’autrice axe son récit la bienveillance et l’entraide présente au camp mais n’oublie pas les horreurs qui y sont perpétrés. La vie se fait à Auschwitz, les amitiés et les amours se font et de défont. Les sentiments, les promesses et l’espoir d’une vie en dehors du camp les font tenir.

J’ai aimé Lale, il doit jouer sur deux tableaux, d’un côté plaire aux SS pour ne pas avoir de problèmes, et de l’autre être quelqu’un sur qui ses camarades de baraquement peuvent compter. C’est un équilibre compliqué à trouver et Lale s’est plusieurs fois retrouvé dans des situations périlleuses.

J’ai aimé écouté la narratrice de cette histoire qui insuffle les émotions des personnages et les rend reconnaissable avec ses variations de ton.

En ayant écouté ce roman, je n’ai qu’une envie, c’est de parcourir le prochain livre consacré à Cilka, une personne qui joue un rôle important dans ce roman. L’épilogue nous annonce un avenir sombre pour cette dernière, j’aimerai en savoir plus sur elle.

En bref, c’est un roman rempli d’émotions est à découvrir. En ayant écouté les mots de l’autrice à la fin de ce roman, j’ai d’autant plus envie de lire ses autres romans.

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Cette romance de Noël est clairement un ennemi to lover. Le schéma est classique mais pour autant j’ai beaucoup aimé cette romance.

Cat est quelqu’un au fort caractère, ce qui lui attire des ennuis, ce qui ne facilite pas sa relation avec Gaspard, le meilleur ami de son meilleur ami, Max. Ce dernier nous ai présenté avec les yeux de Cat qui ne l’aime depuis leur première rencontre, ce qui n’aide pas. Certes au début, je l’ai trouvé carré, mais comme certaines personnes de la vraie vie. J’ai aimé le voir évoluer. Les leçons de skis entre Cat et Gaspard sont drôles, surtout une scène.

La romance s’installe progressivement. J’ai aimé voir le rapprochement de Cat et Gaspard. Quand j’ai appris pourquoi ils se détestaient, je me suis dit qu’il ne faut pas grand chose mais j’ai compris le ressentiment de Cat envers Gaspard.

J’ai aimé passé ces quelques jours avec eux dans les Pyrénées. Cette famille n’est pas parfaite mais elle donne envie de passer un Noël avec eux. La préparation du mariage et le mariage rajoute une touche de magie en plus de celle de Noël.

Par contre je n’ai pas compris le « Noël désastreux » présent dans le titre du livre. Il se passe des choses à Noël mais pas de quoi être désastreux.

En bref, c’est une petite romance de Noël avec une famille qui donne envie de passer Noël, une romance toute douce que je recommande.

J’ai lu ce tome 3 ans après la lecture du tome 3. Je n’ai eu aucun problème pour remettre dans l’histoire. Les personnages, l’intrigue tout est revenu très vite dans ma tête.

Comme d’habitude, l’autrice donne du rythme à son histoire. Il y a beaucoup de rebondissements et de révélations. Je me suis demandée où l’autrice m’emmenée. Les pages se tournent vite, pour connaitre la suite de cette histoire.

Les personnages principaux sont toujours les même à savoir Krista et Elias, un couple qui va affronter des péripéties en plus de celles de leur monde. J’aime toujours autant ces deux personnages, complémentaires dans leurs différences.

Si j’ai un petit reproche à faire à ce dernier tome, c’est la rapidité de la résolution du principal problème. J’aurai aimé que cela soit plus développé et un épilogue qui en dit plus sur l’avenir de ce monde.

En bref, un dernier tome riche en rebondissements et en révélations, des personnages que j’aime toujours autant, mais une fin qui arrive bien trop vite à mon goût.

J’avais adoré The book ok Ivy il y a quelques années. J’ai été intriguée quand j’ai vu le nouveau roman de l’autrice, dans un genre complétement différent, dans le catalogue France Loisirs. Le moins que je puisse dire, c’est que j’ai été déçue par cette lecture.

Ce roman est un thriller qui met beaucoup beaucoup de temps à se mettre en place. J’ai trouvé la première moitié lente, je ne comprenais pas où me menait l’autrice. J’ai eu l’impression de tourner en rond, suivre Lane sans que rien ne se passe. Les éléments clés arrivent trop tardivement.

Lane est une jeune femme qui fait ce qu’elle peut pour s’en sortir. Quand elle revient à Roanoke, tout les souvenirs qu’elle voulait oublier reviennent, la clé est peut-être dans ses souvenirs. Bien que ces souvenirs ne soient pas joyeux, je n’ai pas accroché à ce personnage. Il y a d’autres personnages mais ils sont à peine développés, j’ai mis un moment pour distinguer deux personnages masculins.

L’autrice joue sur deux temporalités, l’époque où Allegra et Lane étaient adolescentes, et celle où Allegra a disparu et que Lane revient à Roanoke. Ces deux temporalités sont parfois entrecoupées de souvenirs des autres filles de Roanoke disparues. Ces temporalités m’ont perdues au début mais j’ai vite compris que la clé de ce roman est dans le passé.

La fin ne m’a pas surprise, la solution que j’imaginais pour la disparition d’Allegra n’était la bonne. Je ne peux dire qu’une chose, c’est que je ne souhaites à personne de grandir dans la famille Roanoke.

En bref, c’est un roman vraiment long à se mettre en place. L’intrigue est à peine surprenante, les personnages ne sont pas développés.

Le moins que je puisse dire c’est que ce roman m’a captivé du début à la fin, celà faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. En effet j’ai beaucoup aimé les personnages principaux, le rythme de l’histoire, la pointe d’humour qui m’a permis de respirer dans cet univers assez sombre.

Cerise est une jeune fille qui a grandit sur la Terre, quand elle tombe du ciel sur Zamoryä, elle doit tout réapprendre. Elle est vive et a son caractère, ce qui la différencie des autres femmes de la cour. Elle apporte de la fraicheur à la cour du roi Zellon, ce qui va attirer l’attention de ce dernier. Je dois dire que j’ai beaucoup aimé ce personnage.

Zellon est un roi bienveillant pour tout son peuple. Il est prêt à tout pour sauver son royaume. Je l’ai beaucoup aimé tout comme Solas, Finlenn et bien d’autres.

L’autrice mène une histoire qui révèle petit à petit ses secrets. J’ai deviné pas mal de choses mais je dois dire que certains éléments m’ont fait douté plusieurs fois de mes suppositions. Ce roman a du rythme mais laisse le temps aux relations entre les personnages d’évoluer.

Je dois dire que j’ai eu peur du triangle amoureux à un moment donné de l’histoire. Mais au final, l’autrice n’a pas utilisé ce procédé scénaristique trop vu dans le roman. J’espère qu’il en sera de même par la suite.

Je n’ai pas vu passer les presque 600 pages de ce roman. Chaque révélation ou événement m’a poussé à vouloir connaitre la suite du roman.

La fin de ce roman me donne envie de lire la suite en particulier pour connaitre l’avenir de Cerise et d’Atlanteä.

En bref, j’ai eu un véritable coup de cœur pour ce roman. L’univers, l’intrigue, les personnages, tout m’a séduite. Je n’ai qu’une hâte c’est de lire la suite de cette saga.

J’ai vu très peu passé ce livre sur les réseaux sociaux que je suis. C’est un roman à multiple voix pour mieux savoir ce qui se passe pour Luke d’un côté et pour le reste de la famille dans la demeure des Jardine. D’autres points de vue d’ajoutent aux deux principaux et m’a permis de savoir en avance certaines choses.

Cette société où les Égaux (qui possède des pouvoirs) font subir 10 ans d’esclavages aux autres est révoltante pour le lecteur. La révolte gronde partout dans le pays. Encore plus dans les villes ouvrières, comme Millmoor, où s’épuisent des milliers d’esclaves.

J’ai aimé suivre ce premier tome où on voit la révolte grandir et la participation de Luke s’accroitre. On suivant les pensées des Égaux, on voit l’opinion de certains changer, ce qui laisse envisager un certain rythme pour la suite.

J’ai beaucoup aimé Daisy, la petite sœur de Luke et Abi, qui se retrouve esclave a à peine 10 ans. J’ai aimé sa bienveillance. Luke participe dans l’ombre à la résistance, il faut une certaine force de caractère pour y participer. Abi est jeune femme intelligente qui aurait pu faire médecine. C’est quelqu’un avec un petit caractère mais ses émotions vont lui jouer des tours.

Au niveau de la voix, je l’ai beaucoup aimé. J’ai aimé les intonations et variations de sa voix pour qu’on distingue bien les personnages dès que l’un d’eux parle.

En bref, une écoute qui m’a fait passé un bon moment. Une révolte naissante, des personnages qui évoluent. Une suite prometteuse, qui j’espère ne souffrira du syndrome du tome 2.